Referain Ethnicity in Meridach | World Anvil

Referain

Les Referains furent les derniers et dernières humaines à résister aux assauts guendens à l’aube des Temps Sombres. Ils s’exilèrent en direction de l’abîme du vent en 36 après la Déclaration Universelle des Guendens.
 

Origines


  Les Referain-e-s sont issu-e-s des populations qui ont choisi de s’exiler vers le Gouffre du vent au XXème siècle avant C.R.. Ce lieu fut choisi en raison de sa difficulté d’accès, de sa pauvreté en ril et de sa faune très réduite. Autant d’éléments qui le rendent totalement dénué d’intérêt pour les guendens. En raison de leur isolement, iels ont développé une culture très différente des autres populations de la région.
 

Lieux de vie


  Les Referains et Referaines vivent presque exclusivement au Gouffre du Vent. A partir de la fondation du Sandor, un petit nombre d’entre s’y rendent.

Culture

Groupes de langues et dialectes majeurs

La culture referaine est l’une des seules de tout l’Anmark à parler une langue sans aucun lien avec l’Anarrois.

Niveau technologique moyen

Cette ethnie n’a jamais intégré de technologies guendens ou révolutionnaires dans ses connaissances. Ainsi, le ril leur est-il complètement inconnu et leur population ne compte-t-elle aucun dhant.   En contrepartie, la culture referaine a développé un considérable savoir-faire architecturale, modelant la montagne à sa guise afin de rendre ses installations à la fois indétectables et agréables à vivre. Vivant dans un premier temps de maigres racines, les Referains et Referaines ont développé une science extrêmement poussée de l’agriculture hydroponique puis de l’agriculture aéroponique. Les habitant-e-s du Referain ont également fortement développé leurs connaissances en ingénierie des paysages.

Coutumes Funéraires et Mémoriales

La principale religion referaine est le culte des ancêtres. Celui-ci se pratique essentiellement de manière familiale, dans de petits autels disposés dans les maisons.   Le culte des ancêtres perd cependant progressivement du terrain et prend, à partir du Ier millénaire avant C.R., les allures d’une simple coutume que l’on pratique par souci de la bienséance et par gratitude, plutôt que comme une véritable croyance en la survivance des âmes.   A partir de là, plusieurs écoles philosophiques se développent pour apporter de nouvelles réponses aux questions existentielles des populations.

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