Campement de Fort de fer

Un ancien camp abandonné, relique de la guerre contre la cité d'Haran. Depuis cette guerre, les cités états se sont mises d'accord de ne pas engager de laisser l'entre cité complètement vide de soldat. Ce camp a donc été abandonné et est désormais utilisé comme aire de repos par les marchands qui circulent dans les abords de l'inter-cité. Quelques familles y résident de manière quasi permanente, mais il n'y a pas assez de ressource utilisable dans les inter-cité pour qu'un grand groupe de personne puisse se nourrir. Des groupes de marchands ont appris l'éxistence de ce camp au fil des ans, et il devenus la seule plateforme commerciale qui ne dépend d'aucune cité-état. Les marchands de passage échangent entre eux dans cet ancien camp militaire. Et c'est donc presque par hasard, par praticité, que l'ancien campement, dont personne ne se rappelait la cité qui l'avait érigé. Et tout le monde s'en moquait : on se faisait pas de l'argent en fouillant dans le passé d'ancienne ruine.

Demographics

L'ensemble de la population permanente de la ville est constituée de marchands, qui ont décidé de changer leur coeur de cible, en passant des populations des différentes cités à leur confrère marchand. Ils s'occupent également d'assurer un semblant de sécurité, mais les bandits n'essaient pas de chercher d'attaquer des marchands richement armés.

Government

Pas de gouverment à proprement parlé. Tout se paie dans ce camp. Tu veux rentrer, tu paye. Tu veux qu'on ouvre les portes pour sortir, tu paye tout autant. Tu as arnaqué quelqu'un, bien joué. S'il avait été un bon marchand, tu n'y serais pas parvenus.

Infrastructure

Cette place forte a été batie à la va vite, et ça se voir. Quatres murs, une coure intérieure suffisament grande pour accueilli une garnison complète, et quelques bâtiments le long des murs, qui se terminaient en tour de bois servant à reconnaitre les environs

Type

Military, Base

Population

60 résidents permanents, mais des groupes de marchands de plusieurs dizaines de personnes y sont, par roulements, tous les jours.