L'Unique
Le plus grand des prophètes Omni (a.k.a. l'Unique)
L'Unique est souvent utilisé comme datation: "A.U." signifie "avant l'Unique". Cela ne fait cependant pas référence à sa naissance, mais à la fin de la grande croisade qui marque l'an 0 du calendrier standard Heliosséen
"Le plus grand des prophètes", "le dieu mortel", ou encore "celui à la Voix", l'Unique a de nombreux surnom, tant qu'on oublie souvent qu'il s'appelait Omni. Par bien des aspects, sa venue changea radicalement Onim, la sauvant d'une menace absolu et créant l'organisation traverse-monde tel qu'on la connaît maintenant.
Son histoire est racontée dans les trois livres de l'Unique, mais son conte commence toujours par sa rencontre avec Ferald Sanmo, l'homme-héritage.
Ayant fait sienne les connaissances de ses ancêtres il visita nombre de mondes, avant de revenir sur celui qui l'avait vu naître. Là, lors d’un après-midi ensoleillé, alors qu'il faisait une de ses nombreuses marches méditatives, il croisa le chemin d'un homme qu'il n'avait jamais vu dans les parages. Étonné de voir un voyageur dans ces contrés assez reculés, il engagea la conversation.
Une semaine plus tard, il retourna à son village, le visage fermé. Lorsque ses connaissances lui demandèrent la raison de cet air étrange, il leur expliqua qu'un homme venait, en une simple discussion, de ridiculiser les centenaires de connaissances accumulés par ces ancêtres.
Il prit rapidement la décision de suivre cet homme, et devint ainsi le bras droit de l'Unique.
Celui-ci passa la plus grande partie de sa vie à voyager de royaume en royaume, puis de monde en monde. Sans la présence de Ferald, il aurait été cantonné à sa terre, mais il put voyager jusqu'au les tréfonds d'Onim.
À chaque fois, il lui suffisait d'une simple discussion pour que le roi, empereur, président qui lui faisait face le reconnaisse comme maître absolu. Beaucoup le questionnèrent, essayant de comprendre comment il réalisait ces miracles, mais aucune réponse ne put les satisfaire: il disait n'user d'aucune magie, d'aucune technologie. Il disait simplement savoir manier les mots.
À mesure que sa réputation grandissait, certains recopièrent ses mots, et les propagèrent, bien plus vite qu'il n'aurait pu le faire seul. Il demanda aux ennemis les plus mortels et les plus haïssables de faire la paix, pour le temps de sa vie d'homme, et ils le firent.
Les mondes ne furent pas en paix pour autant, car il n'arrêta pas les guerres, sachant qu'elles sont malheureusement une composante essentielle à la vie. Bientôt, la dimension fut presque entièrement à ses pieds.
Certains cherchèrent à donner un nom à cette dimension, et voulurent la nommer Omni, du nom de l'Unique, mais celui-ci refusa, ne cherchant pas la gloire. Ferald Sanmo, l'homme-héritage conseilla donc à ces hommes de changer la place de quelques lettres, pour donner Onim.
Ainsi, si l'Unique refusait ce nom, il lui serait répondu qu'il était bien égocentrique de penser que ce nom venait du sien. L'Unique en rit, et le nom fut adopté.
Avec les mondes à ses pieds, l'Unique aurait pu accéder facilement à l'immortalité, à des richesses inouïes, mais il n'en fit rien. Simplement, sur le peu de temps qui restait à sa vie humaine après avoir parcouru tant de lieu, il créa une monnaie, et une langue.
Les démons furent réticents à cela, car cela voulait dire qu'un semblant d'ordre était instauré, mais il expliqua au plus élevé d'entre eux qu'il fallait construire pour pouvoir détruire, et que de telles choses permettraient aux mortels de créer plus.
Jusqu'à ce moment-là, les onze grands étaient restés relativement silencieux vis-à-vis du prophète, observant en spectateur cet homme étonnant qui sortait tant du lot qu'il en devenait presque effrayant. D'aucuns disent qu'ils avaient peur qu'une simple discussion avec l'Unique suffise à les convaincre eux aussi.
