Brigh est la déesse de l'invention et semble particulièrement favoriser les créations qui prennent vie par elles-mêmes, comme les machines ou les automates. Malheureusement, le genre d'esprit créatif qui s'engage dans le genre d'inventions que Brigh préfère sont ceux qui sont les moins prompts au culte ou à l'évangélisation, préférant en général se dévouer à l'invention elle-même. De fait, son culte n'est pas des plus importants excepté à Fieldar ou se trouve "
Le grand temple de la création" et au bazar d'
Al-Raketh .
Histoire
Personne ne semble savoir si Brigh était autrefois une mortelle s'étant vue accorder la divinité, ou un automate qui reçut non seulement la vie mais également une étincelle de réelle divinité. Elle est donc souvent considérée comme une
Exalté.
Apparence
Brigh est normalement représentée comme soit une femme humanoïde faite entièrement de rouages de bronze complexes recouverts d'un revêtement de métal, ou comme une femme parfaitement symétrique enfermée dans une armure mécanique. Les Gnomes la représentent comme l'une des leurs, avec de longs sourcils et des cheveux de câbles métalliques. Lorsqu'elle est sous sa forme mécanique, Brigh est réputée créer des objets parfaits qu'elle libère sur le monde comme des machines indépendantes, ou qu'elle offre à ses plus fidèles disciples.
Elle exprime son bon plaisir par des réparations spontanées, des reflets de bronze sur des miroirs, des encouragement murmurés par des machines, des stimuli associés aux établis - comme l'odeur de la graisse ou de la poudre à canon - et des moments d'intuitions profondes. Lorsqu'elle est énervée, elle fait dysfonctionner des machines, exploser des usines, ou casser des outils.
Doctrine
Pour gagner les faveurs de Brigh, ses fidèles travaillent sur de nouvelles créations - comme des objets mécaniques et magiques complexes, des jouets, ou des rouages - ou démontent et analysent de tels objets, tout cela en récitant des passages de
"la Logique du Modèle". Les fidèles partagent alors ce qu'ils ont appris dans le processus, soit en le racontant à quelqu'un ou en prenant des notes méticuleuses pour une publication ou distribution future. Les faveurs qu'ils obtiennent en retour se manifestent souvent par le fidèle prenant quelques aspects d'une machine, le pouvoir de commander aux automates, des capacités de fabrication améliorées, la capacité à traiter les automates comme des créatures vivantes, ou un contrôle limité su le temps.
Ses suivants croient que tout connaissance est faite pour qu'on bâtisse dessus. Pour un dévot de Brigh, les inventions sont leur héritage, l'attention au détail une nécessité, et vouloir innover autour des problèmes est critique. Ses enseignements répartissent ce processus en trois concepts également importants : questionner, proposer, et tester. Chacun est considéré nécessaire et dépendant des autres dans la poursuite sûre, concrète, et documentée de la connaissance.
Brigh accueille toutes les recherches et inventions avec dévotion, incluant la création de machines destructrices, mais s'oppose aux actes de destruction ralentissant l'apprentissage et le développement. Elle autorise ses fidèle à abandonner les recherches qu'ils jugent immorales ou dangereuses, s'ils partagent les raisons de leur décision. Bien sûr, Brigh demande à ses suivants de partager le savoir, et refuser cela - même à titre posthume - est vu comme un blasphème.
Les besoins physiques et sociaux sont reconnus comme nécessaires, mais sont moins valorisés que la création alchimique ou technologique. Bien que Brigh ne se soucie pas des questionnements mortels, elle voit l'importance de la transmission du savoir et du talent à des héritiers. La plupart, cependant, sont si dévoués à Brigh que les personnes extérieures à sa foi les appellent les "Mariés du Murmure", et de tels suivants voient leurs inventions et recherches comme un héritage équivalent au transfert de leur nom de famille.
Temples
Brigh a peu de centres de culte, ses adorateurs maintiennent habituellement une présence détachée là où ils recherchent et vénèrent. Les temples de Brigh ressemblent à des ateliers avec des outils de fabrication, des stockages pour les inventions, et une échoppe pour vendre des biens bâtis au sein du temple. Les chefs du culte sont généralement appelés Haut Père-Rouage ou Haute Mère-Rouage.
Les offices organisés sont composés de musique, de cloches, et de boîtes à musique, ainsi que de récitations de formules scientifiques et bien sur de démonstrations d'inventions en tout genre.
Texte sacrés
Le texte sacré de Brigh est
"la Logique du Modèle", un essai sur l'invention, l'expérimentation, la documentation, et la découverte qui fonctionne également comme recueil scientifiques sur la métallurgie, l'électricité, la physique et la maçonnerie. Ce livre est plus informatif que dogmatique, et renforce les versets de méthodologie scientifique et de connaissance partagée qui sous-tendent son culte.