Nuit charnelle Prose in Laelith | World Anvil
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Nuit charnelle

Contexte: À son retour de sa première mission Naïvara accroche l'attention de dame Vatran.

 

Participants:

Naïvara  Kalika Vatran 
  K: Naïvara arrive facilement à repérer la dame qui entre dans la dernière chambre au fond du couloir, elle laisse la porte entrouverte pour lui. Kalika regarde la pièce, un peu déçue de tant de simplicité et hausse les épaules. En attendant Naïvara elle retire son long manteau rouge et l'accroche sur le crochet de la porte ainsi que son sac à bandoulière. À sa ceinture elle porte du côté droit une rapière magnifiquement décoré de roses rouges en pierre (comme sur l'image) et un fouet noir (en genre de velours) à plusieurs cordes. Elle est habillée d'une chemise noire à manches courtes (mais longue jusqu'à la mi-cuisse sous son pantalon). Le tissu de sa chemise est presque transparent et pour cacher sa poitrine elle porte par dessus un corset rouge en brocart avec des agrafes (genre de clip) sur le devant. Elle porte aussi un pantalon noir avec des lacets sur chaque côtés puis des bottes noires en cuirs hautes jusqu'en dessous des genoux. Kalika reste dos à la porte au centre de la pièce, elle sait qu'elle ne sera pas bien seule longtemps. D'un claquement de doigts et d'incantations rapides, le peu de chandelles dans la pièce s'allument instantanément et dégagent une odeur agréable (sort prestidigitation) et elle entreprend de commencer à retirer sa ceinture et ses armes.   N: Quand il vie la femme refermer la porte il fût tenté de d’y entré précipitamment de façon magique. Commençant à se focus pour lancer sa brève invocation (Misty Step) Les paroles de Dame Kalika Vatran rejouent à vive allure dans son esprit.
‘’Seulement si vous en avez le courage’’
Ses paroles ne pouvaient être interprétées autrement. Juste au moment où il allait relâcher l'énergie magique il vit la main de la femme retenir la porte et lui laisser un léger embrasement. C'est alors que l'idée lui vint d'invoquer son serviteur invisible afin que ce dernier leur serve le vin et l'encas qu’il avait oublié de commander (en se tapant dans le front). Tout en ayant un œil sur l'embrasement de la porte au cas où la Dame changerait d'idée où elle serait impatiente (pour s'y faufiler magiquement) il commença à invoquer ce dernier en lui demandant de retenir la porte le temps qu'il revienne.
...
Après avoir fait patienter la Dame Vatran prêt d'un quart d'heure, la porte s'ouvrit lentement. Pourtant, l'homme à l'extérieur semblait comme un chouia trop loin pour l'avoir poussée. Il laissa ses yeux s'habituer à la luminosité de la pièce et referma la porte derrière lui.
Désolé de l'attente je me suis dit qu'un encas et à boire pour la nuit ne serait peut-être pas un luxe afin de refaire le plein d’énergie.
Dit-il avec un sourire malicieux en regardant droit dans les yeux Kalika. À ce moment il écarta les bras de son corps son ceinturon ainsi que son armure s’élevèrent magiquement afin d'être déposé avec précaution dans un recoin de la pièce et l entité magique revêtit les gants de Naïvara et pris le linge laisser sur la commode à côté du "bain de commode" et le déposa sur un de ses avant bras, comme les serveurs font.
Ah oui ne vous en faites pas pour lui
En pointant l’entité invisible Il va juste recevoir la commande de Danton ou d’un de ses subordonnés et nous servir à boire, enfin s’ils ne se laissent pas trop désirés
Sous son armure il était vêtu d’une tenue simple faite d’un matériel de qualité qui avait de légères traces d’usures, aux aisselles et à l'entrejambe. Comme quoi il ne faisait pas qu’agité les bras comme un mage ordinaire mais qu'il se déplaçait beaucoup sur le champ de batailles. Lorsque ses choses finirent par cessez de virevolter autour de lui, il s’approcha d’elle, à tel point que si leurs respirations avaient été synchrones leurs poitrines seraient touchées au faîte de leurs inspirations.
  K: Après 1-2 min debout dans la pièce à attendre Naïvara elle se sentit légèrement stupide de rester planté ainsi perdu dans ses pensées.
Reprend toi franchement, tu es loin d'être une jouvencelle...
