Dragon Species in Onim | World Anvil
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Dragon

 
Catégories
  Ces êtres légendaires sont trop souvent réunis dans une seule case, alors que comme pour tous les êtres sentients il existe une multitude de sous-divisions.
Ainsi, les dragons mineurs, ou dragonoïdes, ne sont pas des dragons à proprement parler, se rapprochant plus du lézard que d'autre chose ; là sont regroupé toutes les races et espèces de dragon qui ne pensent pas, des animaux, parfois crachant de feu, mais incapable de parole.
La deuxième classe de dragon est dite simplement "dragon". Là sont regroupé les dragons typés de toute ethnie, ainsi que les wyvernes intelligentes, les hommes-dragons et toutes sortes de demi-dragon. Ils sont, à de rare exceptions, tous des êtres sentients.
Les rares occasions étant des dragonoïdes à la puissance de destruction trop grande pour être appelé dragon mineur.
Sachant qu'en nombre d'individus, la classe la plus basse est celle où il y a le plus d'animaux, et l'effectif va en descendant à mesure que l'on augmente.
En particulier pour la troisième classe, dit des Grands Dragons, ou dragon ancien, encore appelé dragon parmi les dragons.
Ce dernier nom définit bien ce qu'ils sont: des êtres qui, même en faisant partie d'une race quasi-mythique, s'élève encore au-dessus, devenant des légendes parmi les légendes, des dragons parmi les dragons.
Là sont les Dieux mineurs et majeurs, les Faux-dieu, les Personnification et les Ancestraux.
Parfois, il arrive qu'un grand dragon descende de classe, ne devenant plus qu'un simple dragon ; ils sont alors appelés des déchus.
Cela peut être lié à de nombreuse chose, comme une blessure incurable, une malédiction, une maladie... mais bien souvent, les déchus ont eu comme seul ennemi le temps.
   
Trésor
  De nombreuses légendes attribuent aux dragons une forte avidité, et de nombreux contes expliquent que chacun d'eux dort sur un monceau d'or et de richesse.
Cela est vrai pour une vaste majorité d'entre eux; en effet, la majorité des espèces et sous-espèces de dragons possèdent des écailles qui sont moins solides et épaisses sur leurs ventres et à l'intérieur de leur articulation (coudes, genoux, cou et entrejambes par exemples).
Se coucher sur un trésor permet de résoudre cette faiblesse, car des pièces de métal s'imbrique dans les parties les plus molles du corps des dragons qui ont ce genre de couche, leur permettant de se créer une sorte d'armure disparate.
Le choix de matériaux précieux au lieu de métal plus solide, comme l'acier et expliquer par le fait que l'or, l'argent et les pierres précieuses sont plus à même de recueillir du mana en leur sein.
Les dragons produisant un fort flot de mana, celui-ci s'infiltrera petit à petit dans son lit, lui permettant de se créer une réserve de magie qui pourra l'aider, par exemple, à se soigner en revenant d'un ardu combat.
Ce réflexe est petit à petit rentré dans l'inconscient des dragons, qui le mettent en place même s'ils ne sont de lignée inférieure et incapable de magie.
De même, certains dragons ont oublié le but primaire d'avoir un trésor, et chassent pour le simple plaisir d'être riche. Ces dragons font parfois l'erreur de garder dans leur lit des armes précieuses qui, en se gorgeant de leur mana, deviennent des armes parfaites pour les terrasser.
Un dragon supérieur s'occupe de son lit avec patience, rejetant tout objet qui pourrait se retourner contre lui.  
Culture
  Bien que les dragons soient disséminé sur tous les mondes d'Onim ou presque, leur immense espérance de vie, leur force et leur capacité innée à la magie fait qu'ils ont quasiment toujours conscience de l'existence des lignées, et font partie des traverse-mondes voyageant le plus.
Cela a comme conséquence que les dragons, bien qu'ayant chacun leur code moral, partage peu ou prou les mêmes traditions, parmi lesquelles une relation toute particulière au temps qui passe, donnant à la sacralisation du nom (que les dragons se choisissent eux-mêmes) et à la haine-pitié de ceux qu'ils appellent "courte-vie".
Cette culture unique fait qu'il est facile de désigner les objets de culte de cette espèce : la plupart des dragons cherchant à vouer un culte à un être supérieur se tournent vers Akal Eltar et certains accordent des prières aussi aux Ekawoshwass - les "grandes mères Ancestrales" - ou plus rarement Al-ayat, mais elles sont plus souvent vu comme des lointaines et respectées parentes que comme des déesses.  
Parures
  Chez les dragons, les écailles jouent un rôle primordial dans les relations sociales : preuve extérieure de la position sociale de celui qui les porte, elles servent autant de bijou que d'armure et les dragons qui leur préfèrent des vêtements sont une minorité.
Avec ces écailles, les dragons ont construit un système de caste qui juge ses membres sur la couleur qu'il adopte bien plus que sur la couleur de leur naissance.
 