Surprenant tout le monde, l'un d'eux apparu à la porte de la salle du trône que les partisans de l'Unique avaient construit pour lui, malgré la volonté de ce dernier de ne pas s'afficher comme suzerain ultime.
Filn, dieu des plaisanteries et des voleurs, l'éternel sourire caché dans les ombres, s'approcha au grand jour, sans chercher à se cacher. Le visage grave, il avança vers l'Unique qui était assis devant son trône, ayant refusé de s'y asseoir.
Le dieu s'agenouilla, et jura son allégeance. Il ne fut que le premier d'une longue lignée.
Après la langue commune et la pièce d'or, monnaie à présent répandu sur tous les mondes, l'Unique avait un dernier projet. On dit que le temps avait d'abord refusé d'apposer son emprise sur l'Unique, mais celui-ci lui avait demandé de ne le traiter que comme un homme, et il avait vieilli.
Ses longues années de voyage, puis celle qu'il avait passé en suzerain, supervisant la création de la langue et de la pièce, avait épuisé son espérance de vie. L'étrange voix qui lui avait servi à convaincre tant de gens ne lui permit pas de vivre plus longtemps, et il mourut.
À son chevet, seules deux personnes : son âme sœur, si discrète qu'on l'appelle encore "l'ombre", et son enfant, à qui il murmura sa toute dernière idée. Car malgré toute la philosophie qu'il avait pu déployer, il n'avait pas réussi à imaginer un monde viable avec les factions qui peuplaient alors Onim.
La dernière, seule à ne pas s'être incliné devant lui, était un problème. La neuvième lignée, et les adorateurs de Rien qui la peuplait, le haïssait tout autant que le reste de la dimension l'adulait.
Cela ne lui avait jamais posé problème, mais il savait qu'un jour leur consommation d'Amarine rendrait ces mondes infertiles et mort. Ainsi, il demanda à son enfant avec inquiétude, si ses partisans voudraient bien, possiblement, mobiliser certains de leurs soldats – pas trop, juste assez pour régler ce problème – pour se débarrasser de l'Église du vide
L'enfant fit courir cette demande.
L'alliance de l'Unique, disposant enfin d'un ennemi, mit sur pieds la grande croisade. Les armées des hommes et des bêtes, les monstres les plus abominables, les démons les plus destructeurs, firent alliance avec les anges les plus loyaux, les archéens les plus bons.
L'Unique avait demandé, mais tous prirent sa demande comme un ordre, le premier et le dernier qu'il n’ait jamais donné. Les traverses-monde ouvrirent les portails, et les armées des différentes planètes les traversèrent, formant la plus grande armada jamais vue.
L'Église du vide fut envahie. Ce fut un temps de douleur et de souffrance, de larme et de sang, exacerbé par la perte récente de l'Unique.
Les dieux participèrent eux-mêmes aux combats, et l'Église du vide fut renversée en un an, les 388 planètes de la neuvième lignée réduite en poussière peu après.
Les combats laissèrent une marque indélébile dans l'esprit d'innombrables guerriers, et un nombre encore plus grand péri. L'alliance essaya de rester entière, par mémoire pour l'Unique, mais elle se brisa un mois à peine après la fin des combats.
L'enfant croisé et l'âme sœur disparurent, tandis que Ferald supervisa la création des grandes écoles de traverse-monde, et de la mise en place des dix planètes-expériences, deux idées qu'il avait soumises à l'Unique et qu'il avait accepté, sans avoir le temps de les appliquer. Après, l'homme-héritage devint le principal de l'une de ses écoles, et n'en bougea plus.
Quelques années plus tard, les traces de l'Unique s'étaient inscrit dans l'imaginaire collectif : tout le monde naît en connaissant les deux premières grandes règles(l'Unique doit être respecté, la neuvième lignée doit être crainte).
Mais quelque chose de bien plus matériel se produit : le respect de la population d'Onim était tel, et est tel, qu'une personnification en naquit, Palabre, dont seul travail est de traquer ceux qui usent en de mauvais terme du nom de l'Unique.
On découvrit plus tard que, bien qu'il ait parlé avec un nombre immense de gens, l'Unique avait toujours considéré sa première discussion – celle de sa rencontre avec Ferald – comme la plus éprouvante.
