Démon
Les démons sont des êtres égoïstes, ne cherchant que leur plaisir personnel, à des points qu'aucune autre faction ne connaît.
Ils n'ont pas de hiérarchie basée sur autre chose que la force et la ruse, pas de règle ni de loi, pas d'autre motivation que leurs envies. Il est difficile de les décrire, tant ils sont disparates.
Leurs rangs regroupent les assoiffées de pouvoir, les savants fous, les psychopathes et sociopathe, et toutes les bêtes qui ne sont motivés que par leurs soifs de sang.
Ils sont regroupés en Iztot, la huitième lignée. Aussi appelé lignée démoniaque, ils n'en sortent que rarement car continuellement plongé dans des guerres intestines.
Ils sont le chaos fait chair, la hantise des scientifiques et historiens: ethnie sans avoir de similitude génétique, organisation désorganisé, sous le joug de l'Orhün sans être religieux, certains démons font exprès de ne pas entrer dans la définition qu'on fait d'eux. On les surnommes parfois la "fausse alliance démoniaque" car, bien que censé former une unique nation, les mondes d'Iztot n'ont d'alliance que le nom.
Les démons intérieurs sont construits par fusions et cannibalisme. Les terres des cauchemars attirent les rebuts des sociétés de tout Onim, qui y viennent volontairement, où y sont attiré par des démons supérieurs. Alors, ils débuteront une chasse pendant laquelle ils tueront le plus d'autre démon tout en essayant de rester en vie.
En consument leur chair et leur âme, ils gagneront petit à petit en puissance, mais leur individualité sera effacée, laissant place à un être nouveau. Cette chasse à l'âme ne s'arrête qu'à la mort du démon.
À de rares occasions, il arrive qu'un être arrive à rester lui-même au cours de ces changements, si sa volonté est assez forte. Mais jamais personne n'en est ressorti inchangé.
L'Orhün est le titre donné au roi des démons, qui s’élève par la force au-dessus de ses congénères et devient l'équivalent d'un dieu.
Il n'est pas rare que ce titre change de porteur, car un démon ne reste pas longtemps Orhün. Au centre de toutes les envies des démons, il finira par se faire tuer. Il n'existe que peu d'être qui sont devenus le dieu-démon et y ont survécu. Parmi ceux-là, on peut noter Asmodée Ortomir (règne de 571 à 594 A.S.H.) Filn (3 mois en l’an 1323 S.H.), Helhel (1723 à 1789 A.S.H.), Ata-ilice (1941 à 1942), Pluton (2928 à 3110 A.S.H.), Tau (3207 à 3208), Jabme-Akka (3543 à 3545 A.S.H.) et Yurlunggur (3623 à 3807).
Dans leur éternelle soif d'âme, les démons on mit en place un grand stratagème d'invocation. Ils prêtent leurs forces à des mages, et, petit à petit, les pousses à franchir un portail qui les mène droit dans les terres du cauchemar, où ils peuvent dévorer leurs âmes. Plus le mage est puissant, plus son âme et sa chair sont prisées ; de ce fait, les plus grands magiciens ont parfois des armées de démon à leur service.
C'est ainsi que la majorité des non-démons se retrouvent dans la troisième lignée. Mais ceux-ci n'ont que peu de chance de survivre assez longtemps pour devenir des démons, car ils sont bien souvent la cible de celui qui les y a fait venir.
Tout comme les autres populations d'Onim avec la viande, les démons possèdent un sens du goût développé, qui leur permet de savoir la qualité de l'âme qu'il consomme. Assez logiquement, un certain nombre d'entre eux est en recherche perpétuelle d'âmes savoureuses, et des fermes ont donc été créées.
On y élève des âmes destinées à être consommé, et certains démons parmi les plus calmes se font éleveurs, surtout pour pouvoir eux-mêmes goutter à ces âmes. Pour créer une qualité toujours plus haute, les démons qui possèdent ces fermes obligent parfois deux âmes à prendre vie, en les forçant à s'incarner dans un corps. Cela permet alors de créer par reproduction une troisième âme, qui aura souvent les mêmes caractéristiques que celles de ses parents ; ainsi, les démons peuvent faire des recherches et des expérimentations sur le goût des âmes.
Lieu de convoitises, ces fermes sont souvent lieus de conflit, mais les démons évitent de se battre à l'intérieur de leur mur, par peur de les détruire.
