homo/elfis/nanis/orcos cellula răpĕrĕ Ethnicity in Onim | World Anvil
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homo/elfis/nanis/orcos cellula răpĕrĕ

Ethnie à l'espérance de vie très réduite, les cellula răpĕrĕ sont une ethnie marquée par leur extrême capacité d'adaptation qui se traduit au niveau culturel par des sociétés qui changent très rapidement, pouvant passer par les extrêmes trois fois dans la vie d'un même individu – même quand cet individu est un orc.
En plus de s'adapter, les cellula răpĕrĕ sont aussi capables d'évoluer très rapidement. En trois générations, une famille peut totalement épouser le nouveau territoire qu'ils ont colonisé. Ceci est donc accompagné d'une capacité de procréation très grande : peu d'enfants atteignent cependant l'âge adulte, seul ceux adaptés y ayant droit. Parfois, ce processus de sélection est un mécanisme actif et traditionnel plutôt qu'une simple épuration naturelle.
Les cellula răpĕrĕ ont une capacité de dédoublement cellulaire qui peut être de doublé a décuplé par rapport aux autres ethnies (et selon les sous-ethnies de cellula răpĕrĕ). Cela réduit d'autant le temps de gestation de chaque enfant, participant à la forte capacité de procréation, ainsi que le temps entre la naissance et la maturité sexuelle. D'un autre côté, le risque de cancer est autre maladie liée aux cellules sont extrêmement augmentés et la mort par cancer est considéré comme mort naturelle pour cette ethnie.
  Lorsque les cellula răpĕrĕ forment des communautés, elles se font le plus souvent selon l'un des deux schémas suivant :
Le premier schéma est considéré comme le schéma « patriarcal », même si ce serait mal le résumer de l'appeler seulement ainsi. La caractéristique principale est que l'idée – commune à la majorité des autres ethnies – que les femmes enceintes ne travaillent pas est gardée. À cause de leurs nombreuses – mais plus courtes qu'habituellement – périodes de gestation, les femmes cellula răpĕrĕ sont souvent considérées comme des inutiles fonctionnant à l'arrière de la société ; cependant, leur travail au sein des communautés est extrêmement important et elles sont capables de preuves de forces impressionnantes. S'occuper de six enfants en bas âge tout en étant enceinte demande une force de corps et de caractère largement développé.
D'un autre côté, les hommes cellula răpĕrĕ sont constamment en quête d'argent et de nourriture pour leurs familles et leurs femmes. Dans un contexte campagnard, cela se traduit le plus souvent par des personnes devenant des chasseurs extrêmement doué et prolifique, ou des agriculteurs et éleveurs capables de nourrir un petit village à eux tout seul ; dans ce cas, on retrouve souvent une « épreuve de mariage » pendant laquelle l'homme prouve qu'il peut fournir à manger à sa future famille, sans quoi la femme refusera ses avances. Dans un contexte citadin, le cliché est que les hommes cellula răpĕrĕ sont capables de tout pour gagner de l'argent, causant souvent le malheur des autres.
Le second schéma est, par effet miroir, considéré comme le schéma matriarcal (le résumer seulement ainsi reste simpliste). La différence est que les femmes, même enceinte, continuent à avoir un travail (autre que s'occuper des enfants). La garde de ces derniers est alors donnée aux rejetons les plus vieux ou à l'homme. Ce type de société, après quelques générations, donnent des femmes à la force et résistante physique très développé, capable de chasser et faire divers travaux même en étant sur le point de donner naissance.
À l'inverse, les mâles n'ayant plus « besoin » d'être fort physiquement, ils prennent des rôles intellectuels ou simplement de garde d'enfant.
Il est généralement admis que, quel que soit le type de société, les cellula răpĕrĕ font des professeurs et gardes d'enfants extrêmement qualifiés.
    À cause de toutes ces caractéristiques, les cellula răpĕrĕ ont souvent une réputation de colonisateur, voir d'espèces invasives. Leur vie courte et les nombreux enfants morts qui les accompagnent ne participent pas à leur donner bonne réputation.
On peut aussi noter que certaines légendes (souvent raconté par les cellula răpĕrĕ à leurs enfants) font note d'individu de cette ethnie dont le dédoublement cellulaire était si rapide qu'ils pouvaient régénérer des membres manquant.

Pour jouer une variante d'elfe, humain, orc et nain de l'ethnie cellula răpĕrĕ, voir Cellula răpĕrĕ: règle de jeu.

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