Celui-ci, en parlant avec Azil, découvrit que son ancien ami était une singularité planaire : une chose qui n'existait que dans une seule et unique dimension, plaçant ainsi Onim au centre de tout.
Plusieurs millénaires plus tard, on ne sait toujours pas qui il était: ni de qui il était né, ni qui lui avait appris à parler ainsi, ni s'il avait ou non de pouvoir. L'on ne sait même pas où il est enterré.
Certains disent qu'il repose sur la terre créée par le corps de Mater, la déesse-mère de l'amour, d'autre disent que sa tombe se trouve sur Utopia, et que c'est elle qui donnera à cette planète chimérique ses pouvoirs de bonheur absolu. Quelques chercheurs spéculent aussi, avec discrétion pour ne pas attirer l'ire de Palabre, sur le lien entre Omni et Rien.
Nombreux sont ceux qui théorisent sur l'Unique, avançant pour certains qu'il est le fils du dieu-créateur, tandis que d'autres affirment qu'il est ce dieu.
Avec la disparition de son enfant, la descendance de l'Unique fut perdue de vue, entourant encoure plus de mystère cet homme qui, par la simple force de ses mots, avaient réussi à conquérir tout Onim.
L'Unique laissa derrière lui un empire qui se délita rapidement, mais tous les traverses-monde se rappellent qui il fut et ce qu'il a fait. Éparpillés en Onim, les artefacts du temps de la grande croisade reposent, protégés par les fidèles du porteur de la Voix. Certains attendent qu'un être assez digne se montre, d'autres prient les objets, tandis que les plus extrémistes interdisent à qui que ce soit de poser leurs yeux sur ses objets, par peur de les abîmer. • La couronne des dix arbres; pièce de diamant brute que l'Unique a toujours refusé de porter, préférant la garder à sa main. • Omniral , le navire spatial elfique qui abrita l'Unique lors de ses voyages hors des dix lignées.
Certains lieux sont aussi considéré sacré vis-à-vis de l'Unique:
"Le plus grand des prophètes", "le dieu mortel", ou encore "celui à la Voix", l'Unique a de nombreux surnom, tant qu'on oublie souvent qu'il s'appelait Omni. Par bien des aspects, sa venue changea radicalement Onim, la sauvant d'une menace absolu et créant l'organisation traverse-monde tel qu'on la connaît maintenant.
Son histoire est racontée dans les trois livres de l'Unique, mais son conte commence toujours par sa rencontre avec Ferald Sanmo, l'homme-héritage.
Ayant fait sienne les connaissances de ses ancêtres il visita nombre de mondes, avant de revenir sur celui qui l'avait vu naître. Là, lors d’un après-midi ensoleillé, alors qu'il faisait une de ses nombreuses marches méditatives, il croisa le chemin d'un homme qu'il n'avait jamais vu dans les parages. Étonné de voir un voyageur dans ces contrés assez reculés, il engagea la conversation.
Une semaine plus tard, il retourna à son village, le visage fermé. Lorsque ses connaissances lui demandèrent la raison de cet air étrange, il leur expliqua qu'un homme venait, en une simple discussion, de ridiculiser les centenaires de connaissances accumulés par ces ancêtres.
Il prit rapidement la décision de suivre cet homme, et devint ainsi le bras droit de l'Unique.
Celui-ci passa la plus grande partie de sa vie à voyager de royaume en royaume, puis de monde en monde. Sans la présence de Ferald, il aurait été cantonné à sa terre, mais il put voyager jusqu'au les tréfonds d'Onim.
À chaque fois, il lui suffisait d'une simple discussion pour que le roi, empereur, président qui lui faisait face le reconnaisse comme maître absolu. Beaucoup le questionnèrent, essayant de comprendre comment il réalisait ces miracles, mais aucune réponse ne put les satisfaire: il disait n'user d'aucune magie, d'aucune technologie. Il disait simplement savoir manier les mots.
À mesure que sa réputation grandissait, certains recopièrent ses mots, et les propagèrent, bien plus vite qu'il n'aurait pu le faire seul. Il demanda aux ennemis les plus mortels et les plus haïssables de faire la paix, pour le temps de sa vie d'homme, et ils le firent.
