Abri 32
"Un abri, un peuple, une vérité."
L'Abri 32 est un abri Vault-Tec situé sous le Faubourg Marigny à Orléans. Lors de la Grande Guerre en 2077, les dégâts encaissés par Orléans entrainent l'obstruction de son entrée, les tunnels d'accès finissant effondrés et innondés. Oublié des habitants d'Orléans post-Grand Guerre, les habitants de l'Abri et leurs descendants restent piégés sous terre pendant deux siècles.
Après 200 ans d'existence souterraine, la communauté est redécouverte et aidée à rejoindre le monde de la surface en 2275 par le Père Devonte et les Enfants de Saint-Louis. Sous le leadership de Jacqueline Dixon, l'Abri 32 s'est rapidement imposé comme un acteur politique important dans le paysage complexe de la politique orléanaise.
En 2289, la nation de l'Abri 32 est géographiquement restreinte, cantonnée au Faubourg Marigny. Elle dispose cependant d'une certaine supériorité technologique sur les autres factions orléanaises, et bénéficie d'une économie et une démographie en pleine croissance.
Culture
Origine et raison d'être
L'Abri 32, abritant à l'origine les strates supérieures de la société d'Orléans d'avant-guerre, s'est ouvert en 2275. Ces habitants, choisis pour leur privilège, portent en eux un orgueil ancestral qui renforce leur ambition sur la ville d'Orléans. Les habitants de l'Abri se considèrent non seulement comme les survivants d'un passé tragique mais également comme les héritiers naturels de l'Ancien Monde, la prochaine étape de l'évolution humaine.
L'ouverture de l'Abri a mis fin à une vie souterraine que les plus âgés décrivent comme dépourvue d'espoir. Pour la génération qui a grandi à l'ombre des murs en acier et des couloirs sans fin, le souvenir du confinement est une ombre lancinante. Les enfants, nés dans l'air libre du Faubourg Marigny, n'ont jamais connu cet enfermement, tandis que les plus jeunes adultes en ont peu de souvenirs.
L'ouverture de l'Abri fut marquée par une confrontation sanglante avec les Jazzmen, un traumatisme qui a façonné la communauté émergente.
Éthique et valeurs
L'éthique de l'Abri 32 repose sur un mélange de pragmatisme et d'orgueil. La méfiance, voir le mépris hautain pour les étrangers est généralisé, lié à leur sentiment d'autosuffisance et de supériorité. Cette xénophobie est particulièrement intense en direction des goules : la goulophobie, datant la guerre contre les Jazzmen, est profondément enracinées dans leur tissu moral. Les membres de l'Abri 32 sont rarement vus en dehors de leur fief du Faubourg Marigny, et cette absence est perçue avec une certaine hostilité par les factions voisines. Ce repli communautaire a élevé des murs invisibles, aussi impénétrables que les murs d'acier de leur ancienne demeure souterraine. La société de l'Abri 32 vise l'autonomie et le contrôle, sans nécessairement adopter une posture impérialiste. Il n'y a pas d'aspirations manifestes pour une expansion territoriale agressive, du fait de leur population limitée. Cependant, l'Abri 32 se préoccupe sérieusement de sa position dans la sphère politique et économique de la région. Ils aspirent à exercer une influence dominante sur la ville d'Orléans et mettre les factions rivales hors-jeu, si ce n'est par la force, du moins par des moyens diplomatiques ou économiques. Depuis l'émergence en surface, les rangées d'acier et de béton ont laissé place à une structure sociale rigide. Ceux issus de l'Abri se considèrent comme la crème de la crème de cette nouvelle civilisation et se réservent les emplois les plus importants hiérarchiquement. Les rangs sociaux inférieurs sont réservés aux immigrants, appelés contractuels, souvent employés dans des services subalternes et considérés comme des citoyens de deuxième classe. Plutôt que d'affronter les séquelles psychologiques de leur histoire traumatique (Expérience des couleurs et Croisade du Jazz), les habitants de l'Abri préfèrent les mettre de côté, considérées comme une faiblesse inavouable.Traditions
Tensions internes
La lourde stratification de l'Abri, crée une tension palpable entre les citoyens originels de l'Abri et les contractuels, des immigrés qui sont souvent employés dans des rôles subalternes. Bien que dominée par une idéologie plutôt agressive et méfiante, le traumatisme de la guerre contre les Jazzmen a également donné naissance à une petite faction de pacifistes utopistes. Ces derniers sont très marginaux, souvent perçus comme étant en décalage avec les réalités et les ambitions de la majorité.Quelques expressions notables :
- "Reste vigilant, la rouille ne dort jamais." - Les problèmes et les dangers sont toujours présents et nécessitent une vigilance constante.