Ces démons, qui sont généralement capables de prendre une forme humanoïde, forme la caste haute d'Iztot, dont ils dirigent les différentes planètes. Bien que plus puissants que les démons plus bestiaux, ils connaissent une mortalité bien plus élevée, les jeux du pouvoir et du trône n'aidant pas à rester en vie, d'autant plus en terre démoniaque.
Les hauts démons les plus connus sont sans aucun doute ceux formant l'antique Ars Goetia, qui combattit au côté de L'Unique dans La grande croisade. Ces démons puissants acceptèrent, pour un an, les ordres de l'Orhünün qui en fit son équipe de choc pendant la bataille contre l'Église du vide du vide.
S'il est certains que d'autres êtres démoniaques plus puissants ont refusé de participer aux combats, Ars Goetia est considéré comme regroupant les êtres les plus puissants de ce qu'était alors Iztot.
Formé de 69 à 75 individus (les démons n'ayant pas grand intérêt à garder une liste, il est difficile d'être précis sur les membres de l'Ars Goetia), chacun avait au moins le niveau d'un Faux-dieu Rolkonde.
Ce groupe datant de plus de quatre mille ans et la nature même des démons étant d'avoir une espérance de vie courte, il est à noter que peu de membres de l'Ars Goetia sont encore en vie de nos jours. Cependant, chaque membre se vit offrir un sigils-signature par l'Orhüniqueünique (surnom de l'Orhün ayant servi sous L'Unique) qui gardent un grand pouvoir même leur propriétaire mort depuis des millénaires.
Les sigils de l'Ars Goetia sont donc la base de la magie de nombreux démonologistes.
L'ensemble des démons, poussé par leurs désirs, cherche plus de pouvoir et d'influence. Si certains arrivent à devenir des nobles, peu sont ceux qui parviennent à atteindre les rangs très serrés de la circalamitas, court royale de l'Orhün.
Quelques-uns des rares alliés des démoons en leurs terres sont les fléaux de démons. De nombreuse faction ayant accès aux connaissances suffisantes pour atteindre la lignée démoniaque décident parfois d'y envoyer des tueurs, en particulier les Anges et les Diables.
Généralement, l'envoi d'un diable ou d'un ange chez les démons résulte d'une faute pour laquelle le prévenu a été condamné à mort. Au lieu de simplement le tuer, et de gâcher une force de frappe, ils préfèrent alors les envoyer chez les démons, pour que le condamné puisse en tuer un certain nombre avant de lui-même mourir. Pour cela, il faut que l'envoyé soit incorruptible, ou qu'un dispositif (magique ou technologique) l'accompagne pour l'empêcher de rejoindre les démons.
En d'autre occasion, certaines factions mineures voient un passage en enfer comme un rite d'initiation. Ils envoient alors quelqu'un à travers un portail pour une durée donnée, puis le récupère après la fin de cette durée. Les individus qui participent ce genre de rite ne sont pas considérés comme de véritable fléau de démon, étant donné qu'ils peuvent tout à fait se cacher pendant tout le temps qu'ils passent en enfer.
Un véritable fléau ne survit pas longtemps.
Les lister une à une est donc impossible, mais des sous-types de démon peuvent être déduits, regroupant des catégories de démons se ressemblant relativement.
Beaucoup des timides sont porteurs d'une malédiction qui les protège autant qu'elle les isole : porter le regard sur un timide est extrêmement difficile. Sans un effet de volonté aussi grand que le timide est puissant, ceux qui lui font face voient leurs têtes et leurs yeux se tourner, sans jamais avoir la possibilité de regarder en face leur interlocuteur. Ceci permet aux timides de rester cacher, et de s'en tirer même si des démons supérieurs les cherchent, car ces mêmes démons ne savent pas à quoi les timides ressemblent.
Ce mécanisme de protection peut rapidement se changer en arme, car elle permet aux timides d'attaquer des proies qui ne peuvent même pas les regarder.
Âmes acharnées
Résilient au-delà de la mort, les âmes acharnées n'ont pas de corps physiques. C'est aussi l'un des très rares sous-types de démons qui peut être attribué à des non-démons.