Les mondes ne furent pas en paix pour autant, car il n'arrêta pas les guerres, sachant qu'elles sont malheureusement une composante essentielle à la vie. Bientôt, la dimension fut presque entièrement à ses pieds.
Certains cherchèrent à donner un nom à cette dimension, et voulurent la nommer Omni, du nom de l'Unique, mais celui-ci refusa, ne cherchant pas la gloire. Ferald Sanmo, l'homme-héritage conseilla donc à ces hommes de changer la place de quelques lettres, pour donner Onim.
Ainsi, si l'Unique refusait ce nom, il lui serait répondu qu'il était bien égocentrique de penser que ce nom venait du sien. L'Unique en rit, et le nom fut adopté.
Avec les mondes à ses pieds, l'Unique aurait pu accéder facilement à l'immortalité, à des richesses inouïes, mais il n'en fit rien. Simplement, sur le peu de temps qui restait à sa vie humaine après avoir parcouru tant de lieu, il créa une monnaie, et une langue.
Les démons furent réticents à cela, car cela voulait dire qu'un semblant d'ordre était instauré, mais il expliqua au plus élevé d'entre eux qu'il fallait construire pour pouvoir détruire, et que de telles choses permettraient aux mortels de créer plus.
Jusqu'à ce moment-là, les onze grands étaient restés relativement silencieux vis-à-vis du prophète, observant en spectateur cet homme étonnant qui sortait tant du lot qu'il en devenait presque effrayant. D'aucuns disent qu'ils avaient peur qu'une simple discussion avec l'Unique suffise à les convaincre eux aussi.
Surprenant tout le monde, l'un d'eux apparu à la porte de la salle du trône que les partisans de l'Unique avaient construit pour lui, malgré la volonté de ce dernier de ne pas s'afficher comme suzerain ultime.
Filn, dieu des plaisanteries et des voleurs, l'éternel sourire caché dans les ombres, s'approcha au grand jour, sans chercher à se cacher. Le visage grave, il avança vers l'Unique qui était assis devant son trône, ayant refusé de s'y asseoir.
Le dieu s'agenouilla, et jura son allégeance. Il ne fut que le premier d'une longue lignée.
Après la langue commune et la pièce d'or, monnaie à présent répandu sur tous les mondes, l'Unique avait un dernier projet. On dit que le temps avait d'abord refusé d'apposer son emprise sur l'Unique, mais celui-ci lui avait demandé de ne le traiter que comme un homme, et il avait vieilli.
Ses longues années de voyage, puis celle qu'il avait passé en suzerain, supervisant la création de la langue et de la pièce, avait épuisé son espérance de vie. L'étrange voix qui lui avait servi à convaincre tant de gens ne lui permit pas de vivre plus longtemps, et il mourut.
À son chevet, seules deux personnes : son âme sœur, si discrète qu'on l'appelle encore "l'ombre", et son enfant, à qui il murmura sa toute dernière idée. Car malgré toute la philosophie qu'il avait pu déployer, il n'avait pas réussi à imaginer un monde viable avec les factions qui peuplaient alors Onim.
La dernière, seule à ne pas s'être incliné devant lui, était un problème. La neuvième lignée, et les adorateurs de Rien qui la peuplait, le haïssait tout autant que le reste de la dimension l'adulait.
Cela ne lui avait jamais posé problème, mais il savait qu'un jour leur consommation d'Amarine rendrait ces mondes infertiles et mort. Ainsi, il demanda à son enfant avec inquiétude, si ses partisans voudraient bien, possiblement, mobiliser certains de leurs soldats – pas trop, juste assez pour régler ce problème – pour se débarrasser de l'Église du vide
L'enfant fit courir cette demande.
L'alliance de l'Unique, disposant enfin d'un ennemi, mit sur pieds la grande croisade. Les armées des hommes et des bêtes, les monstres les plus abominables, les démons les plus destructeurs, firent alliance avec les anges les plus loyaux, les archéens les plus bons.
L'Unique avait demandé, mais tous prirent sa demande comme un ordre, le premier et le dernier qu'il n’ait jamais donné. Les traverses-monde ouvrirent les portails, et les armées des différentes planètes les traversèrent, formant la plus grande armada jamais vue.