- "Il vit encore dans l'ombre de l'acier celui-là." - Quelqu'un qui est coincé dans le passé, en particulier dans les souvenirs de la vie à l'intérieur de l'Abri.
- "Tu penses vraiment à bosser avec ces types ? Tu veux ouvrir la porte aux Jazzmens ou quoi ?" - Prendre un risque qui pourrait compromettre la communauté.
- "Lui, il bouffe avec les goules" - Se dit de quelqu'un qui a des activités suspicieuses ou criminelles.
Structure et hiérarchie
Système de castes et économie planifiée
Au Faubourg Marigny, la hiérarchie sociale est déterminée par un strict système de castes, dans lequel la position d'un individu est mesurée selon la valeur perçue de sa contribution à la prospérité de la nation de l'Abri. Le jugement se fait non seulement sur des critères techniques et professionnels, mais aussi sur la provenance et l'histoire familiale de l'individu.Citoyens de l'Abri : le sommet de la pyramide
Les habitants originels de l'Abri et leurs descendants constituent le sommet de la pyramide sociale, ce sont les seuls à être citoyens à part entière. Libres de choisir leur occupation, ils occupent fréquemment les postes de décideurs, gestionnaires, managers et autres rôles clés pour le fonctionnement de la communauté. Ces privilégiés ont droit aux meilleurs logements, aux rations les plus copieuses et à la plus grande part d'eau propre. Les logements au sein de l'Abri leurs sont réservés. Cependant, après des générations sous terre, de plus en plus de citoyens, particulièrement les jeunes, chosissent de s'installer en surface. Les logements inocuppés de l'Abri sont transformés en zones communes, en ateliers ou en espaces de stockage.Les contractuels : la base de la pyramide
En dessous des citoyens de l'Abri se trouvent les contractuels. Ce sont les immigrés, les personnes non-originaires de l'Abri qui ont le droit de vivre à Marigny en échange de leur force de travail. Leur position dans le système de castes dépend en grande partie de leur utilité sociale perçue, c'est-à-dire des compétences spécifiques qu'ils peuvent offrir. Les ingénieurs civils, les médecins, les mécaniciens et les roboticiens sont très recherchés et peuvent être quasiment égaux aux citoyens, tandis que les travailleurs agricoles et les ouvriers constituent la base de la pyramide sociale et ne reçoivent que le strict minimum d'eau et de nourriture.L'immigration à Marigny
L'arrivée au Faubourg Marigny est un moment déterminant dans la vie d'un immigré. À l'entrée de l'enclave, chaque nouvel arrivant est soumis à une série d'entretiens rigoureux. L'objectif est double : évaluer les compétences du candidat et comprendre ses motivations à vouloir s'établir dans le Faubourg. Selon les besoins en ressources humaines de l'Abri, un poste lui est attribué, et le candidat devient officiellement contractuel. Si les compétences de l'individu ne correspondent pas aux besoins actuels, des options sont tout de même disponibles. On peut lui proposer un poste nécessitant peu de qualifications, comme ouvrier agricole, éboueur, ou assistant en logistique. Le choix de refuser l'emploi est un luxe accordé, mais il entraîne inévitablement un refus de l'entrée à Marigny et à l'Abri. Si l'immigré accepte, son profil n'est pas oublié. Il est conservé dans les dossiers, permettant une réévaluation future si un poste plus adapté à ses compétences se libère ou se crée. Pour les postes plus techniques ou à responsabilités, le processus d'admission est encore plus rigoureux. Des tests spécialisés et des entretiens supplémentaires