Pôle, différentes Époques
Pour mieux comprendre le look de la ville, il est utile de comprendre ses origines.
Les alwegs à qui on décrit Pôle et ses six collines imaginent facilement six hauteurs distinctes, plus ou moins espacées. En fait, il s’agit plus d’une chaîne de sursauts enchaînés, formant un unique monticule compliqué.
L’Astrée est la hauteur principale, couverte par les terrasses blanches. S’il est évident que les bâtiments sont sur une élévation, on n’en voit toutefois rien, tout étant recouvert, dès cette époque, par les palais des elfes.
La Pernée est moins une vraie colline qu’une pente régulière, tombant depuis l’Astrée vers l’ouest, avant de se séparer en deux coulées de terrain : la Nastrée à l’ouest et l’Eltrée au nord-ouest.
La Marnée au nord-est est une colline ressemblant à l’Astrée quoique moins haute et plus tassée.
Enfin, la Lénée est une pente régulière tombant des falaises de la Wilkes vers les pentes douces du sud.
L’idée est alors de conserver une ville intérieure sûre et riche, et de garder les aspects utilitaires et grossiers en périphérie. La réalité des besoins, la difficulté de navigation en ville, et les difficultés suivant la révolte vorozione, ont finalement le dessus, et la vieille ville devient vite un patchwork social aussi compliqué que la Pôle moderne.
Au commencement était le plat
La plaine de la Wilkes, tout autour de Pôle, est d’une platitude et d’un morne à la limite du dépressif. Il est donc évident que les collines rocailleuses et les pitons rocheux sont des créations magiques, dont le but exact et l’origine sont inconnus. Il en est de même pour le cours du fleuve, serpentant entre des falaises titanesques qu’aucune érosion naturelle n’aurait pu tracer ici. Pas de logique évidente, donc, simplement la certitude du travail des mages, dans un but et selon des plans perdus dans les brumes du temps.La pôle elfique
À cette lointaine époque, la ville se limite à un bloc d’habitations aux formes étranges (l’envol et le palais) entouré de quelques bâtiments monumentaux (les éminences) posés sur les hauteurs. L’apparence de la Pôle elfique n’est connue que grâce à quelques œuvres d’art de l’époque, gravées dans l’albâtre des hauteurs. Les noms des six collines sont d’ailleurs un ajout tardif, issu des textes d’un auteur dramatique de l’âge d’or. Personne n’est bien sûr, aujourd’hui, d’où il a tiré ces noms et c’est un sujet de disputes sans fin dans les rues de papier.Les alwegs à qui on décrit Pôle et ses six collines imaginent facilement six hauteurs distinctes, plus ou moins espacées. En fait, il s’agit plus d’une chaîne de sursauts enchaînés, formant un unique monticule compliqué.
L’Astrée est la hauteur principale, couverte par les terrasses blanches. S’il est évident que les bâtiments sont sur une élévation, on n’en voit toutefois rien, tout étant recouvert, dès cette époque, par les palais des elfes.
La Pernée est moins une vraie colline qu’une pente régulière, tombant depuis l’Astrée vers l’ouest, avant de se séparer en deux coulées de terrain : la Nastrée à l’ouest et l’Eltrée au nord-ouest.
La Marnée au nord-est est une colline ressemblant à l’Astrée quoique moins haute et plus tassée.
Enfin, la Lénée est une pente régulière tombant des falaises de la Wilkes vers les pentes douces du sud.
La belle enclose
Le mur d’Alino, bâti au cours du 4e siècle de l’Empire, marque les limites de la vieille ville. À cette époque, il existe encore des quartiers extérieurs, sorte de petites villes indépendantes, dirigées par des familles de haute noblesse, et véritables portes vers les provinces.L’idée est alors de conserver une ville intérieure sûre et riche, et de garder les aspects utilitaires et grossiers en périphérie. La réalité des besoins, la difficulté de navigation en ville, et les difficultés suivant la révolte vorozione, ont finalement le dessus, et la vieille ville devient vite un patchwork social aussi compliqué que la Pôle moderne.
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