Hiresim (/hiresim/ [iresim])
Les Hiresim, aussi connus sous le nom de Culture des Bâtisseurs, était une culture à tendance mono-spécifique Hir, dont la période d'existence s'étend d'environ 1800 Hir à 400 Hir. C'est-à-dire du développement des premières villes, avec la fondation de Tar Syracuz en 1797 Hir, jusqu'à l'éclatement de la Crise Arcanique et la remise en cause continentale de son mode de vie et d'organisation qui aboutit à la chute de l'Empire Hiresim en 472 Hir.
Cette culture, qui a largement façonné le continent Télis au cours de son millénaire de domination, tient ses fondations de la culture des Vifs, et en particulier de la scission culturelle ayant eu lieu suite aux événements de la Forêt d'Aelfina au cours de l'Ere de l'Emergence. Lors de celle-ci, si l'on en croit les récits compilés dans les Mythos, la majorité des vifs choisit de rester fidèle à sa culture ancestrale qui avait instauré une grande défiance vis-à-vis des phénomènes magiques, y compris de la forêt qui était pour eux le domaine de l'être au cœur de ces manifestations.
Dans un premier temps, la proto-culture Hiresim s'articulait, comme la culture des Vifs, essentiellement autour de petits groupes nomades nommés Clans. Ceux-ci constituant des familles communautaires étendues, et était eux-mêmes réunis en tribu sur la base de lien familiaux réels ou mythiques. Le développement de la sédentarisation, et l'intensification urbanistique qui s'en suivit a alors transformé la structure a tendance égalitaire de la société Vive. L'anéantissement du système clanique au profit de la distanciation des Familles et de l'Etat et des familles entre elles, a provoqué l'émergence d'un système patriarcal strict institué notamment à travers la désignation de Doyens. Ces hommes âgés étant les seuls à détenir le pouvoir politique, économique et cultuel au sein de conseils collectifs se déclinant du niveau local au niveau impérial.
La société Hiresim était également hostile à la mixité spécifique et ne reconnaissait aucun droits aux personnes non Hir. Celles-ci devenant de fait des civils de seconde classe vis-à-vis de la loi, tout comme c'était le cas des lanceurs de sorts dit "Arcanistes", qui étaient soumis à un servage systématique. Ces personnes étaient ainsi la propriété soit des familles ayant accumulé le plus de richesse, de celle ayant accumulé un fort capital cultuel, ou de l'État impérial qui cumulait ces deux fonctions régulières et temporelles.
Pour autant, pendant près de 1500 ans, les siècles passèrent sans que ce système culturel n'évolue fondamentalement, hormis en ce qui concerne l'innovation politique que constitua l'Empire et la colonisation toujours accrue de nouvelles terres. Bien que remis en question depuis la Crise Arcanique, dans les faits, les deux plus grands tabous Hiresim, qu'étaient la peur de la magie et de ses créatures, et l'existence de personnes remettant en cause les fondation de leur ordre social (en termes de genre, de mixité spécifiques), persistent encore aujourd'hui dans certaines Nations Mixtes qui en ont hérité.
Celles-ci ont également hérité des nombreuses villes et prouesses architecturales des Bâtisseurs, dont certaines, par exemple le modelage du jade pour en faire des constructions, ont été perdues au cours des siècles de guerre.
Parmi les autres legs importants de la culture Hiresim aux cultures modernes, il faut également citer la tradition de nommer les enfants à partir d'un prénom inédit suivi d'un nom relatif à l'ascendance matrilinéaire puis d'un nom exprimant l'héritage patrilinéaire.
Le complexe Culte Hiresim est également un héritage fortement présent, bien que remanié différemment selon les cultures qui ont développé de nouveaux systèmes cultuels.
Cette culture, qui a largement façonné le continent Télis au cours de son millénaire de domination, tient ses fondations de la culture des Vifs, et en particulier de la scission culturelle ayant eu lieu suite aux événements de la Forêt d'Aelfina au cours de l'Ere de l'Emergence. Lors de celle-ci, si l'on en croit les récits compilés dans les Mythos, la majorité des vifs choisit de rester fidèle à sa culture ancestrale qui avait instauré une grande défiance vis-à-vis des phénomènes magiques, y compris de la forêt qui était pour eux le domaine de l'être au cœur de ces manifestations.
Dans un premier temps, la proto-culture Hiresim s'articulait, comme la culture des Vifs, essentiellement autour de petits groupes nomades nommés Clans. Ceux-ci constituant des familles communautaires étendues, et était eux-mêmes réunis en tribu sur la base de lien familiaux réels ou mythiques. Le développement de la sédentarisation, et l'intensification urbanistique qui s'en suivit a alors transformé la structure a tendance égalitaire de la société Vive. L'anéantissement du système clanique au profit de la distanciation des Familles et de l'Etat et des familles entre elles, a provoqué l'émergence d'un système patriarcal strict institué notamment à travers la désignation de Doyens. Ces hommes âgés étant les seuls à détenir le pouvoir politique, économique et cultuel au sein de conseils collectifs se déclinant du niveau local au niveau impérial.
La société Hiresim était également hostile à la mixité spécifique et ne reconnaissait aucun droits aux personnes non Hir. Celles-ci devenant de fait des civils de seconde classe vis-à-vis de la loi, tout comme c'était le cas des lanceurs de sorts dit "Arcanistes", qui étaient soumis à un servage systématique. Ces personnes étaient ainsi la propriété soit des familles ayant accumulé le plus de richesse, de celle ayant accumulé un fort capital cultuel, ou de l'État impérial qui cumulait ces deux fonctions régulières et temporelles.
Pour autant, pendant près de 1500 ans, les siècles passèrent sans que ce système culturel n'évolue fondamentalement, hormis en ce qui concerne l'innovation politique que constitua l'Empire et la colonisation toujours accrue de nouvelles terres. Bien que remis en question depuis la Crise Arcanique, dans les faits, les deux plus grands tabous Hiresim, qu'étaient la peur de la magie et de ses créatures, et l'existence de personnes remettant en cause les fondation de leur ordre social (en termes de genre, de mixité spécifiques), persistent encore aujourd'hui dans certaines Nations Mixtes qui en ont hérité.
Celles-ci ont également hérité des nombreuses villes et prouesses architecturales des Bâtisseurs, dont certaines, par exemple le modelage du jade pour en faire des constructions, ont été perdues au cours des siècles de guerre.
Parmi les autres legs importants de la culture Hiresim aux cultures modernes, il faut également citer la tradition de nommer les enfants à partir d'un prénom inédit suivi d'un nom relatif à l'ascendance matrilinéaire puis d'un nom exprimant l'héritage patrilinéaire.
Le complexe Culte Hiresim est également un héritage fortement présent, bien que remanié différemment selon les cultures qui ont développé de nouveaux systèmes cultuels.
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*English speakers, please note that I'm only starting to test to implement this method for translations. If you still see contents in French, it means either that it's still largely a WIP, or that I didn't took the time to translate it yet.
If you're looking for the word count (for exemple if my content is a challenge entry, please consider the French part as it's the one I work on before translating to English.
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