L'Église du vide fut envahie. Ce fut un temps de douleur et de souffrance, de larme et de sang, exacerbé par la perte récente de l'Unique.
Les dieux participèrent eux-mêmes aux combats, et l'Église du vide fut renversée en un an, les 388 planètes de la neuvième lignée réduite en poussière peu après.
Les combats laissèrent une marque indélébile dans l'esprit d'innombrables guerriers, et un nombre encore plus grand péri. L'alliance essaya de rester entière, par mémoire pour l'Unique, mais elle se brisa un mois à peine après la fin des combats.
L'enfant croisé et l'âme sœur disparurent, tandis que Ferald supervisa la création des grandes écoles de traverse-monde, et de la mise en place des dix planètes-expériences, deux idées qu'il avait soumises à l'Unique et qu'il avait accepté, sans avoir le temps de les appliquer. Après, l'homme-héritage devint le principal de l'une de ses écoles, et n'en bougea plus.
Quelques années plus tard, les traces de l'Unique s'étaient inscrit dans l'imaginaire collectif : tout le monde naît en connaissant les deux premières grandes règles(l'Unique doit être respecté, la neuvième lignée doit être crainte).
Mais quelque chose de bien plus matériel se produit : le respect de la population d'Onim était tel, et est tel, qu'une personnification en naquit, Palabre, dont seul travail est de traquer ceux qui usent en de mauvais terme du nom de l'Unique.
On découvrit plus tard que, bien qu'il ait parlé avec un nombre immense de gens, l'Unique avait toujours considéré sa première discussion – celle de sa rencontre avec Ferald – comme la plus éprouvante.
Celui-ci, en parlant avec Azil, découvrit que son ancien ami était une singularité planaire : une chose qui n'existait que dans une seule et unique dimension, plaçant ainsi Onim au centre de tout.
Plusieurs millénaires plus tard, on ne sait toujours pas qui il était: ni de qui il était né, ni qui lui avait appris à parler ainsi, ni s'il avait ou non de pouvoir. L'on ne sait même pas où il est enterré.
Certains disent qu'il repose sur la terre créée par le corps de Mater, la déesse-mère de l'amour, d'autre disent que sa tombe se trouve sur Utopia, et que c'est elle qui donnera à cette planète chimérique ses pouvoirs de bonheur absolu. Quelques chercheurs spéculent aussi, avec discrétion pour ne pas attirer l'ire de Palabre, sur le lien entre Omni et Rien.
Nombreux sont ceux qui théorisent sur l'Unique, avançant pour certains qu'il est le fils du dieu-créateur, tandis que d'autres affirment qu'il est ce dieu.
Avec la disparition de son enfant, la descendance de l'Unique fut perdue de vue, entourant encoure plus de mystère cet homme qui, par la simple force de ses mots, avaient réussi à conquérir tout Onim.
L'Unique laissa derrière lui un empire qui se délita rapidement, mais tous les traverses-monde se rappellent qui il fut et ce qu'il a fait. Éparpillés en Onim, les artefacts du temps de la grande croisade reposent, protégés par les fidèles du porteur de la Voix. Certains attendent qu'un être assez digne se montre, d'autres prient les objets, tandis que les plus extrémistes interdisent à qui que ce soit de poser leurs yeux sur ses objets, par peur de les abîmer. • La couronne des dix arbres; pièce de diamant brute que l'Unique a toujours refusé de porter, préférant la garder à sa main. • Omniral , le navire spatial elfique qui abrita l'Unique lors de ses voyages hors des dix lignées.
Certains lieux sont aussi considéré sacré vis-à-vis de l'Unique:
- Le jardin de l'Unique, vallée encaissée qu'il croyait capable de faire comprendre la beauté même à l'Orhün
- L'arbre gris, où il rencontra sa moitié d'âme
- Le palais gris gris, abritant le trône inusité
- Capirtail, la cité-mère de la croisade
Relationships
Date of Birth
Circa -73 A.S.H.
Date of Death
-1 A.S.H.
Spouses
L'âme sœur de l'Unique
(spouse)
Siblings
Children
Aligned Organization
Ruled Locations
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