Leur principale caractéristique est l'implacabilité de leurs esprits, qui refusent de se laisser briser. Et ce, même quand leur âme est dévorée par un démon. Si les âmes acharnées restent des démons normaux lors de leurs vies, c'est lorsqu'un compère les dévore que leur pouvoir explose : au lieu de voir leur âme être brisée, ils prennent le contrôle de ceux qui les dévorent.
Bien sûr, plus celui qui les a mangés est puissant, plus la supplantation de leurs âmes par la leur est difficile, mais de nombreux démons ont été fort surpris de voir leurs repas passer de « en cours de digestion » à « en cours de putsch spirite ». Cette surprise est d'autant plus grande que, sans une étude approfondie, il est impossible de discerner une âme acharnée d'un démon normal.
Certains non-démons se retrouvent aussi dans ce sous-type. Les mortels munis d'une volonté écrasante arrivent parfois à prendre le contrôle du démon qui les dévore, au prix d'un grand effort qui les change souvent en profondeur.
Ces héros se retrouvent alors dans le corps d'un démon et, soumit aux envies de la chair qui a besoin d'âme pour grandir, finissent souvent par s'attaquer à d'autres personnes et à dévorer des âmes à leurs tours.
Âmes rayées
Les âmes rayées sont des démons à part, car ils ne font pas qu'ingérer les âmes qu'ils chassent. Au lieu de simple les digérer et les détruire pour qu'elles deviennent une partie de leur être, les âmes rayées stockent leurs proies dans leurs corps, comme autant de munition.
Et ces munitions, ils peuvent ensuite les utiliser de biens de manière, utilisant l'essence même des êtres pour augmenter leur force, leur magie et autre. Parfois, ils se contentent de lancer une âme sur un ennemi. En particulier face à des non-démons, une telle technique, même simple, peu rendre fou un homme en quelques instants.
Plusieurs grands destructeurs se servent de cette tactique, amené à une taille titanesque, pour noyer des dimensions entières sous un flot d'âme qui, en refluant, leur ramène celle des habitants malchanceux du plan d'existence qui connaît sa fin ce jour-là.
Sort-tombes
Ressemblant aux âmes acharnées par le fait que leur particularité s'exprime lors de leur mors, les sort-tombes sont des jeteurs de malédiction. Ceci est inscrit profondément dans leurs êtres, si bien que lors de leur mort une malédiction est lancée sur celui qui a provoqué leur chute, même si le sort-tombes n'a pas eu le temps de voir son agresseur.
Les sort-tombes clament souvent leur appartenance à ce sous-type, car c'est là l'une de leurs meilleures défense pour éviter de se faire tuer et vivre un jour de plus.
Malheureusement pour eux, cela n'empêche pas leur adversaire de les capturer, torturer, ou plus simplement d'ordonner à une petite frappe de faire le sale boulot.
Griffe pérenne
Chasseur pernicieux et patient, les griffes pérennes sont nommées selon leurs capacités offensives. Parmi l'éventail de manière qu'il a de blesser quelqu'un, il faut pour être une griffe pérenne en avoir une qui ne se soigne pas. Une attaque, morsure enchantée ou sort vicieux, qui ne peut pas être guéri par la magie ou la technologie, obligeant le corps ennemi à se soigner par lui-même, amenant alors des grands risques d'infections, surtout dans l'environnement maladif d'Iztot.
Ces blessures peuvent finir par se résorber avec le temps, mais laisse des cicatrices impossibles à arranger autrement que par des illusions.
Les griffes pérennes se servent de ces attaques pour affaiblir leur proie, menant une tactique de guérilla qui petit à petit vide leur ennemi de son sang.
Parmi les griffes pérennes les plus puissantes, nombreux sont ceux capables d'asséner des blessures que, même avec du temps et des soins non-magique et non-techno, on ne peut guérir.
Ils n'ont pas de hiérarchie basée sur autre chose que la force et la ruse, pas de règle ni de loi, pas d'autre motivation que leurs envies. Il est difficile de les décrire, tant ils sont disparates.
Leurs rangs regroupent les assoiffées de pouvoir, les savants fous, les psychopathes et sociopathe, et toutes les bêtes qui ne sont motivés que par leurs soifs de sang.
Ils sont regroupés en Iztot, la huitième lignée. Aussi appelé lignée démoniaque, ils n'en sortent que rarement car continuellement plongé dans des guerres intestines.
