La chute de Dejuon
Disaster / Destruction
La chute du royaume de Dejuon sous les flammes du grand dragon rouge, ainsi que la mise en place d'un plan pour éliminer ce dernier.
Le dragon rouge qui n’avait pas été aperçu depuis plus de dix ans refit son apparition, mettant fin au royaume de Dejuon. Le roi Baranos II mourut dans les flammes qui ravagèrent sa capitale, Boest (elle se serait trouvée aux alentours de l’emplacement actuel, du grand-bourg de Biert ). Le roi mort, les rares vassaux qui lui restaient décidèrent de se rendre à Armad avec leurs forces. En apprenant la nouvelle Clermet comprend que peu importe combien de dragon sont abattus tant que la grande bête sera en vie, personne, aucune ville, aucun peuple ne sera en sécurité. C'est ainsi que fasse à ce danger, un plan fut mis en place. Attirer la bête dans une embuscade en décidant de l’endroit et du moment où l'affronter.
L’idée fut de trouver un lieu où ses flammes représentaient un risque moindre de causer un incendie et où il pourrait être piégé par sa grande taille. Ce fut une vaste région marécageuse non loin des frontières de Dejuon qui fut choisie. Une région qui est aujourd'hui connue sous le nom de marécages Clermet.
Il fallait également trouver un moyen d’attirer la bête qui avait établi son repaire dans les ruines de Boest, ainsi qu’une manière de mouvoir de transporter les balistes dans les marécages. La mise en place du plan dura 1 an.
Un petit événement vint néanmoins perturber la préparation. Beilrio s’échappa de sa prison. Voulant s’accaparer le prestige de tuer le grand dragon rouge, il vola un prototype de grande baliste mobile, qu’il arriva à mouvoir avec quelques complices téméraires. Pendant ce temps, le monde tenta de se relever grâce aux balistes de Clermet, qui entre temps gagna le surnom de Penddragon ("tête de dragon" ou "dragon décapité" en ancien Celdor). La nouvelle des préparatifs de la grande chasse se répandit sur tout le continent, différents peuples du Nord comme du Sud apprirent la nouvelle et des milliers de volontaires, artisans comme guerriers, affluaient pour aider.