Cité Franche Settlement in Eana | World Anvil
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Cité Franche

La Cité franche est probablement la plus grande ville d’Eana. Port situé à l’embouchure du fleuve Dispende, elle est ouverte sur les mers de l’ouest, du sud et de l’est. Cette puissance marchande majeure a su établir des comptoirs et des alliances dans la plupart des pays et a imposé ses normes (monnaie, alphabet…). La ville elle-même, dirigée par un conseil de citoyens, est partagée en quartiers souvent fortement marqués par une communauté (Elfes d’Ellerìna, Halfelin de la Myetée…). Riche, contrastée, inégalitaire, bruyante, épicée, inattendue, violente et multiculturelle : la Cité franche est le point de départ par défaut des aventures.

Guildes et Factions

Extrait du cours de Geeranhuggen à l'Académie Franche

L’expansion et la relation aux autres civilisations

  Si la Cité Franche s’est imposée comme une puissance marchande incontournable, c’est le résultat d’une volonté sans faille, s’appuyant sur un mélange de persévérance et d’opportunisme. En 331 ans, la République s’est attachée à tisser des relations fortes avec de nombreuses civilisations, installant des comptoirs et nouant des accords protecteurs de ses intérêts. Une politique de neutralité affichée dans les conflits locaux a amené notre territoire à être un lieu de rencontre où les agents de peuples ennemis peuvent mener une diplomatie de l’ombre aboutissant parfois à des traités de paix providentiels. Néanmoins, toutes les ambassades et délégations voyagent avec des espions qui agissent par eux-mêmes ou bien font la richesse des guildes de voleurs chargées de faire leur sale boulot : vol, chantage, enlèvement, assassinat. Par le passé déjà, le destin de peuples lointains s’est joué entre les murs de notre ville, et tout indique que ce rôle d’arrière-cour des intrigues n’est pas près de cesser.   J’aimerais conclure ce premier cours avec un survol des principales contrées avec laquelle la Cité Franche entretient des liens forts. Vous constaterez que je n’aborderai pas le cas de plusieurs d’entre elles : Acoatl, Torea, Mibu, Septentrion, Ajagar, Rachamangekr, Shi-huang et Inframonde. La raison en est simple : nous ne les connaissons pas suffisamment. Des marchandises nous parviennent, un peu d’artisanat d’art, des épices, mais ces contrées n’influencent pas notre histoire assez directement pour les aborder.  

Ellerìna

  Ellerìna pour commencer. Nos relations commerciales et culturelles sont fortes. Les jeunes Elenion sont nombreux à voyager quelques temps avant de retourner dans leur pays. J’en vois d’ailleurs parmi vous. La Cité Franche et la Couronne elfique ont des accords d’entraide dans la lutte contre la piraterie et d’échange d’informations en matière criminelle. Bien que les elenions aient une attitude publique réservée et retenue, en coulisse il n’est pas rare de voir leurs diplomates – en particulier Melessë – faire office d’intermédiaire ou de médiateur.  

Les îles Éoliennes

  Les îles Éoliennes sont un concept géographique plus qu’une nation. Il n’y a pas d’autorité centrale, seulement une multitude d’accords avec des manufactures, des monastères, etc. Les ressortissants du pays de mes parents agissent à titre personnel ou pour le groupe auquel ils appartiennent, presque jamais pour un pays.    

Les îles Barbaresques

  Les îles Barbaresques sont un repaire de pirates. De cela, tout le monde est au courant. Vous ignorez néanmoins peut-être que certains sont devenus Corsaire pour la Cité Franche, ou que d’autres cherchent à devenir de respectables roitelets d’une île. Ces anciens forbans se plaisent à venir dans les salons des armateurs et marchands au long cours de notre ville.  