Ils sont le chaos fait chair, la hantise des scientifiques et historiens: ethnie sans avoir de similitude génétique, organisation désorganisé, sous le joug de l'Orhün sans être religieux, certains démons font exprès de ne pas entrer dans la définition qu'on fait d'eux. On les surnommes parfois la "fausse alliance démoniaque" car, bien que censé former une unique nation, les mondes d'Iztot n'ont d'alliance que le nom.
Naissance et nourriture
Un démon se crée de deux manières : la première et la plus simple, c'est qu'un être vivant se hisse de lui-même à ce titre, via ses actes. Ce sont les démons extérieurs, qui ne sont pas forcément passés par Iztot.Les démons intérieurs sont construits par fusions et cannibalisme. Les terres des cauchemars attirent les rebuts des sociétés de tout Onim, qui y viennent volontairement, où y sont attiré par des démons supérieurs. Alors, ils débuteront une chasse pendant laquelle ils tueront le plus d'autre démon tout en essayant de rester en vie.
En consument leur chair et leur âme, ils gagneront petit à petit en puissance, mais leur individualité sera effacée, laissant place à un être nouveau. Cette chasse à l'âme ne s'arrête qu'à la mort du démon.
À de rares occasions, il arrive qu'un être arrive à rester lui-même au cours de ces changements, si sa volonté est assez forte. Mais jamais personne n'en est ressorti inchangé.
L'Orhün est le titre donné au roi des démons, qui s’élève par la force au-dessus de ses congénères et devient l'équivalent d'un dieu.
Il n'est pas rare que ce titre change de porteur, car un démon ne reste pas longtemps Orhün. Au centre de toutes les envies des démons, il finira par se faire tuer. Il n'existe que peu d'être qui sont devenus le dieu-démon et y ont survécu. Parmi ceux-là, on peut noter Asmodée Ortomir (règne de 571 à 594 A.S.H.) Filn (3 mois en l’an 1323 S.H.), Helhel (1723 à 1789 A.S.H.), Ata-ilice (1941 à 1942), Pluton (2928 à 3110 A.S.H.), Tau (3207 à 3208), Jabme-Akka (3543 à 3545 A.S.H.) et Yurlunggur (3623 à 3807).
Dans leur éternelle soif d'âme, les démons on mit en place un grand stratagème d'invocation. Ils prêtent leurs forces à des mages, et, petit à petit, les pousses à franchir un portail qui les mène droit dans les terres du cauchemar, où ils peuvent dévorer leurs âmes. Plus le mage est puissant, plus son âme et sa chair sont prisées ; de ce fait, les plus grands magiciens ont parfois des armées de démon à leur service.
C'est ainsi que la majorité des non-démons se retrouvent dans la troisième lignée. Mais ceux-ci n'ont que peu de chance de survivre assez longtemps pour devenir des démons, car ils sont bien souvent la cible de celui qui les y a fait venir.
Tout comme les autres populations d'Onim avec la viande, les démons possèdent un sens du goût développé, qui leur permet de savoir la qualité de l'âme qu'il consomme. Assez logiquement, un certain nombre d'entre eux est en recherche perpétuelle d'âmes savoureuses, et des fermes ont donc été créées.
On y élève des âmes destinées à être consommé, et certains démons parmi les plus calmes se font éleveurs, surtout pour pouvoir eux-mêmes goutter à ces âmes. Pour créer une qualité toujours plus haute, les démons qui possèdent ces fermes obligent parfois deux âmes à prendre vie, en les forçant à s'incarner dans un corps. Cela permet alors de créer par reproduction une troisième âme, qui aura souvent les mêmes caractéristiques que celles de ses parents ; ainsi, les démons peuvent faire des recherches et des expérimentations sur le goût des âmes.
Lieu de convoitises, ces fermes sont souvent lieus de conflit, mais les démons évitent de se battre à l'intérieur de leur mur, par peur de les détruire.
Haut démons et Ars Goetia
Tous les démons ne sont pas dépourvus d'intellect. Leurs besoins primaux étant la consommation d'âme, ils sont forcément plus destructeurs que d'autres populations, mais certains préfèrent faire marcher leurs cerveaux plutôt que leurs muscles. Les plus puissants des démons sont justement ceux capables d'une réflexion avancée, car il est facile de se débarrasser d'un adversaire plus puissant si l'on sait ruser.Ces démons, qui sont généralement capables de prendre une forme humanoïde, forme la caste haute d'Iztot, dont ils dirigent les différentes planètes. Bien que plus puissants que les démons plus bestiaux, ils connaissent une mortalité bien plus élevée, les jeux du pouvoir et du trône n'aidant pas à rester en vie, d'autant plus en terre démoniaque.