  • Encre et papier d'Azil
  Pour les dragons les plus réfléchit, ceux qui cherchent à éviter le combat et à mener une vie de chercheur, la voie des écailles d'encre est toujours un bon choix. Ces dragons, souvent appeler dragon d'Azil, choisissent alors de teindre leurs écailles de noirs ou de les remplacer par des triangles d'encre enchantée.
Au lieu de réunir dans leurs antres un tas d'or, d'objet précieux et de gemmes, ces individus cherchent le plus souvent des tomes, des écrits et des livres renfermant d'ancienne connaissance pour satisfaire leur curiosité inhumaine. Avec ce trésor bien plus délicat que le métal, il ne se trouve que peu de dragon d'encre qui aime mettre toute leur possession en tas et dormir dessus ; ils préfèrent plutôt construire de grande bibliothèque et dormir en leur centre, entouré des connaissances qu'ils ont amassées.

  Plus rare, plus vieux et respectés, les dragons de papiers sont souvent considérés comme les supérieurs directs des dragons d'encre. Eux remplacent leurs écailles par des parchemins en un processus bien plus compliqué que celui demandé pour créer des écailles d'encre : en effet, au lieu de créer un nouvel objet, les dragons de papier prennent un écrit déjà existent et doivent l'enchanter de manière à ce qu'il soit autant (ou plus) résistant que l'écaille qu'il remplace, qu'il ne puisse pas brûler, geler où se déliter, et que la greffe soit acceptée. Il faut beaucoup de connaissance et de recherche pour réussir ce tour de force, et c'est pour cette raison que la majorité des dragons d'encre respectent ceux de papier.  
  • Griffes de sang
  Les dragons, même s'ils sont souvent dépeints comme des êtres pillant et massacrant pour leur simple plaisir, ne sont pas des tous des guerriers. La plupart préfèrent choisir d'autres voix, comme les dragons des encres. Mais certains dragons vivent par et pour le combat. Ces guerriers, aux fils des batailles, sont touchés par d'innombrables blessures qui brisent leurs écailles. Attendre la repousse de celles-ci serait garder un point faible bien trop visible sur leurs corps, ils préfèrent donc une autre méthode : raffinant et concentrant le sang de leurs ennemis, ils se créent des écailles carmines qui viennent remplacer celles perdues durant le combat. Petit à petit, leurs corps se couvrent ainsi de rouge. Ces dragons, appelés dragons de sang, dérivent la soif d'or de leur race en une soif de combat. Ils chassent les êtres ayant des sangs de couleurs différents, pour former des motifs sur leurs corps, utilisant le liquide vital comme un bijou. Certains dragons de sang arrêtent même de combattre pour se consacrer à la recherche de nouvelle couleur pour forger de nouvelles écailles. Appelé cruoromancien, ils achètent, mélangent et vendent des sangs qui sont ensuite utilisé comme cadeau ou dans divers rituels, cérémonie de passage.
Les dragons de sang sont donc divisés en trois parties : les combattants normaux, les cruoromancien, et les Cruorolier. Ces derniers refusent d'acheter ou d'échanger du sang ; pour eux, un véritable dragon de sang ne peut se parer que du sang d'ennemi qu'il a lui-même vaincu. Se servir de ce sang comme bijou et décoration de corps devrait être une preuve que le paré a beaucoup vaincu, non qu'il ait beaucoup dépensé.
La création d'écaille de sang ne doit pas être confondus avec la coloration dermique, équivalent des tatouages pour les dragons. Ceux-ci peuvent très bien arborer des motifs colorés artificiels sans pour autant faire partit des dragons de sang.  
  • Les marchands de métal
  D'autres dragons préfèrent se parer de métaux et non de sang. Preuve extérieure de richesse bien plus que système défensif, les écailles de métal qu'ils arborent sont la preuve qu'ils ne sont pas des guerriers, une écaille de dragon étant (dans la très grande majorité des cas) bien plus solides et moins lourde qu'une écaille de métal.
Représenté par Alkiel (fausses-déesse de Plokramiro, Eascaesar 5-19), ils utilisent eux aussi des matériaux de différentes couleurs pour former des motifs sur leurs peaux. Ce sont aussi ceux qui parmi les dragons ont le plus le réflexe des vêtements ; à nouveau, ils n'en ont pas vraiment besoin, sauf pour montrer l'étendue de leur trésor. Tout comme les dragons d'encre, il est rare de trouver des dragons métalliques esseulés. Ils se regroupent souvent dans des grandes villes de traverses-mondes, où voyagent en prenant le rôle de marchand, rejetant les ermitages esseulés caractéristiques des dragonoïdes solitaires.  
  • Charbon
  Les dragons d'encres partagent la couleur noire avec une seconde catégorie d'écailles, celles dont sont parés les dragons de cendre, ou de charbon. Ceux-là sont les parias des dragons, et ont été obligé de se teindre les écailles pour refléter leurs crimes. Ils sont parfois les esclaves d'autres dragons, ou même de peuples inférieurs à qui ils ont été offerts.