Le nord du Cyfandir

  Le nord du Cyfandir est partagé entre trois territoires : la Lothrienne, l’Arolavie et le Septentrion. Les limites de ce dernier sont très floues et on peut admettre que le nord du Kaan en fait partie. Pourquoi me demanderez-vous ? Parce que les environnements sont sensiblement les mêmes, que les tribus ont globalement le même mode de vie, et que nous en savons au final tout aussi peu sur l’un et l’autre.   Du Septentrion, vous n’aurez sans doute à faire que ponctuellement à des marins à bord de drakkars – il paraît que c’est un des rares navires à supporter la prise des glaces sur la mer en hiver. Ils alternent entre piraterie et commerce, dans des proportions que je n’ai jamais su distinguer. Veuillez me pardonner, je suis partial, j’ai de mauvais souvenirs des déprédations de certains d’entre eux quand je m’étais rendu chez un cousin dans les Fjordkungden – les fjords de l’ouest des Drakenbergen.   La Lothrienne est coincée entre de turbulents voisins barbares du Septentrion et les reliefs des Drakenbergen. Ils ont surtout affaire avec leurs propres problèmes, avec une dynastie qui peine à asseoir son autorité face à une féodalité puissantes et une Église de l’étoile omniprésente. Si cela ne suffisait pas, la monnaie de ce pays ne vaut pratiquement rien selon les standards de la Steinbank, et leur pays est une zone de magie faible permanente. Actuellement, dans la Cité Franche, seuls certains historiens, arcanistes et clercs s’intéressent vraiment à cette contrée en entretenant des liens réguliers avec elle.   Il y a quelques années, je vous aurais tenu le même discours sur l’Arolavie. Ce pays couvert de forêts et dirigé par la dynastie des karalievae est de tradition druidique , avec de fréquents conflits avec la Lothrienne qui a banni ces cultes. Outre ces petites guerres frontalières, l’Arolavie fut victime de tentatives de conquête de Kartaçöl – une puissance montante du Kaan avec laquelle il faut désormais compter. La grande ville portuaire de Moramiek avait été prise, et occupée plusieurs années. Je me rappelle du moment où nous discutions avec des collègues de la disparition pure et simple de l’Arolavie en tant que pays indépendant. Les karalievae ont su organiser la résistance et reprendre leurs terres. La défaite fut rude pour Kartaçöl, tant militairement que moralement. C’était pour eux une blessure dans leur orgueil impérial d’être vaincu de la sorte. Le conflit se poursuit, pour l’instant surtout sur mer, mais également par voie d’intrigues. Nous voyons désormais de plus en plus de ressortissants d’Arolavie dans la Cité Franche, et je peux vous assurer qu’ils ne sont pas tous d’innocents marchands venus seulement pour les affaires. Je ne suis pas devin, j’ignore ce qui adviendra, mais je ne pense pas me tromper en disant que des choses importantes se préparent.  

Les Drakenbergen

  La Cité Franche entretient des liens forts avec les Drakenbergen, mais ce territoire est un patchwork politique : petits royaumes centrés sur un fjord, cités-états marchandes, clans nains, vallées pratiquement inhabitées… C’est peu de dire que le panorama est complexe.   Nous profitons des grandes routes surveillées et entretenues avec soin par les principaux clans dvaergen. Pour rappel nos principaux alliés du sud sont les Stalfelt alias Champ-dacier, et les Kunstolth alias Fierart.   Il est heureux que ces clans soient stables et ne soient pas confrontés comme d’autres à de graves menaces de l’Inframonde. Nous dépendons aujourd’hui presque entièrement d’eux pour assurer la défense de la Cité Franche. Le système des échanges marchands est également intriqué avec celui de la steinbank. Que – par exemple – Le Chancre frappe, et les troupes dvaergen devront retourner défendre leurs cités, laissant la nôtre avec uniquement la Garde Vigente pour sa protection. » Dans l’ensemble, il est rare que les problèmes des Drakenbergen viennent jusqu’à nous. On ne dépasse guère l’événement isolé. Cela n’enlève rien à leur aspect dramatique. J’ai ainsi vécu en 127 le passage de toute un groupe de dragons rouges destructeur ; et en 230, nous avons eu un hiver exceptionnel, marqué par les ravages d’un dragon blanc vénérable dans la région. Aujourd’hui ces crises sont oubliées de la plupart des gens, mais à l’époque, je vous assure que nous croyions notre dernière heure arrivée !  