Elle plaçait ses armes instinctivement sous le lit par précaution...pas qu'elle avait peur de l'elfe, mais se faire attaquer durant la nuit lui était déjà arrivé à quelques reprises. Après une autre minute, elle se demandait si l'homme avait perdu courage et serait retourné avec les autres aventuriers.
Un peu de lecture et puis si on me laisse seule tant pis...je me vengerai une autre fois.
Kalika fouille dans son sac accroché à la porte et prend son "carnet" de note et le place sur le lit. Elle enlève son corset pour être plus à l'aise, place tout ceci dans un coin, elle sort sa chemise noire presque transparente de son pantalon et s'assoit sur le bord du lit jambes croisées avec son carnet entre les mains. Le temps passe, 5 min puis 10min bientôt un quart d'heure. Elle est perdue dans ses pensées et la lecture de ses notes de voyage. Puis finalement la porte ouvre, la dame lève les yeux de son carnet pour s'assurer qui osait se manifester. La légère déception fit place rapidement à un certain soulagement en observant Naïvara pénétrer dans la pièce avec l'aide de son serviteur invisible. Kalika posait son carnet sur la table de chevet, puis en prenant bien soin de déplier langoureusement ses jambes, elle se levait debout à la rencontre de son invité.
Oh! Oui...Une merveilleuse attention. J'ai presque cru que vous aviez rebroussé chemin...
Elle répondit à son sourire, mais recula d'un pas quand le serviteur commençait à retirer l'armure de l'elfe. Elle n'avait pas vu cela avant dans ce contexte, mais ne paraissait pas choquée, juste curieuse? Elle se tenait là debout à quelques pas observant la scène, ses cheveux camouflant à peine une partie de sa poitrine sous sa mince chemise.
...
Peu de temps ensuite, Naïvara s'approchait à un tel point de la dame que leur corps pouvaient se frôler aux moindres mouvements. Kalika était obligé de lever les yeux vers l'elfe pour plonger son regard dans le sien, car elle était plus petite que son charmant invité. Durant un bref instant, la dame cessait de respirer, prise un peu par surprise par la soudaine avancée de Naïvara, c'était elle d'habitude qui s'imposait. Elle déposait sa main gauche comme une caresse sur la joue de l'homme, puis fermait les yeux, savourant la chaleur agréable de la peau de son partenaire. Elle glisse délicatement son index vers le bas, vers la carotide, puis toujours de la main gauche elle descend plus bas afin de caresser le torse.
Cette nuit...nous sommes libres...
Murmure t'elle en ne le lâchant pas des yeux...ces mots avaient une signification pour elle, l'instant d'après la dame met ses bras autour de la nuque de Naïvara et commence à l'embrasser avec ardeur, sans avertissement.
  N: Il lui retourne son fougueux baiser. Plaça sa main droite au creux de ses reins et de la gauche il lui caressa le haut du dos et la nuque tout en lui faisant parcourir le peu d’espace qu’il restait entre leurs corps. Après un certain moment de cette étreinte il relâcha un brin son emprise afin de ne pas l'effrayer.
Alors soyons fou...
Il s'écarta d’un demi-pas en ne quittant pas son regard envoûtant. Avant que cette dernière n'ait le temps de réagir il se retrouva torse nu. La chaleur de son corps à travers sa légère chemise contre sa peau lui faisant trop envie, sa tunique avait été retirée à la vitesse de l'éclair. Avant même qu’elle n’ait retouchée le sol, leurs corps étaient à nouveau collés l'un à l'autre. Il l’embrassa de plus belle. Ses mains se posèrent sur ses hanches . Puis glissèrent sur ses fesses, qu'il prit fermement en main. La souleva du sol et la mena doucement vers le lit où il avait bien l'intention de passer la nuit éveillé.
  K: Lorsque Naïvara passait ses mains dans le dos de la dame, il pouvait ressentir de légers reliefs sur sa peau sous forme de lignes presque droites et nettes. Kalika s'était raidit un peu aux premiers contacts, mais se détendit presque aussitôt aux caresses continues. Une exclamation de surprise agréable sortit de sa bouche quand le mage retira sa tunique grâce à la magie de son serviteur invisible, c'était plutôt pratique. Elle n'eût point le temps de réagir que leurs lèvres et langues se retrouvaient intimement. Kalika ne put s'empêcher de laisser un gémissement excité quand elle fut soulevée du sol et amenée vers le lit. Elle avait placé ses jambes autour de lui pour se faire transporter.
