Calistria in Les terres de feu | World Anvil

Calistria

Calistria est la déesse de la luxure et de la vengeance, prenant de nombreux visages et déguisements. Elle est tenue en haute estime par les Elfes, qui s'identifient souvent à ses humeurs et sa nature changeante. Une passion pour les guêpes a valu à cette vengeresse divinité le titre de Douce Piqûre : ces créatures continuent de vivre après avoir blessé leurs ennemis, un trait que les fidèles de Calistria espèrent obtenir lorsqu'ils poursuivent leurs buts.

Histoire

  Durant L'âge de la dérive, Calistria faisait partie des @ Dieux originels   qui affrontèrent Rovagug  lorsqu'il tenta de détruire les Terres de Feu, et aida à l'enfermer dans l'Arche Morte.   Calistria n'est pas simplement vengeresse, mais surtout très rancunière quand on lui a causé du tort. Elle va prendre tout son temps pour améliorer ses chances de succès, et savourer ainsi sa vengeance. Ses manœuvres pour atteindre son but ont été bien répertoriées mais diverses sources contradictoires font qu'on a du mal à discerner la vérité historique du fantasme.

Apparence

  Calistria apparaît généralement comme l’idéal de la beauté elfique : une femme elfe d'une beauté surnaturelle avec de longues oreilles gracieuses et des membres fins longilignes, son splendide visage arborant un sourire suggestif. Elle porte des tenues révélatrices de soie jaune aérienne qui cache bien peu de ses gracieuses formes. On la représente souvent en compagnie de guêpes géantes.

Doctrine

  Les fidèles de Calistria remplissent des rôles variés partout où ils sont rencontrés, allant de l'espionnage à la prostitution, mais toujours en soutien de la nature variante de leur déesse. De tels individus se complaisent dans la tromperie et l'espièglerie, les rencontres de la chair et les savoirs tous deux secrets ou dangereux, et la poursuite de tels buts peuvent parfois mener ces fidèles à errer de par le monde pour les accomplir.   Bien que les elfes adorent toutes sortes de divinités, ils tiennent Calistria en haute estime. La Douce Piqûre s’adresse à la nature mercuriale et détachée des elfes, qui fait toute leur essence. Certains l’apprécient pour son côté trompeur tandis que d’autres aiment son esprit lascif et audacieux. Calistria est toujours en train de comploter, de préparer sa prochaine conquête et de manœuvrer pour atteindre une position plus avantageuse. Elle est cependant aussi populaire parmi les Humains et des races plus exotiques telles que les Demi-Elfes et les Tieffelins. Les fidèles de la Douce Piqûre incluent un grand nombre de prostituées, espions, et personnes en mal de sensations.   Les habits de cérémonie sont rares. Ses prêtres portent généralement de fins habits de soie jaune qui couvre peu et cache encore moins, souvent accompagnée de teinture de henné qui forme de fines bandes sur les bras et la paume des mains.

Temples

  Dans les pays humains, les temples de Calistria abritent de nombreuses prostituées sacrées où chacun et chacune possède ses propres contacts en ville, et agissent comme un centre regroupant rumeurs et informations, assurant une croissance continue en popularité au culte. Dans les territoires elfiques, les bâtiments dédiés à la Douce Piqûre ressemblent plus à des guildes de voleurs, et répondent aux besoins de ceux cherchant des informations ou a obtenir rétribution plutôt qu'à poursuivre des besoins plus charnels. Là, les fidèles de la déesse offrent leurs services aux amants suspicieux en quête de preuves, aux riches qui souhaitent poursuivre une vendetta et enfin, dans une moindre mesure, ils proposent des plaisirs charnels.

Textes sacrés

  De nombreux textes religieux - y compris ceux de Calistria - parlent des frasques de la déesse, mais ils semblent souvent en désaccord, ce qui indiquerait que certaines de ses aventures galantes ne seraient rien de plus que les désirs inassouvis des autres dieux et déesses.   Le Livre de la Joie   Ce livre détail les diverses passions considérées comme sacrées par la déesse connue comme le Feu Inapaisable.   Le sang pour le vin Une collection de poèmes sacrés, certains vers étant récités par les assassins loyaux à Calistria durant leur funeste œuvre.
Symbole sacré de Calistira