La Cyrillane

  Depuis les débuts de la République, notre relation avec la Cyrillane est complexe. Pas moins de quatre impératrices et empereurs menèrent des guerres de reconquêtes, dont une donna lieu à un blocus du port de la Cité Franche. À cela s’ajoutent des harcèlements de corsaires et des actions de déstabilisation en sous-main. Nous reparlerons plus en détail de ces événements.  
Show spoiler
La chute de la dynastie des Kadméïdes en 330 est un bouleversement majeur. Tout l’équilibre de la région est désormais menacé. Kartaçöl pose ses pions ; Ghardat tente de contrer son vieil ennemi ; l’Arolavie cherche à ne pas se laisser déborder par la situation. Pendant ce temps, des groupes loyalistes résistent par endroit tandis que les fanatiques nihiliens conquièrent de vastes territoires et poussent à la fuite tous ceux qui n’adhèrent pas à leur culte rigoriste du « Libérateur » – vous vous rappelez bien tous que c’est l’un des surnoms de Tamerakh divinisé ? Le Destructeur, la Tempête, le Libérateur.
  Ce que l’on appelle désormais le quartier cyrillan est le résultat de l’arrivée massive des réfugiés. Ils ont profité dans un premier temps des réseaux de solidarité familiaux et d’affaires. Tel marchand déjà installé aidait des proches, et les amis de ses proches, puis les amis des amis… Les habitations ont rapidement été remplies, pour ne pas dire surpeuplées, et le bidonville de la Bourbasse abrite désormais beaucoup de cyrillans.   La Cité Franche a une longue tradition d’accueil, mais elle n’a jamais encore fait face à une arrivée si massive de populations désemparées. Même si nous ne sommes pas directement sur le champ de bataille, nous sommes confrontés à une crise historique qui nous met face à nos responsabilités. Tant que la Cyrillane est en proie à la violence, le problème ne s’éteindra pas. La politique habituelle de neutralité prudente de la Cité Franche trouve ici ses limites.   Nous vivons une époque difficile, mais passionnante. Notre ville prospère alors que deux grands bidonvilles grandissent en son sein. Les nihiliens qui ont joué un rôle déterminant dans la chute des Kadméïdes envoient désormais des agents ici. Les inégalités, les injustices et la misère devant lesquelles nous détournons les yeux sont le terreau sur lequel la colère croît. Les royaumes des Sables et le Kaan   Nos relations avec les royaumes des Sables et le Kaan sont compliquées et très fluctuantes. Chaque cité-état mène sa propre politique, qui change au minimum à chaque nouveau règne. Les mers qui nous séparent n’empêchent pas les conflits, mais les limitent parfois au harcèlement de corsaires et pirates.   Le développement de Ghardat pourrait modifier cette tendance. Aujourd’hui cette thalassocratie contrôle une part croissante du commerce, cherchant tantôt des alliés, tantôt des vassaux. Elle se décide en fonction de la force de son interlocuteur. Certains pensent qu’il faudrait se méfier davantage des autorités du quartier de Ghardat dans notre ville et de leur manière de s’immiscer dans nos affaires. Pour ma part, je pense que ce pays a bien plus à faire avec son véritable ennemi : l’empire de Kartaçöl.   S’étendant dans le Kaan, il a renoncé aux anciennes rivalités tribales et claniques des belliqueux nomades. Il s’appuie sur une organisation hiérarchique stricte et une armée professionnelle. Beaucoup s’attendent à ce que le Vieux Kaan finisse par passer sous la coupe de Kartaçöl, mais la steppe n’a jamais été unie que par des guerriers inspirés, alors que nous réserve l’avenir ? Ces champs de bataille paraissent bien lointains, en subirons-nous ici les échos ?   Nous sommes les témoins à la neutralité prudente de la lutte entre ces deux puissances montantes. Faut-il craindre une menace à la stabilité de la Cité Franche ?