Les hauts démons les plus connus sont sans aucun doute ceux formant l'antique Ars Goetia, qui combattit au côté de L'Unique dans La grande croisade. Ces démons puissants acceptèrent, pour un an, les ordres de l'Orhünün qui en fit son équipe de choc pendant la bataille contre l'Église du vide du vide.
S'il est certains que d'autres êtres démoniaques plus puissants ont refusé de participer aux combats, Ars Goetia est considéré comme regroupant les êtres les plus puissants de ce qu'était alors Iztot.
Formé de 69 à 75 individus (les démons n'ayant pas grand intérêt à garder une liste, il est difficile d'être précis sur les membres de l'Ars Goetia), chacun avait au moins le niveau d'un Faux-dieu Rolkonde.
Ce groupe datant de plus de quatre mille ans et la nature même des démons étant d'avoir une espérance de vie courte, il est à noter que peu de membres de l'Ars Goetia sont encore en vie de nos jours. Cependant, chaque membre se vit offrir un sigils-signature par l'Orhüniqueünique (surnom de l'Orhün ayant servi sous L'Unique) qui gardent un grand pouvoir même leur propriétaire mort depuis des millénaires.
Les sigils de l'Ars Goetia sont donc la base de la magie de nombreux démonologistes.
L'ensemble des démons, poussé par leurs désirs, cherche plus de pouvoir et d'influence. Si certains arrivent à devenir des nobles, peu sont ceux qui parviennent à atteindre les rangs très serrés de la circalamitas, court royale de l'Orhün.
Ennemis
Comme partout, il existe des exceptions. En de très rare cas, il est possible qu'un démon ne suive pas la même nature que ses congénères, et que sa philosophie s'approche du concept de bonté. Ces derniers démons sont d'autant plus rares qu'ils sont une cible privilégiée pour les autres démons. Parmi les bons démons, aussi appelé démoons, ceux qui arrivent à survivre malgré tout sont généralement puissants ou très rusés. Ou extrêmement chanceux.Quelques-uns des rares alliés des démoons en leurs terres sont les fléaux de démons. De nombreuse faction ayant accès aux connaissances suffisantes pour atteindre la lignée démoniaque décident parfois d'y envoyer des tueurs, en particulier les Anges et les Diables.
Généralement, l'envoi d'un diable ou d'un ange chez les démons résulte d'une faute pour laquelle le prévenu a été condamné à mort. Au lieu de simplement le tuer, et de gâcher une force de frappe, ils préfèrent alors les envoyer chez les démons, pour que le condamné puisse en tuer un certain nombre avant de lui-même mourir. Pour cela, il faut que l'envoyé soit incorruptible, ou qu'un dispositif (magique ou technologique) l'accompagne pour l'empêcher de rejoindre les démons.
En d'autre occasion, certaines factions mineures voient un passage en enfer comme un rite d'initiation. Ils envoient alors quelqu'un à travers un portail pour une durée donnée, puis le récupère après la fin de cette durée. Les individus qui participent ce genre de rite ne sont pas considérés comme de véritable fléau de démon, étant donné qu'ils peuvent tout à fait se cacher pendant tout le temps qu'ils passent en enfer.
Un véritable fléau ne survit pas longtemps.
Sous-type
À cause du chaos qui les caractérise et qui modifie jusqu'à leurs corps, il est très difficile de séparer les démons en race ou espèces, car un individu est souvent tellement broyé par Iztot qu'il devient l'unique représentant d'une nouvelle race.Les lister une à une est donc impossible, mais des sous-types de démon peuvent être déduits, regroupant des catégories de démons se ressemblant relativement.
- Les timides
Beaucoup des timides sont porteurs d'une malédiction qui les protège autant qu'elle les isole : porter le regard sur un timide est extrêmement difficile. Sans un effet de volonté aussi grand que le timide est puissant, ceux qui lui font face voient leurs têtes et leurs yeux se tourner, sans jamais avoir la possibilité de regarder en face leur interlocuteur. Ceci permet aux timides de rester cacher, et de s'en tirer même si des démons supérieurs les cherchent, car ces mêmes démons ne savent pas à quoi les timides ressemblent.