...je ne suis pas fragile...
Dit-elle entre deux baisers passionnés. La femme le tenait d'une manière assez ferme avec ses cuisses serrées contre lui, un peu comme un serpent qui serre sa proie. Rendu au lit Naïvara s'en allait la placer délicatement sur le dos, mais d'un mouvement habile elle le fit basculer pour que ce soit elle qui soit au-dessus de lui et non l'inverse. Le lit émet un bruit de craquement douteux. Un rire clairement amusé, mais pas très sonore sorti de sa bouche à cet instant. Elle était sur l'homme. Sa main droite exerçant une force sur le torse de l'elfe, une force peu commune pour une dame de sa taille, mais c'était une pression contrôler afin de ne pas écraser ou blesser son invité. Elle le maintenait simplement couché d'une seule main.
...vous n'êtes pas non plus fragile, n'est-ce pas?
Dit-elle sur un ton qui se voulait ferme, mais il pouvait percevoir aussi de la tendresse dans ces mots. Toujours assise sur Naïvara bougeant lentement ses hanches pour l'agacer, elle faufilait sa main gauche vers l'arrière et caressait doucement l'une des cuisses à sa disposition tout en remontant presque vers l'entrejambe de l'homme. La dame avait les joues rougissantes d'excitation, un sourire et un regard provocateur.   N: Naïvara ne savait quoi penser. Un troublant mélange de crainte, de perte de contrôle et d’excitation se déchaînant en lui. L’excitation devant sûrement commencé a être perceptible (peut-être était-ce là la cause du rougissement de sa compagne).
Non je ne suis pas faible, mais j’ai encore envie de tes lèvres, allez approche. Dit-il avec un sourire malicieux. Il mit les 2 mains sur son bras et tenta de l'attirer à lui.   K: La dame lâchait un instant son emprise sur le torse, avec ses deux mains elle prit celles de l'homme qui tentait de l'attirer vers lui. Elle donnaient des baisers sur les mains de Naïvara, ses poignets et avant-bras à tour de rôle, puis finalement plaquaient les bras de l'elfe au-dessus de la tête de celui-ci. Kalika se penchait sur lui et allait lui donner un baiser, puis elle enfouit son visage dans le creux du cou de l'elfe pour lui donner d'autres baisers délicats. Il pouvait entendre la respiration de la dame s'accélérer quand elle lui mordilla sans douleur un lobe d'oreille.
Des bruits de pas rapide dans le couloir se firent entendre, puis des petits coups hésitants à la porte.
Danton: ...euh votre commande?
La dame sourit doucement en se redressant et elle relâcha son emprise des bras qu'elle maintenait pour que Naïvara contrôle son serviteur.
Kalika: entrez.   N: Naïvara profitait de la distraction de Kalika pour à son tour prendre le contrôle. Tandis que de son esprit il ordonna à son serviteur invisible d'ouvrir la porte prendre la commande et de refermer la porte d’un coup de bassin. Naïvara appuya son pied droit fermement sur le matelas et poussa vivement en relevant le bassin du même côté afin de jeter la dame sur le matelas à sa gauche. Roulait en harmonie sur son épaule gauche avec le corps de la femme et s’installait avec un sourire de satisfaction au dessus d'elle en lui plaquant les mains sur le matelas.
À mon tour de te faire frémir...
Il lui rendit la monnaie de sa pièce en embrassant son cou, le souffle de plus en plus rapide et chaud sur sa peau et en lui mordillant à son tour les oreilles. Il lui chuchotait:
J’ai l'impression qu'on ne sera pas réveillé pour le déjeuner...
En éloignant un peu son visage du sien et lui faisant un clin d'œil. Pour ensuite poursuivre son assaut de caresses et de baisers. Pendant ce temps le serviteur déposa le plateau sur la table de chevet qu il éloigna du "champs de bataille" et remplis les 2 verres de vin à moitié avant de remettre la bouteille au frais et de se retirer dans le coin de la pièce en ramassant la tunique que son maître avait enlevé en un éclair.   K: La roulade la prit effectivement par surprise, elle poussa un petit cris étouffé de protestation, mais ne le repoussa pas et ne tenta pas de se dégager de la poigne exercée sur ses mains contre le matelas. Son visage paraît surpris, mais rapidement elle retrouve un sourire taquin. La femme détourne la tête pour se laisser embrasser plus facilement le cou, elle ferme les yeux et gémit d'un réel plaisir. Elle passe sa langue sur ses lèvres, tente de dire quelque chose, mais s'y ravise au dernier moment. Ses hanches bougent dans un mouvement invitant.
mmh...