Histoire

L’empire de Tamerakh fut divisé en provinces, chacune contrôlée par un gouverneur nommé par le conquérant en personne. Au moment de l’ascension divine, les personnages les plus importants de tout l’empire avaient été conviés à sa capitale, dans l’est du vieux Kaan. D’après la légende, aucun n’en revint et ils moururent tous, comme sa population, et tous les prisonniers de guerre réduits à l’esclavage. Un tel carnage défit tout ce que nous pouvons imaginer.   Il ne demeura dans les provinces impériales que les subalternes, et quelques gouverneurs assez prudents pour se faire porter pâle et envoyer leurs seconds à leur place. La Resgrande Riporte faisait partie de la province de Barruna qui couvre approximativement le territoire terrestre actuellement sous le contrôle de la Cité Franche, mais la décision avait été prise de placer la capitale à Malachaï, dans les reliefs de Histe. Le royaume de Barruna » Après la chute de l’empire de Tamerakh, le Barruna devint un royaume et le gouverneur se proclama roi. Il régna une vingtaine d’année, mais échoua à assurer la stabilité de sa dynastie dans le temps. Son successeur fut renversé par la cheffe de la résistance, Sheena la halfeline. Elle fondit un nouveau royaume, dont la capitale était la Resgrande Riporte.   Ce nouveau royaume prit le nom de Ouestrie – une traduction transparente du terme kaani Barruna ! Il n’a pas su s’établir dans la durée, mais les grands principes qui ont présidé à sa création ont en revanche marqué l’histoire. Liberté, force d’âme, esprit d’initiative, égalité, mérité : nous avons là les germes de la République à venir. Cette royauté était d’ailleurs élective. Ses dirigeants hélas manquaient de sens stratégique.   La Cyrillane su en tirer profit. Une habile politique matrimoniale et d’alliance, couplée à une politique de puissance à long terme leur permirent de prendre le contrôle du royaume de Ouestrie. Une dynastie de souverains vassaux mi-ouestriens, mi-cyrillans, les Drae, régna pendant l’essentiel de la période précédant l’instauration de la République. Pratiquement tous les vestiges royaux que vous pourriez croiser datent de cette époque. De même, les familles qui affichent aujourd’hui encore un titre de noblesse, l’ont acquis sous les Drae.   La Resgrande Riporte a considérablement grandi sous leur règne, pour prendre peu à peu le visage que vous lui connaissez. Ils ont inauguré la cathédrale de Flore et Givreuse et le grand sanctuaire de Forgeron. L’abandon de la vieille nécropole au profit du Cimetière de la Plaine est également de leur fait ; l’installation de la Steinbank aussi.   En dépit de forces indéniables, le royaume souffrait de défauts qui précipitèrent sa perte. Les familles guildiennes en particulier étaient insatisfaites de la politique fiscale imposée indirectement par le trône cyrillan. La révolution à venir se nourrissait à la fois du ressentiment d’être un pays vassal, de la pression économique, du souvenir des idéaux ayant mené à renverser le royaume de Barruna, et de la relative faiblesse de la Cyrillane alors prise dans une tentative malheureuse de conquérir le royaume de Ghardat.   L’ultime facteur déclenchant fut un concours de circonstances, une suite d’accidents et de décès tragiques qui menèrent sur le trône Alexis III, un jeune souverain généreux, mais qui mesurait mal la succession d’événements qu’il allait déclencher. Soucieux du bien-être de son peuple, il décida de plaider sa cause auprès de l’empereur, en se rendant en personne à Kratéïra avec une délégation guildienne.   Il existe plusieurs versions, contradictoires, des événements. Toujours est-il qu’Alexis III Drae mourut au cours du voyage – de maladie ou d’un empoisonnement –, et que certains guildiens furent arrêtés et exécutés pour sédition. Pour l’anecdote, la guilde d’especiel, qui contrôle le commerce des épices, et la guilde des alchimistes sont encore soupçonnées par certains d’avoir assassiné alors le souverain pour provoquer une révolte contre la Cyrillane et obtenir l’indépendance.   La population assemblée dans l’ancien palais vota solennellement pour l’établissement de la République. Une époque venait de s’achever »

Architecture

J’ai déjà évoqué les privilèges des halfelins de la Myetée pour service rendu. Les Dvaergen, les Nains, pour leur soutien essentiel dès la première guerre cyrillane, obtinrent des avantages substantiels sur le commerce sur le fleuve Dispende. Ils purent aussi bâtir dans la partie sud–est de la ville et assurer l’ordre dans leur quartier. Ces premiers accords fondèrent la base du développement de la garde vigente telle qu’elle existe aujourd’hui. Les dvaergen demeurent aujourd’hui les protecteurs de la Cité Franche : sans leurs mercenaires, soyons honnêtes, il n’y aurait pas de défense digne de ce nom en Ouestrie – oui, je suis historien, j’ai la coquetterie d’utiliser les anciens noms.  