Certaines de leurs écailles sont colorées de blanc pour former des mots expliquant la raison de ce jugement, et la nature de leurs crimes.
Ce châtiment étant sans retour et touchant l'apparence du dragon, il est vu par nombre d'entre eux comme un sort pire que la mort. Mais il est à noter qu'un dragon de charbon a été jugé, et a donc été attrapé. Les pires criminels, les plus malins et puissants, restent généralement libres jusqu'à leur mort, et rien sur leurs écailles ne permet de savoir leurs crimes.
Malgré la honte que représentent des telles écailles, un dragon de cendre peut tout de même redevenir quelqu'un d'influent s'il ne devient pas esclave. Ainsi, Okleçia, la représentante des dragons de charbons se relevant, est devenus la fausse-déesse de Va'mir (1er mot, 6-4) après s'être illustré pendant La grande croisade.  
  • Gemmes et verre
  Il existe aussi un bon nombre de dragons chez qui la soif de richesse est devenue une raison de vivre. Se parer de métaux étant pour les marchands et non les nobles, ils préfèrent donc, tout simplement, se parer de cristaux et pierre précieuse.
La caste des dragons-gemmes est considérée comme celle des nobles, et n'est donc présent que dans les sociétés avec de dragon pour que l'un d'eux s’élève et surpasse les autres par sa richesse. Contrairement à la majorité des dragons, ils ne cherchent pas à avoir une couleur unie, mais préfère l’excentricité de l'arc-en-ciel, parant leurs dos de mille gemmes aux mille couleurs différentes, mais sans que ces couleurs forment des dessins comme pourrait le faire un dragon de sang.
Lorsqu’un de ces dragons meurent, sa peau de cristal est souvent reprise par ses héritiers, qui la vêtisse à leur tour. Il n'est pas rare, pour une longue lignée de ce type de dragon, qu'une famille soit accompagnée d'une seconde, dont les membres sont les servants des dragons-gemmes à chaque génération. Cette deuxième famille se pare souvent de verre, le matériau qui se rapproche le plus des gemmes sans être un cristal.  
Le nom, la plus grande parure des dragons
  Qu'ils soient des dragons d'encre, de sang ou autre, le plus grand trésor des dragons est leur nom. N'importe quel dragon Traverse-monde vivant au moins une dizaine de milliers d'années, ils voient le changement et le temps marquer l’entièreté de leur environnement, changer leurs corps et leurs esprits, leurs amours et leurs amis. La seule chose qui ne change pas, malgré le temps, c'est leur nom. Ils y sont (pour la très, très grande majorité) extrêmement attaché, et parlent souvent d'eux à la troisième personne pour pouvoir dire leur propre nom, pas forcément par ego mais parfois pour simplement se rappeler ce qu'ils sont.
Ainsi, perdre la mémoire et n'est plus se souvenir de son nom est pour eux un sort semblable à la mort, car la vie qu'ils ont vécue disparaît alors. Et le temps a tellement changé Onim depuis leurs naissances qu'ils n'ont plus aucun moyen de retrouver leur lieu de naissance.
  C’est aussi pour cette raison que les dragons choisissent eux-mêmes leur nom, généralement à leur centième anniversaire. Avant cela, ils sont simplement appelés « enfant de... » en utilisant le nom de leur père et mère.
Évolution
  Au fil des ans et des générations, bien que les dragons aient une espérance de vie plus longue que la plupart des mortels, le mécanisme de l'évolution les à tout de même changé.
Dans les temps anciens, les dragons femelles, après avoir pondu, restez auprès de leur œuf pour en prendre soin jusqu'à l'éclosion, puis pour éduquer leur nouveau-né. Étant peu et souvent chassé, les dragons ne pouvaient se permettre de faire peu d'enfant et, après avoir vu la ponte, le mâle s'envolait donc pour chercher une autre femelle, laissant donc sa compagne protéger seul son enfant.
Immobilisées près de leurs repères, sans pouvoir fuir à cause de la présence de leur enfant, les femelles ont donc été petit à petit sélectionné par les événements pour être plus grosse et musclé, plus menaçante et puissante. De rare espèce de dragon ont connu de tels changements que leurs femelles naissent parfois sans ailes.
À l'inverse, les mâles sont restés de la même taille, voir ont légèrement rétréci, un poids plus petit permettant de voyager plus vite.
Dans les temps actuels, la majorité des femelles sont donc moitié plus grande que leur compagnon, même si ceux-ci ne les laissent maintenant plus seule avec la ponte. Cette plus grande force des femmes a résulté d'une organisation matriarcale de la plupart des sociétés dragoniques.
Il existe des exceptions, en particularité dans les espèces ethnies où les femelles n'ont plus d'ailes. Il ne faut pas confondre ces ethnies avec les parures des dragons ; celles-ci sont en effet un choix conscient, l'équivalent d'un métier ou d'une caste chez les espèces draconiques. Les ethnies, elles, dérivent de l'histoire évolutive de ces espèces.
         