Toujours incapable de parler à chaque nouveaux baisers dans son cou.   N: En s'appuyant sur ses genoux, il colle son bassin à celui de Kalika. De léger soubresauts du bassin de Naïvara qui semble maladroit (en réalité il tente de garder son équilibre en écartant suffisamment les jambe sans incommodé Kalika, tandis qu on lui retire ses bottes)
Ce qu'il est maladroit...
D'un mouvement lent voyant qu'elle s'abandonnait, il lui ramenait les mains au-dessus de la tête. Sans cesser l’assaut de ses lèvres sur la peau délicate de la femme. De la main gauche avec une poigne à la fois ferme et douce, il les retient dans cette position en s'appuyant sur la paume afin de ne pas la blesser. La main droite maintenant libre, il en profita pour déboutonner 2-3 boutons afin de découvrir plus d’endroits à embrasser. Pour ensuite caresser le ventre et les côtes de la femme et se glisser derrière le dos de celle-ci afin de ramener son bassin vers le sien et lui faire ressentir qu'il la désirait ardemment. 3 petits bruits mats se firent entendre. (La dernière botte et la paire de gant viennent de tomber au sol) Naïvara sursauta et sourit, puis approcha sa bouche de l’oreille de Kalika.
Nous sommes enfin seul
En plongeant son regard dans celui de la jeune femme.   K: Kalika ne se rendit pas compte que le serviteur retirait les bottes de Naïvara, elle était trop dans sa bulle d'extase d'être assaillie sous les baisers de l'homme. Un long frisson lui parcourait l'échine quand le mage entreprit de déboutonner sa chemise pour caresser son ventre, un léger soubresaut de chatouillement la prenait quand la main chaude de son partenaire glissait sur ses côtes. Elle ressentait le désir gonflé de son invité au travers de leurs pantalons, alors qu'elle se laissait embrasser, elle aussi sursautais légèrement au bruit causé par le serviteur disparu. Normalement, elle aurait eu l'instinct de porter une de ses mains vers son arme sous le lit dans un petit moment de paranoïa, mais ses 2 mains étaient encore prisonnières, en voyant Naïvara sourire cela la rassurait aussitôt et elle comprenait ce qui venait de se passer.
En effet...
Lui répondit-elle faiblement. Elle avait vraiment envie d'aller jusqu'au bout même si elle risquait des représailles, car pour une fois cela venait de ses propres désirs et ce n'était pas pour satisfaire les manigances d'un seigneur qui disait l'aimer...elle un simple pion sur le grand échiquier du destin. Ses yeux scrutant ceux de l'elfe brillaient d'une envie dévorante, elle s'en mordait la lèvre inférieure, pensive. Elle allait l'utiliser comme il allait aussi l'utiliser juste une nuit et cela ne la dérangeait pas au fond, si cela pouvait leur donner un sentiment de réconfort...
...et si on retirait nos restes d'habits maintenant?
Dit-elle en chuchotant à son oreille. Puis la dame agitait du mieux qu'elle pouvait ses pieds afin de retirer elle aussi ses bottes qui venaient aussi s'écraser au sol.   N: Saisissant l’invitation au vol, sa main droite s'acharna sur les derniers boutons toujours attachés de la chemise quasi translucide. Lorsque le dernier bouton quitta enfin sa niche dans la boutonnière. Il s’appuya sur sa main droite, sourit en admirant les courbes de la femme.
Moi qui pensais te faire languir encore un peu...
Se remettant à caresser la nuque les épaules et les côtes de Kalika de sa main droite. Il approcha sa bouche de sa poitrine gauche et souffla légèrement de sa haleine chaude dessus. Avant de prendre le mamelon de ce dernier en bouche . Il le lécha, le mordilla et le suçait un certain temps en écoutant les gémissements de sa partenaire. La sachant distraite il glissa sa main droite sous ses reins, lorsqu'elle se cabra il se servi de ce momentum pour roulé sur sa gauche et remettre sa partenaire a cheval sur lui et fit glisser les manches de sa chemise le long des ses bras, en profitant pour admirer la plastique de la femme.