viennent s'ajouter à la procédure. Dans certaines circonstances, les candidats peuvent même être mis en concurrence pour des postes particulièrement en demande. L'Abri 32 n'accepte pas les immigrés de plus de 35 ans, à moins qu'ils aient des enfants, perçus comme future force de travail. Un immigré qui n'est plus capable de travailler du fait de l'âge ou de la maladie est soit expulsé, soit doit être entretenu par sa famille. L'Abri cesse alors de lui fournir rations et eau. Ce complexe système d'économie planifiée est rendu possible grâce au haut niveau technologique de l'Abri. Des zones agricoles hydroponiques à haut rendement, aux générateurs nucléaires, en passant par les purificateurs d'eau, ces équipement rarissimes permettent une gestion efficace et ciblée des ressources. Malgré le système de castes et ses inégalités flagrantes, le Faubourg Marigny demeure une destination attractive, qui reçoit des immigrés de façon régulière, suffisamment pour que les autorités de l'Abri se permettent d'être sélectives et de ne garder que ceux dont les compétences les intéressent. Les raisons de cette attractivité sont simples : à Marigny, si l'on parvient à y entrer, l'emploi y est garanti, tout comme l'accès à de l'eau et de la nourriture dépourvues de radiations. Une alimentation électrique stable, l'éducation gratuite ainsi qu'un faible niveau de menaces externes et de criminalité couronnent le tout, rendant Marigny une des zones les plus attractives d'Orléans.Gouvernance
L'autorité suprême du Superviseur
Au sommet de la hiérarchie administrative de l'Abri 32 se trouve le Superviseur, une figure d'autorité omnipotente, bien que généralement éloignée des affaires courantes. Le Superviseur détient un pouvoir tripartite, cumulant les fonctions exécutives, législatives et judiciaires. Bien que ce soit un état de droit, le droit y est en grande partie une extension de la volonté du Superviseur. Toutefois, ce dernier délègue souvent ses responsabilités à divers cadres au sein de l'Abri pour assurer une gestion quotidienne plus efficace. Le Superviseur est élu à vie, marquant ainsi une stabilité de longue durée dans la gouvernance de l'Abri. Cependant, ce processus d'élection est réservé exclusivement aux citoyens de l'Abri, à l'exclusion des immigrés, même ceux résidant de longue date dans le Faubourg Marigny. En 2289, ce poste est occupé par Jacqueline Dixon.Conseil de Direction de l'Abri
Sous le Superviseur se trouvent différents services et leur direction, chacun responsable d'une facette spécifique de la gestion de la communauté. Les directions sont relativement nombreuses. Les plus importantes d'entre elles forment le Conseil de Direction, qui conseille la Superviseuse au quotidien.- La Direction de la Sécurité, supervisant la milice, les systèmes de surveillance et la sécurité intérieure de l'Abri. Ce poste est occupé par Amos Allen.
- La Direction des Ressources Humaines, qui orchestre la répartition des emplois et la gestion des castes
- La Direction de l'Infrastructure, en charge des systèmes vitaux : alimentation électrique, hydroponique, traitement de l'eau, ventilation...
- La Direction des Finances, qui prélève l'impôt
- La Direction de la Représentation Extérieure, qui gère les relations diplomatiques et le commerce avec les autres factions orléanaises
- La Direction de la Défense, en charge de la Forces de Défense de l'Abri, de l'espionnage et du contre-espionnage. Ce poste est occupé par Wallace Kirkland, fidèle lieutenant de la Superviseuse Jacqueline Dixon.