Les quartiers étrangers

  Le besoin d’investissements et la recherche de la mise en place de partenariats dans tout Eana poussa la Cité Franche à poursuivre dans la lignée initiée par l’accord avec les Dvaergen. Ceci prit la forme d’établissement d’importants comptoirs, des quartiers bâtis par des marchands étrangers. C’est ainsi que virent le jour le quartier de Ghardat, dans le sud–est, le quartier rachamanne, à proximité des habitations troglodytes dvaergen ; le quartier cyrillan dans l’est ; le Quartier de l’Étoile tout au sud, fondé par les Elenion ; le quartier éolien, au sud du grand sanctuaire de Forgeron  

Un millefeuille de constructions

  Cette période intense, pleine de nouvelles constructions ne fut possible qu’au prix de la destruction de beaucoup d’anciens bâtiments. Quand vous allez dans une maison du quartier de Ghardat, il arrive que tout son sous-sol date d’un hôtel particulier ou d’un temple datant de la dynastie Dael y a des spécialistes de l’histoire de la ville aussi parmi les guildes de voleurs.   Ah je vois que cette mention réveille votre intérêt, j’en étais sûr ! Eh bien oui, hélas, certains étudiants tournent mal et trouvent à exploiter la connaissance des réseaux antiques et féodaux. Les canalisations d’eau alimentant la ville, et les égouts ont changé, mais les plus anciens n’ont pas été rebouchés. Les premiers bâtiments de la ville furent construits avec les pierres des environs, et les tunnels des anciennes carrières existent toujours.   Il faut aussi ajouter les tunnels et caves délibérément creusés à des fins de dissimulation d’activités clandestines. Il y a eu aussi des temples secrets dédiés à Xonim et Tamerakh – pour autant que je sache, il y en a certainement encore. Des rumeurs persistantes font état de tunnels menant à l’@Inframonde, ce qui expliquerait la facilité avec laquelle des individus débrouillards trouvent des marchandises en provenant. »

Géographie

Abords de la Cité Franche

Maps

  • Cité Franche
    La Cité franche est probablement la plus grande ville d’Eana. Port situé à l’embouchure du fleuve Dispende, elle est ouverte sur les mers de l’ouest, du sud et de l’est. Cette puissance marchande majeure a su établir des comptoirs et des alliances dans la plupart des pays et a imposé ses normes (monnaie, alphabet…). La ville elle-même, dirigée par un conseil de citoyens, est partagée en quartiers souvent fortement marqués par une communauté (Elfes d’Ellerìna, Halfelin de la Myetée…). Riche, contrastée, inégalitaire, bruyante, épicée, inattendue, violente et multiculturelle : la Cité franche est le point de départ par défaut des aventures.
  • Abords de la Cité Franche
Autres noms
Resgrande Riporte, sous le Royaume de Barruna et de Ouestrie.
Xiaolong Zhi Cheng dans le Shi-huang, ce qui signifie littéralement « la cité des petits dragons ».
Date de fondation
-1236
Type
Capital
Population
1 Millions de personnes
Related Ethnicities
Gentilé
Franquin
Lieu situé sous
Organisation Propriétaire
Related Tradition (Primary)

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Guild Feature

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Ere des Voyageurs

Ere du Renouveau

Entre -8000 et -5000

Après la Chute des Voyageurs, une ère trouble et chargée d’une magie obscure avait brièvement dominé Eana. Trois héros s’étaient rendus dans la Forge du Destin pour devenir Mort, Givreuse et Flore.

Ere des Rois destinés

Ere des Nouveaux Royaumes

-980 - Création de la République

  • Ascension
    Ascension divine de Tamerakh et Xonim
    Religious event
  • -980
    Chute de l'empire Haltepas
    Additional timelines
  • -970
    Création du royaume de Barruna
    Diplomatic action

    Après la chute de l’empire de Tamerakh, le Barruna devint un royaume et le gouverneur se proclama roi. Il régna une vingtaine d’année, mais échoua à assurer la stabilité de sa dynastie dans le temps. Son successeur fut renversé par la cheffe de la résistance, Sheena la halfeline.