Langue
  Les dragons sont anciens, et puissant. Leurs corps est magique dès la naissance, leur accordant une longévité extrême : la dizaine de milliers d'années n'est pas rare parmi les membres de cette race, tant que les courtes-vies ne viennent pas raccourcir la leur.
Le monde change autour des dragons alors qu'ils vieillissent, et peu voit ces changements sans connaître une profonde souffrance. Il est dur, pour quelque être que ce soit, de voir sa terre de naissance disparaître par le simple passage du temps.
Jeunes, ils ne le comprennent pas très bien et font l'erreur de courir le monde avec des courtes-vies, qui deviennent l'ami de ces dragonnets. Puis ces courtes-vies meurent, et le dragon doit se retrouver de nouveaux amis, qui meurent à leur tour. Ce cycle se répète jusqu'à briser le dragon, qui, refusant d'accepter le changement, choisissent l’ermitage. Ils s'enferment dans des cavernes ou des tours pour ne plus avoir à supporter ce monde qui change trop vite, donnant naissance à toutes les légendes que l'on connaît sur cette race.
Pour mieux supporter ces changements, les dragons sont extrêmement attachés à leurs noms, comme expliqué plus tôt. De plus, ils cherchent très directement à préserver leur langue, qui n'a connu aucune évolution majeure depuis sa création. Des ajouts très nombreux ont bien sûr été fait, mais aucun mot n'a été changé, aucune orthographe n'a été modifié, pas une expression n'a été oublié.
Bouée dans la mer du temps, la langue immortelle du dragon est bien plus, pour ces êtres écailleux, qu'un moyen d'échanger. C'est un pilier, un soutient mental, un concept qu'ils évoquent rarement car cela voudrait dire avouer leur faiblesse et leur tristesse face aux temps.
Peut-être à cause de cette longévité exceptionnelle, de ce non-changement éternelle, le Draconique est devenue une langue associée au pouvoir, à la force et à la magie. Sur énormément de monde d'Onim, qu'ils fassent parties des lignées ou non, c'est cette langue que choisissent les lanceurs de sort pour tisser une toile d'art et de force.