Système judiciaire
Le système judiciaire de l'Abri 32 reflète de manière flagrante la structure sociale ségréguée de la communauté. Il est composé de deux juridictions distinctes : le Tribunal des Citoyens et le Tribunal des Contractuels. Ces tribunaux et leurs magistrats sont subordonnés à la Direction de la Sécurité. Le Tribunal des Citoyens tend à être plus clément, adoptant une approche réhabilitative plutôt que punitive. Les citoyens bénéficient également de la présence d'un avocat-conseil désigné par le Superviseur et de la possibilité d'un appel direct à ce dernier. En revanche, le Tribunal des Contractuels est nettement plus sévère et expéditif, laissant peu de place à la réhabilitation. Dans cette juridiction, les verdicts sont souvent prononcés par des juges subalternes, et les décisions sont en grande majorité irrévocables.Forces armées
La Force de Défense de l'Abri (FDA) est de relativement petite taille, mais professionnellement organisées. Ses effectifs dépendent largement du service militaire obligatoire. Tous citoyens et tous contractuels de l'Abri sont tenus de servir dans les forces armées pendant 18 mois à l'âge de 18 ans. Les contractuels arrivés après cet âge doivent également accomplir ce service avant l'âge de 40 ans. Les habitants de l'Abri sont généralement formés pour des postes de sous-officiers ou de spécialistes, tandis que les contractuels forment la majorité du rang.
Bien que la carrière de militaire professionnel soit ouverte à tous, les contractuels rencontrent bien souvent des obstacles à l'avancement en raison des doutes persistants de la hiérarchie quant à leur loyauté.
C'est le major Henriette Clark qui commande la FDA, elle-même sous l'autorité de Wallace Kirkland, Directeur de la Défense.
Diplomatie et relations extérieures
Relations avec la Cajunte
L'Abri 32, préocupé par la perspective de l'enlisement du conflit, est reconnaissante envers la Cajunte d'avoir imposé la fin de la Croisade du Jazz en 2276. Elle est cependant perçue comme une faction dont les naïfs idéaux démocratiques entrainent le lent déclin, un concurrent pour la domination d'Orléans qui finira par s'éliminer de lui-même. La Cajunte considère l'Abri 32 comme un très bon client, payant un très bon prix pour toutes sortes d'artefacts technologiques, et vendant des denrées et de l'eau d'une qualité exceptionnelle, très prisées par la bourgeoisie de la Cajunte.Relations avec les Enfants de Saint-Louis
Initialement alliés, la relation entre les Enfants de Saint-Louis et l'Abri 32 ne sont plus aussi bonnes depuis la fin de la guerre. D'une part, l'Abri réalise peu à peu que les thèses goulophobes qui avaient justifié la Croisade du Jazz étaient largement exagérées. Un ressentiment, encore faible mais grandissant, existe dans la population qui reproche au culte de Saint-Louis de les avoir embarqué dans une guerre qui n'était pas la leur. Enfin, les spiritualités d'avant-guerre ayant largement eu le temps de s'éteindre dans le nihilisme de l'Abri pré-ouverture, les tribulations religieuses des Enfants de Saint-Louis sont regardées d'un oeil amusé par les citoyens de l'Abri. De leur côté, les Enfants de Saint-Louis, qui au delà d'un allié avaient espéré trouver dans l'Abri un nouveau cheptel à convertir, ont vite déchanté. Le mode de vie high-tech de l'Abri et le sentiment de supériorité de sa population laissent peu de place à la spiritualité.Relations avec les Jazzmens
Depuis la fin de la guerre, les Jazzmens ne sont plus aussi mal perçus qu'initialement par l'Abri 32. Ceux-ci, pragmatiques, ont rapidement réalisé que les goules n'étaient pas les monstres sanguinaires décrits dans les écrits théologiques de Saint-Louis. Pour autant, leur main-mise sur le crime organisé de la ville les rend tout de même infréquentables. Les Jazzmens gardent un fort ressentiment contre l'Abri qui les a empêchés d'emporter la victoire sur les Enfants de Saint-Louis. De plus, accordant beaucoup de valeur à l'autonomie personnelle des individus, les Jazzmens méprisent le système de caste de l'Abri, perçu comme de l'esclavage déguisé.Histoire de l'Abri 32