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  • -931
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    Revolution

    Le souverain de l'ancien royaume de Barruna est renversé par la cheffe de la résistance, Sheena la halfeline. Elle fondit un nouveau royaume, dont la capitale était la Resgrande Riporte .   Ce nouveau royaume prit le nom de Ouestrie – une traduction transparente du terme kaani Barruna ! Il n’a pas su s’établir dans la durée, mais les grands principes qui ont présidé à sa création ont en revanche marqué l’histoire. Liberté, force d’âme, esprit d’initiative, égalité, mérité : nous avons là les germes de la République à venir. Cette royauté était d’ailleurs élective. Ses dirigeants hélas manquaient de sens stratégique

    Location
    Cité Franche
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  • -926 > Mort de Alexis III
    Regne des Drae
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    Une dynastie de souverains vassaux mi-ouestriens, mi-cyrillans, les Drae, régna sur la Ouestrie pendant l’essentiel de la période précédant l’instauration de la République. Pratiquement tous les vestiges royaux que vous pourriez croiser datent de cette époque. De même, les familles qui affichent aujourd’hui encore un titre de noblesse, l’ont acquis sous les Drae.

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  • Mort d'Alexis III
    Instauration de la République Franque | Début du nouveau calendrier Franquin
    Political event

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    Location
    Cité Franche
    Additional timelines
  • 0 - 30
    Guerre d'indépendance
    Military action

    guerre d’indépendance de la Cité Franche s’opposant à la Cyrillane, avec un front sur les reliefs de Histe

    Location
    Cité Franche
    More reading
    Cyrillane
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Croissance de la Cité Franche

L'Ere actuelle

  • 99 CCF

    103 CCF


    Seconde Guerre Cyrillane
    Military action

    le très contesté empereur Actéon IV Kadméïde déclenche la seconde guerre cyrillane pour résoudre une crise intérieure ; le conflit s’acheve par la création du royaume de Vivépine, un état-tampon sur les reliefs de Histe

    Additional timelines
  • 117 CCF


    Création de l'ordre de Saint-Phulmine
    Life, Organisation Association

    Gwen de Rodenkhär, baronne ruinée, parvient à convaincre l'église de Forgeron qu'une croisade en terre Kaan est necessaire.

    Ils fondent Les croisés de Saint-Phulmine et partent pour les terres sauvages

    Location
    Passe de Tahem
    Additional timelines
  • 122 CCF


    Les croisés de Saint-Phulmine rentrent victorieux
    Expedition

    Les croisés de Saint-Phulmine retourne dans le baronnie de Gwen de Rodenkhär. Ils ont les bras chargé de trésors Kaani, qu'ils comptent investirent dans l'ordre de Forgeron.

    Ceci permettra d'ailleurs a l'ordre de financer les réparations lors de l'attaque des Dragons Rouges

    Additional timelines
  • 127 CCF


    Attaque de Dragon Rouges
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    Location
    Cité Franche
  • 128 CCF

    133 CCF


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  • 197 CCF

    212 CCF


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    Guerre du fer
  • 230 CCF

    Mortis
    231 CCF

    Maeana

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    Un Dragons blanc vénérable a ravagé les alentours de la Cité Franche et un bonne partie des Drakenbergen   Les conséquences de ce carnage fut un hiver si rude, que l'expression "Hiver de Dragon" est resté dans language courant.

    Location
    Drakenbergen
  • 271 CCF

    272 CCF


    Epidémie de chancreuse
    Plague / Epidemic

    Dans un souci de discrétion, et afin d’éviter toute panique, nous avons confié des recherches à la compagnie d’aventuriers de la couronne d’acier dont les membres sont : Arxtrude, naine gardienne ; Cylle, halfelin pied-léger de la Myetée ; Tamina, halfeline pied-sûr de Mibu ; Efraïm, gnome des Eoliennes.   Les investigations ont confirmé nos craintes. La recrudescence de cas atypiques de ce que la population appelle la gratouille est en réalité liée à une épidémie de chancreuse. La source provient des tréfonds, ce réseau de tunnels et catacombes antiques qui s’enfoncent dans l’Inframonde. Les aventuriers ont remonté la piste et ont établi la présence d’un nid chancreux en développement. Face au développement fulgurant du mal, ils ont dû agir sans attendre pour éviter la naissance d’une horde de ravageurs qui se serait déversée dans les rues de notre ville.   Si le désastre a pu cette fois être évité, il nous faut rester vigilant et organiser des patrouilles souterraines, sans quoi notre ville risque l’anéantissement.
    — Extrait d’un rapport confidentiel archivé par le Conseil des Stratèges