  La gorge et la forme de la bouche des dragons ont fait du Draconique une langue rugueuse, pleine de rugissement et de grognement. Les sons en R, Gr, Kr et les mots finissant en -w sont légions. Les verbes sont marqués, à l'infinitif, pas un -irwa qui est remplacé lors des différentes conjugaisons.
Les glyphes utilisés par les plus anciens dragons lors de la création de leur langue n'ont pas évolué, et sont maintenant si lié au concept même de langue qu'ils furent repris par L'Unique lors de la création de la Langue commune des lignées. Les lettres que nous connaissons sont donc les mêmes que celles créées par d'anciens dragons il y a des éons de cela. De la même manière, le commun reprit le sens de lecture et la manière de construction des phrases du Draconique, entre autres pour faire plaisir aux nombreux prêtres d'Azil qui se servait de ce langage pour leurs textes les plus importants.
Les dragons n'aiment pas cette ascendance de leur langage sur la Langue commune, car ils voient celle-ci comme un résultat bâtard et hérétique : beaucoup de leurs mots ont été modifié pour être plus simple à prononcer par les courtes-vies, ce que les dragons cherchaient justement à éviter.

  Certains avancent que la langue Draconique est tellement importante pour les dragons qu'elle est gravée jusque dans leurs âmes et leurs gênes. D'autres disent qu'elle survivra à leur race, et sera la dernière langue parlée, en plus de peut-être être la première.
Les dragons ont vécu aux côtés de beaucoup de races et espèces sentientes, certaines bien plus dangereuses que les monstres écailleux actuellement au sommet de la chaîne alimentaire. Ils ont pourtant survécu à toutes ces races maintenant oubliées, et certains historiens dragons aiment la théorie que c'est grâce à leur langue immortelle qu'ils ont survécu aussi longtemps.  
Les treize planètes-dragons et la loi hégémonicide
  Bien que les dragons soient des êtres plus puissants que la très vaste majorité des races sentientes d'Onim, ils ne deviennent pas souvent des faux-dieux. Lorsqu'un dragon avec une très forte avidité essai de conquérir le monde sur lequel il se trouve par la force, il fera toujours face à un groupe de héro qui bloquera sa conquête. De plus, les dragons, même s'ils sont dépeints comme des êtres destructeurs, sont en vérité le plus souvent des ermites lorsqu'une société avec de nombreux individus n'existe pas sur la planète où ils se trouvent.
C'est entre autres à cause de cela que croire qu'un Faux-dieu est l'être le plus fort de sa planète est faux. Il est possible qu'un dragon (ou un être d'une autre race) soit présent sur ces terres mais n'a juste pas le besoin où l'envie de devenir un dieu planétaire.
Hors les dragons conquérants, qui restent généralement à peine quelques centaines d'années en place, il existe treize mondes qui sont gouvernés par des grands dragons depuis des temps que l'homme n'a jamais vus.

  Cette tradition a été forcée sur la race des dragons après le règne de Tiamat, Orhün en titre de 1672 et 1723 A.S.H. Cette déesse-démone a poussé les membres de sa race à conquérir le rôle de Faux-dieu, amenant prêt de quatre cent dragons à se saisir du contrôle d'autant de planètes d'Onim.
Même après la mort de Tiamat (dont le responsable est toujours inconnu) l'influence de l'Orhün-dragonne perdura : il fallut près d'un millénaire pour que le dernier des quatre cents dragons ayant conquis le rôle de Faux-dieu sous son injonction laisse son rôle.
C'est cette période d'hégémonie dragonique qui poussa la Chambre des traverses-mondes, mais aussi les empires d'Irae et de March, à imposer aux dragons de ne régner que sur un nombre réduit de planète, nombre qui n'a pas changé depuis lors.
Ceci fut fait via une loi nommé « la loi hégémonicide Draconique », qui imposa un nombre de contraintes à la race draconiques, dont l'obligation de ne pouvoir contrôler directement que treize planètes des lignées ; en plus de cela s'ajoute l'interdiction pour les 13 Faux-dieu dragons de posséder certains artefacts (par exemple, les écailles des Ekawoshwass, voir partie 8-4 sur les artefacts) considéré comme ayant à eux seuls la valeur d'un monde.

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