Déesse-Mère
Le paganisme reconnaît de nombreuses déités, autant mâles que femelles. Mais les Païens savent que la Déesse-Mère vint en premier.
La Déesse est vénérée comme les phases de l'année : la pure Vierge du Printemps ; la Mère fertile, qui pleure son fils ou sa fille perdue ; et la sombre, terrifiante, horrifiante Couronne de la Mort. Elle est vue partout dans l'univers : la lune, les mers, la terre, le feu. C'est la déesse du sexe et de la mort. C'est l'apparente dualité de l'existence, et elle a des aspects positifs et négatifs à la fois. Mais quelle que soit sa forme, la déesse est liée au monde matériel. Les aspects spirituels de la déesse existent, mais n'ont pas de signification s'ils ne se manifestent pas dans le monde vivant. Les pouvoirs de la Déesse n'ont rien à voir avec des philosophies intellectuelles ou spirituelles, abstraites et désincarnées.
Ses prêtresses agissent souvent comme des initiatrices. Lorsqu'un homme rencontre une puissante émanation de la forte magie féminine de la Déesse, il en est transformé. Un changement personnel est inévitable, et la nature de la transformation est déterminée par les actions de cet homme, guidé par des dons et des informations de la Déesse. Ceux qui réussissent sont récompensés par la messagère de la Déesse. Ceux qui échouent peuvent mourir, ou être affaiblis émotionnellement, sexuellement ou physiquement.
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