    Additional timelines
  • 286 CCF


    Echec du Complot de Vivépine
    Life, Failure / Mishap

    l’échec du complot de Vivépine conduit à la réintégration des reliefs de Histe dans le territoire de la Cité Franche

    Additional timelines
  • 287 CCF


    Signature du traité des Cinquante
    Diplomatic action

    traité des Cinquante, aboutissant à la création du quartier cyrillan et à une paix consolidée avec la Cyrillane

    Additional timelines
  • 300 CCF

    311 CCF


    Guerre de Taurëlma
    Military action

    En 300, sous la pression insistante de ses alliés dvaergen, la Cité Franche proclama que la forêt de Taurëlma était un désert, c’est-à-dire une zone dépourvue de peuplement durable, de constructions et d’aménagement, en conséquence de quoi elle appartenait à qui voulait se l’approprier, en l’espèce la Cité Franche et les clans dvaergen. Comme vous le savez sans doute, la Taurëlma est habitée par des clans Aldarons farouches, déterminés à protéger un espace qu’ils considèrent comme sacré. La guerre dura onze ans, marquée par des défrichements, des incendies, des embuscades tournant au massacre, et l’installation de colonies qui furent systématiquement exterminées ou contraintes à la fuite.   Des médiateurs Halfelin parvinrent en 311 à proposer un compromis mettant fin au conflit, sur une défaite pour la Cité Franche. Le traité de la paix d’Issure fut scellé par un échange de prisonniers – il n’y en avait pas beaucoup et ils n’étaient pas beaux à voir. La ville d’Issure est encore aujourd’hui coupée en deux : tout son rivage nord est une ruine peu à peu envahie par la nature qui reprend ses droits ; le rivage sud est une bourgade assez prospère qui permet le transport rapide des marchandises de la Myetée jusqu’à la Cité Franche. Officiellement, plus personne ne se rend dans la ville morte d’Issurenord, mais les criminels les plus endurcis d’Issure savent que dissimuler leur butin ou un refuge dans cette partie de la ville est un bon moyen de s’assurer une forme de tranquillité.   Les halfelins de la Myetée sont les véritables vainqueurs du conflit. Ils ont gagné notamment une autonomie étendue et des privilèges fiscaux qui ont permis à nombre d’entre eux, vivant de la terre, de s’enrichir.

    Location
    Taurëlma
    More reading
    Guerre de la Taurëlma
    Additional timelines
  • 301 CCF


    Début de la colonisation de Boréïa
    Population Migration / Travel

    À la suite de la présentation du rapport de la Flèche d’or, la colonisation de la Boréïa est décrétée. Elle commence par l’établissement de contingents limités, ici une vingtaine, là une cinquantaine. Ces premiers colons doivent confirmer la viabilité des sites pressentis. Pratiquement chaque année après la proclamation du décret de colonisation, des groupes de colons tentent leur chance. Certains camps sont détruits par des géants du givre, d’autres ne passent pas l’hiver ; certaines populations enfin disparaissent sans explication

  • 311 CCF

    Façon

    Traité de paix d'Issure
    Diplomatic action

    des négociations menées par des halfelins aboutissent au traité de paix d’Issure ; les privilèges de la Myetée sont étendus.

    Additional timelines
  • 316 CCF


    Stationnement militaire dans la Boréïa et colonisation massive
    Population Migration / Travel

    Les résultats mitigés des premières expériences de colonisation ne découragent pas l’empire et l’incitent au contraire à employer les grands moyens. Le général Atrée et la 8e légion sont appelés à stationner de manière permanente dans la colonie de la Boréïa. Leur mission est de consolider les frontières et de les étendre autant que possible, en s’appuyant sur un réseau de forts et de routes. Les 5 000 légionnaires sont soutenus par des cohortes civiles d’au moins 20 000 artisans, paysans et marchands. Ces colons reçoivent très facilement des terres qu’ils ont à charge de défricher et développer. Dans les années qui suivent, la population croît à mesure que des aventuriers et des familles viennent en quête d’une nouvelle vie.

  • 329 CCF

    34 Florië

    Chronocatastrophe
    Metaphysical / Paranormal event
    Location
    Passe de Tahem
    More reading
    Le Chronolithe
    Additional timelines