Meriel est une elfe des bois svelte (autour de 125 lb) mesurant environ 5'7'', au teint vert et aux cheveux pratiquement noir, sauf une mèche rouge, lui arrivant au milieu du dos, très souvent bien peignée, cheveux tressés ou à demi remontés, laissant les marques représentant son cercle druidique, qu'elle a près de la tempe, bien visibles.
Elle porte sa fidèle armure de cuir qui lui a été confectionnée par sa mère pour son départ, Meriel est certainement plus lousse dedans qu'elle l'était à l'origine. (Tout ce qu'elle a traversé depuis son arrivée, alors qu'elle était douce et innocente, souhaitant visiter les Terres Sauvages afin de découvrir de nouveaux animaux et de nouvelles espèces de la flore, l'aura clairement amaigrie.)
Meriel porte une cape bien particulière, d'un ours gigantesque, dont le capuchon est, en fait, la tête de l'animal, cape confectionnée par Vroggakt, son amoureux, à partir de la peau d'un ours/druide/garou avec qui elle avait eu la chance de discuter quelques mois avant de retrouver sa peau servant de tapis dans un campement orc. Lui offrant une plus belle vie, elle la porte dès que la température est suffisamment fraiche, et s'en sert de couverture lors d'expédition.
Elle a aussi à son cou, un collier qui lui a été remis par son ami Solairik, un pendentif dans lequel se retrouve un fragment de brume récupéré sur un "chevalier de brume" battu il y a un bon moment. Ensemble, et avec Aroxyan, ils ont longtemps cherché à en connaître l'utilité, un peu en vain, Meriel le garde à son cou dans l'espoir d'y trouver une signification ou une utilité un jour. Le collier ayant été confectionné par Vladimir (bien avant qu'il ne devienne le Tyran), Meriel aura conservé que le boitier et son contenu, mais elle a remplacé la chaine de métal par un ruban de cuir alors que Solairik lui a remis le fragment, le jour où ils ont vaincu le Tyran et où le Rinn lui a annoncé qu'il ne sortirait plus dans ces terres. Elle le porte souvent caché sous ses vêtements pour éviter de porter l'attention. Mais ce n'Est pas son seul "collier". Elle a aussi une clé comme attachée à son cou par une longue ficelle, clé qui ouvre son armoire à mémoires. Ce meuble, longtemps caché sur le Faenomène se retrouvera dans la forêt de l'ouest, si ce n'est déjà fait. Il contient tous ses écrits, toutes ses notes brouillons, les liens entres les informations qu'elle a acquiert, les noms de ceux qui lui ont donné les informations, les brouillons de ses thèses, mais aussi une copie de cette thèse en trois parties.
À son bras, un bracelet de cuir, ayant une pierre bleue au centre, un cadeau qui lui est cher et qui lui rappelle au quotidien qu'elle n'est plus seule à tenir à sa vie. Une écriture elfique mentionnant "Dans mon coeur, jusqu'à la mort" est gravée dessus. Elle le porte à son poignet gauche.
À sa hanche droite, elle porte une sacoche de cuisse ornée d'une gravure de tête de cerf, autre objet confectionné par celui qui partage sa vie. Dans cette sacoche, deux objets, d'abord, un diamant valant 500 couronnes, le dernier qu'il était possible de trouver en Nouvelle-Audarque à l'époque. (La seule personne autre qu'elle même à connaitre l'existence ET l'emplacement de ce diamant est Vroggakt). L'autre objet, une petite fiole contenant son propre sang, scellée à la cire, lui rappelant au quotidien qu'elle vaut mieux que de remettre son destin entre les mains d'un démon.
Elle porte aussi un bouclier, et entend presque Solairik la forcer à l'apporter chaque fois qu'elle sort dans les terres. Ce bouclier de bois qui peut sembler banal pour la plupart des gens représente beaucoup pour elle. Non seulement s'y trouvent les traces de dents de Ya'Maarz, premier lieutenant de Ta'Arsh éliminé lors de l'assaut à 10 sur la Bastille (la première fois qu'elle acceptait réellement de finalement porter un vrai bouclier). Sur le bouclier, elle a par la suite fait clouter une tête d'ours, engravée et tracée de cuir sur le bois, par Brokal et là où se trouvent les yeux, Vladimir y avait encavé une pierre précieuse verte et une bleue, à la demande de Meriel.
Elle possède et traine régulièrement avec elle une jarre d'alchimie qui produit 80 % du temps du vin ainsi que le poignard de la tisseuse, souvenir du Conte de fae.
Elle a récemment mis la main sur un bâton de marche particulier qui, telle la belladone qui empoisonne en donnant la sensation d'assèchement, lui permet de retirer l'essence vitale de ce qui se retrouve devant elle, c'est pourquoi elle lui a donné le nom de cette plante assez mortelle.
Meriel accorde une importance très particulière au Faenomène, bateau qu'elle a construit avec Tyfdur durant plusieurs semaines, raison pour laquelle elle a même appris la charpenterie! Elle serait prête à tuer si quelqu'un s'en prenait au bateau. (Imagnez s'ils s'en prennent aux gens auxquels elle tient.)
Amère et désillusionnée, elle porte sa confiance plus que jamais vers la nature qui, malgré qu'elle semble figée dans le temps, lui apporte calme et réconfort. Elle a toujours espoir de découvrir quelconque lieu paisible où il ferait bon vivre, libre de tout démon, candélabre et autres engeances.
Outre ces divers objets, Meriel a aussi quelques marques physiques. La plus apparente: une cicatrice permanente au poignet droit/base de l'avant-bras, marquée pour toujours par le passage de la griffe de Ganglery en elle, avant que Solairik lui retire gentiment, alors qu'elle s'était coincée dans les os de son avant-bras.
Elle a aussi une petite marque d'entaille au fond de la main droite, résultat de quelques... imprévus...
Suite au sacrifice de l'eau, elle est marquée à jamais par la faucheuse, lui ayant ainsi drainé une partie de ses capacités arcanes afin d'en préciser la puissance.
Bercée et portée par ses émotions, parfois impulsive, elle prendra tout de même le pas de recul nécessaire à réagir de manière "réfléchie".
Elle sait que les 8 existent mais continue de véhiculer que le Candélabre est une gangraine pour les mortels et tente toujours de le démontrer.
L'ainée possède une fiole de son sang et elle doit un service au Vieillard-du-fond-du-bois. Elle a aussi eu la chance d'entendre celui dont la voix éveil les héros et d'être "traversée"/touchée? par l'ancien.