Spherar
Initialement développé par la Desioclus corp. pour soutenir du contenu pornographique, les spherar sont des sphères de cristal modifié pour contenir des informations visuels. Elles perdent ainsi leurs fonctions téléphoniques pour devenir des contenants d’informations, généralement des films ou des discours.
Moins coûteuse que leur équivalent téléphonique, les spherar ont rapidement échappé au contrôle de la Desioclus corp et la technologie s’est répandu dans les cercles Traverse-monde. Les spherar sont depuis lors le premier support de son et d’image de ces voyageurs, car facile d’utilisation et résistant au milieu surchargé et sous-chargé en magie.
Leur fonctionnement étant moins complexe, les spherar sont plus faciles à créer, et donc à copier. La difficulté première de leur utilisation, cependant, et qu’il faut les manier comme une caméra autant qu’un micro : elles ne permettent pas de photographie, si bien qu’il faut se filmer en train de tourner les pages d’un livre si vous souhaitez que ce livre soit dans une spherar.
Cela n’empêche pas de nombreux bibliothécaire de faire une « sauvegarde » des livres les plus importants de leur collection, en utilisant des modèles blindés de spherar.
Car depuis qu’elles sont utilisés à grande échelle, le nombre de modèle a explosé : on retrouve donc des sphères blindées, mais aussi des sphères plates (bien plus coûteuse, mais ne déformant pas l’image), à côté des sphères miniatures appréciés des espions, des sphères-drones, et des sphère-émettrices, véritables vidéoprojecteurs.
Le marché des spherar brasse des milliards de pièce d’or, et n’est pas près de s’écrouler.
Moins coûteuse que leur équivalent téléphonique, les spherar ont rapidement échappé au contrôle de la Desioclus corp et la technologie s’est répandu dans les cercles Traverse-monde. Les spherar sont depuis lors le premier support de son et d’image de ces voyageurs, car facile d’utilisation et résistant au milieu surchargé et sous-chargé en magie.
Leur fonctionnement étant moins complexe, les spherar sont plus faciles à créer, et donc à copier. La difficulté première de leur utilisation, cependant, et qu’il faut les manier comme une caméra autant qu’un micro : elles ne permettent pas de photographie, si bien qu’il faut se filmer en train de tourner les pages d’un livre si vous souhaitez que ce livre soit dans une spherar.
Cela n’empêche pas de nombreux bibliothécaire de faire une « sauvegarde » des livres les plus importants de leur collection, en utilisant des modèles blindés de spherar.
Car depuis qu’elles sont utilisés à grande échelle, le nombre de modèle a explosé : on retrouve donc des sphères blindées, mais aussi des sphères plates (bien plus coûteuse, mais ne déformant pas l’image), à côté des sphères miniatures appréciés des espions, des sphères-drones, et des sphère-émettrices, véritables vidéoprojecteurs.
Le marché des spherar brasse des milliards de pièce d’or, et n’est pas près de s’écrouler.
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