Ce mécanisme de protection peut rapidement se changer en arme, car elle permet aux timides d'attaquer des proies qui ne peuvent même pas les regarder.
Leur principale caractéristique est l'implacabilité de leurs esprits, qui refusent de se laisser briser. Et ce, même quand leur âme est dévorée par un démon. Si les âmes acharnées restent des démons normaux lors de leurs vies, c'est lorsqu'un compère les dévore que leur pouvoir explose : au lieu de voir leur âme être brisée, ils prennent le contrôle de ceux qui les dévorent.
Bien sûr, plus celui qui les a mangés est puissant, plus la supplantation de leurs âmes par la leur est difficile, mais de nombreux démons ont été fort surpris de voir leurs repas passer de « en cours de digestion » à « en cours de putsch spirite ». Cette surprise est d'autant plus grande que, sans une étude approfondie, il est impossible de discerner une âme acharnée d'un démon normal.
Certains non-démons se retrouvent aussi dans ce sous-type. Les mortels munis d'une volonté écrasante arrivent parfois à prendre le contrôle du démon qui les dévore, au prix d'un grand effort qui les change souvent en profondeur.
Ces héros se retrouvent alors dans le corps d'un démon et, soumit aux envies de la chair qui a besoin d'âme pour grandir, finissent souvent par s'attaquer à d'autres personnes et à dévorer des âmes à leurs tours.
Et ces munitions, ils peuvent ensuite les utiliser de biens de manière, utilisant l'essence même des êtres pour augmenter leur force, leur magie et autre. Parfois, ils se contentent de lancer une âme sur un ennemi. En particulier face à des non-démons, une telle technique, même simple, peu rendre fou un homme en quelques instants.
Plusieurs grands destructeurs se servent de cette tactique, amené à une taille titanesque, pour noyer des dimensions entières sous un flot d'âme qui, en refluant, leur ramène celle des habitants malchanceux du plan d'existence qui connaît sa fin ce jour-là.
Les sort-tombes clament souvent leur appartenance à ce sous-type, car c'est là l'une de leurs meilleures défense pour éviter de se faire tuer et vivre un jour de plus.
Malheureusement pour eux, cela n'empêche pas leur adversaire de les capturer, torturer, ou plus simplement d'ordonner à une petite frappe de faire le sale boulot.
Ces blessures peuvent finir par se résorber avec le temps, mais laisse des cicatrices impossibles à arranger autrement que par des illusions.
Les griffes pérennes se servent de ces attaques pour affaiblir leur proie, menant une tactique de guérilla qui petit à petit vide leur ennemi de son sang.
Parmi les griffes pérennes les plus puissantes, nombreux sont ceux capables d'asséner des blessures que, même avec du temps et des soins non-magique et non-techno, on ne peut guérir.
Nous naissons de la lie
Type
Religious, Other
Leader
Parent Organization
Related Ranks & Titles
Notable Members
- Abaddôn
- Alk Irn
- Apolyôn
- Apophis
- Ask-we-da-eed
- Asmodée Ortomir
- Asmodeus
- Astarté
- Bahamut
- Balor
- Bamapama
- Behemot
- Caicai Vilu
- Cethlenn
- Cipactli
- Érèbe
- Fenrisúlfr
- Filicus
- Gònggōng
- Hadès
- Helhel
- Hun Came Vucub Came
- Ieru
- Jabme-Akka
- Jézabel
- Jörmungandr
- Kévin
- Lamashtu
- Les Djunkgao
- Leviathan
- Lilith
- Luisõ
- Malīnalxōchitl
- Merlin
- Miccapetlacalli
- Mictlantecuhtli
- Morg Hianna
- Moros
- Mubpienålmaj
- Nexoxcho
- Nídhögg
- Nihilson
- Orhünique
- Partirio
- Pazuzu
- Pluton
- Ruohtta
- Seth
- Supay
- Surt
- Taotie
- Tartare
- Tau
- Thanatos
- Tiamat
- Tralpaçe
- Whiro
- Wylattes
- Yamata
- Yurlunggur
- Zi
Comments