Voir aussi : Chronologie de l'Abri 32L'expérience des couleurs
2077 à 2212
Comme la plupart des abris Vault-Tec, l'Abri 32 fut l'objet d'une expérience scientifique vicieuse et non-consentie, qui résulta en une histoire tourmentée. Pour en apprendre davantage sur cette période et l'importance de la famille Dixon, consultez les Enregistrements historiques de l'Abri 32 :Enregistrements historiques de l'Abri 32
Défis techniques
2271 à 2275
L'Abri 32 fut conçu initialement pour supporter une occupation humaine durant 20 à 30 ans. Cependant, lors d'une tentative de sortie en 2097, les habitants se rendirent compte que les voies d'accès à l'Abri étaient effondrées et innondées. Toute tentative de déblayage aggravait la situation en inondant davantage l'Abri. Confrontés à cette impasse, les résidents durent se résoudre à refermer leur porte d'acier, nourrissant l'espoir qu'un secours extérieur finirait par arriver. Quasiment deux siècles après cette décision, l'Abri était toujours opérationnel mais montrait des signes de dégradation avancée. Les systèmes vitaux, tels que l'électricité, la ventilation et l'eau, étaient sujets à des pannes fréquentes et parfois irréparables. La pression démographique n'arrangeait rien à la situation déjà précaire, nécessitant des mesures drastiques comme le rationnement de ressources et la condamnation de certains secteurs. Jacqueline Dixon, élue Superviseuse en 2271, prit en charge la direction de cet abri en crise. Petite-fille du légendaire Superviseur Edwin Dixon, elle avait longtemps servi d'assistante à son grand-père, gagnant par là-même une formation pratique en administration et en politique. Sa légitimité était si bien établie qu'elle remporta aisément les élections de 2271. Face à la dégradation croissante de l'Abri, elle prit des décisions difficiles mais nécessaires pour garantir la survie de sa communauté.Emergence et Croisade du Jazz
2275 à 2276
La donne change radicalement en 2275 lorsque l'Abri fut découvert par le Père Devonte des Enfants de Saint-Louis. Les tunnels furent dégagés, et la porte enfin ouverte. Jacqueline Dixon dirigea alors son peuple vers une nouvelle ère, celle de l'ouverture et de l'expansion. Alors qu'en surface la ville d'Orléans était ravagé par une guerre, la Croisade du Jazz, entre les Enfants de Saint-Louis et un gang de goules appelé les Jazzmen, Dixon choisit l'engagement plutôt que la retraite. Sous sa direction, l'Abri 32 entra en guerre aux côtés des Enfants de Saint-Louis. A l'issue d'un conflit bref mais intense, l'Abri 32 réussit à établir son contrôle sur le Faubourg Marigny, secteur directement au-dessus de sa localisation souterraine. Par la guerre, l'Abri 32 avait gagné une place à la surface.Expansion en surface
Depuis 2276
En quelques années, Dixon transforma Marigny en un havre de paix relatif, avec de l'eau potable, une faible criminalité et une éducation gratuite, ce qui attira de nombreux migrants. Dixon mit en place un système de castes, réservant certains privilèges aux habitants originels de l'Abri. Par ailleurs, elle noua des alliances stratégiques avec d'autres factions d'Orléans, comme un accord commercial avec la Cajunte et un pacte de non-agression avec les Enfants de Saint-Louis et les Jazzmen. Ce faisant, l'Abri 32 est devenu un acteur politique majeur de la région. 13 ans après l'émergence de l'Abri, le Faubourg Marigny attire toujours de nombreux migrants, que Dixon fait travailler à la construction de la jeune nation. Bien que le territoire de l'Abri soit très restreint, celui-ci dispose d'une certaine supériorité technologique sur les autres factions orléanaises, et bénéficie d'une économie et une démographie en pleine croissance.
Enfants de Saint-Louis
Cajunte
Membres Notoires
Le Faubourg Marigny, quartier sous l'autorité de l'Abri 32 et disposant d'une des meilleurs qualité de vie d'Orléans
Atrium de l'Abri
Une des cafétérias à l'intérieur de l'Abri
Salon d'un quartier résidentiel
Jacqueline Dixon, Superviseuse de l'Abri 32
Officier de sécurité de l'Abri 32