Zone agricole et d’élevage du Territoire Orc Settlement in Abrasia0 | World Anvil

Zone agricole et d’élevage du Territoire Orc

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Autumn Wheat Harvest Farm Painting by Walt Curlee
  Lorsque les Orcs se sont établit dans ce qu’il restait du territoire Jinane, Agoth savait qu’une des première priorités était de pouvoir nourrir ses Orcs. Le territoire était alors rempli de nombreux monstres et animaux, à qui le déclin de la civilisation Jinane avaient permis de se développer rapidement. Les Orcs se sont tout naturellement tournés vers la chasse. Que ce soit monstres ou gibier, les Orcs ont pu festoyer quelques années. A force de chasse déraisonné, la quantité de gibier a fortement diminué et les monstres « comestibles » ont fini par éviter la zone.   Mais Agoth est un Orc intelligent. Il a pris conscience du problème, et des conséquences à venir s’il ne pouvait plus nourrir son armée. Il s’est alors inspiré de l’Empire Boréal, et a décidé de créer son propre Domaines fortifié pour nourrir ses troupes. En effet, il est plus facile de défendre une zone concentrée que plusieurs petites zones éparpillées. Il ne l’a cependant pas entouré d’une muraille comme le fait l’Empire Boréal, car ce n’est pas dans la logique Orc (voir Architecture des camps Orcs d'Abrasia, par Galamesh.). Mais les lieux d’habitation des paysans sont généralement protégés pas une palissade et des soldats. Des patrouilles s’assurent que les champs ne soient pas ravagés par les quelques monstres encore présents à proximité. Il plaça cette zone au centre du territoire. Elle bénéficiait ainsi des eaux de l’Enma pour l’apport en eau, tout en étant protégé par les différents camps. Ses premières tentatives furent assez peu fructueuses. Pour commencer, il eut du mal à trouver des Orcs qui acceptent de mettre de côté la guerre pour s’adonner à l’agriculture et l’élevage. Même un chef d’armée n’a pas le pouvoir d’obliger des Orc à délaisser le combat, sans y laisser des plumes. C’est en promettant des rations de nourriture supérieur qu’il put convaincre et manipuler les plus gourmands de ses effectifs. Mais ces derniers se révélèrent être de piètre paysan. La patience, la délicatesse, le respect de la terre, l’organisation et la constance dans la tache ne faisait pas partie de leurs compétences. De plus, leur corps imposant n’est pas pratique lorsqu’il s’agit de ne pas écraser les cultures ou le bétail.   Agoth eu alors l’idée d’utiliser des esclaves Néruvien (Forgés et Engendrés) capturé dans l’Est des plaines. Ces derniers savaient comment labourer leurs terres, et les espèces de bétail qui s’y plaisent. Il fut simple de les faire coopérer : cela leur évitait la déportation vers le royaume Orcs et ils devenaient une ressource utile qu’il faut garder en vie. Agoth n’eut pas de mal à trouver des paysan efficaces et volontaire. Cela lui permit de développer efficacement sa zone agricole et d’élevage.       Agoth se heurta ensuite à d’autres problème : la productivité d’un Néruvien (Forgés et Engendrés) est limitée par sa force et son endurance. De plus, cela reste des esclaves qui obéissent par peur et non par fidélité. Afin de garantir la pérennité de la production, il décida qu’il fallait remplacer ces paysans par des ouvriers plus adaptés. Il chargea Lomak, un Chaman de Koz’Montagne, de réussir le croisement d’un Orc et d’un néruvien. L’objectif était de créer une main d’œuvre qui hériterait de la force supérieure des Orcs, des capacités cognitives nécessaire pour être paysan des néruviens, le tout dans un corps qui ne serait pas une gêne pour accomplir leurs tâches. Cette race recevrait une éducation de paysan et une éducation Orc, afin qu’ils travaillent par fidélité à Agoth et le peuple Orc.   Pour plus de détails sur le sujet : Expérimentation de Lomak.   A ce jour, la zone comporte :
  • Des champs de blé. Le fort ensoleillement et la proximité de l’Enma permettant l’irrigation donnent des cultures abondantes.
  • Des champs de riz, rendu possible par la proximité de l’Enma pour l’irrigation.
  • Des patates.
  • Elevage de Vachemouth : pour le travail et pour sa viande.
  La culture de fruits et légumes n’est pas dans leurs priorités actuelles.   Pour s'y déplacer : un chemin fait le tour de la zone tandis qu’un autre la traverse de part en part. Cela permet de facilement s’y déplacer. La zone est aussi truffée de sentier qui permettent de rallier les champs. Deux chemins la relient à la piste principale, afin de distribuer la production. Les camps de Krèv’zieu et Frak’Ass disposent aussi d’un chemin d’accès à la zone, pour faciliter l’arrivée de troupes de renforts si nécessaires.

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