Maintenant nous en sommes au même stade.
Dit il d’un ton taquin en lançant sa chemise vers la chaise non loin.
Même avec ta chemise j’ai touché ma cible.   K: La dame regarde sa chemise atterrir sur la chaise et hoche la tête avec un sourire joueur. Habituellement c'était elle qui faisait languir les hommes et parfois certaines femmes, Kalika se sentait prise à son propre jeu. Son bas ventre pulsait de désir et s'en était presque douloureux. Rapidement elle sortit du lit, elle était debout à côté de celui-ci, le dos tourné à Naïvara. Elle déloussait quelques cordons de son pantalon au niveau des hanches en se trémoussant langoureusement pour le faire tomber au sol. Son invité pouvait apercevoir subtilement au travers des longs cheveux de la dame des marques dans son dos (les reliefs qu'il avait touchés plus tôt), des cicatrices anciennes ressemblant à des lacérations nettes, longues rappelant les dégâts causés par un fouet. Elle se retournait, complètement nue à présent, quelques mèches de cheveux rebelles qui s'étaient placées sur sa poitrine pâle. Kalika se mordillait un doigt en regardant Naïvara étendu sur le lit, elle avait envie de jouer encore avec lui, mais elle ne savait pas si elle serait capable elle-même de se retenir. Avant qu'il puisse faire quoi que ce soit, elle se rapproche et remonte à côté de lui, la dame est assise sur ses propres genoux. Elle se penche vers les lèvres de son invité pour d'autres baisers intimes, puis poursuit une lente descente de baisers le long du torse, l'une de ses mains vient caresser l'entrejambe et les cuisses de l'homme en alternance.   N: Profitant et gémissant de plaisir sous l’assaut de caresses et de baisers de sa partenaire. Le désir devenant de plus en plus pressant. Il finit par la repousser délicatement en se mettant en position assise.
C'est à mon tour je présume.
Il lui vola un dernier baiser langoureux avant de rouler à son tour hors du lit, face à ce dernier. Il eut un moment d'hésitation, devait-il se trémousser ou tenter quelques pas de danse lascive? Lui qui est plus habitué à la danse martiale, son style de combat. Son désir trop puissant pour cette femme pris le contrôle de son corps et sans qu'il ne s en rende compte, ses mains avait de leurs propres chefs déboucler sa ceinture et déboutonner son pantalon qui était tombé a ses chevilles. Son regard perdu dans l’intensité de celle qui l’attendait sur le lit, il resta droit et fier un moment. Perdu dans ses pensées à contempler la beauté de Kalika. Reprenant ses esprits, il fait un petit bond hors de son pantalon. Il sourit et posa sa main droite, puis sa main gauche sur le lit. Il avança la main droite pour y mettre le genou droit tel un félin s’approchant d’une proie prise au piège. Il ne fonçait pas directement sur elle, Corellon en soit témoin, toute sa volonté était mise à l'épreuve. Il se dirigea vers le pied du lit le temps d’avoir le genou gauche bien en appui sur le matelas et la regarda intensément droit dans les yeux en approchant son visage du sien.
Je ne sais pas ce qui a pu te causer tant de souffrances...
Lui volant un rapide baiser
Mais cette nuit je vais tenter de te les faires oubliées
Il approcha son corps du sien l'enlaça et la souleva délicatement, avant de l'étendre sur le lit et de s’allonger sur elle. Leurs 2 corps brûlant de désir mutuel Naïvara fit preuve de volonté et se retint de la prendre sur le champ même si la moiteur de son bas ventre était perceptible. Il recommença à l'embrasser tout d’abord sur les lèvres, puis le cou, la poitrine, l'abdomen et les cuisses. Ses mains se baladent sur le corps brûlant de désir de Kalika.   K: Avant qu'elle puisse lui retirer sauvagement son pantalon, l'homme roulait hors du lit à son tour, elle le regardait hésiter un instant. Curieuse, elle haussait un sourcil observant attentivement les gestes de Naïvara. Une fois que l'elfe eut tôt fait de retirer le reste de ses habits elle se reculait un peu dans le lit son index tendu vers lui, l'invitant avec un petit mouvement aguicheur. Cependant, son invité était là debout, immobile et fier entrain de la contempler. Elle détournait un instant les yeux comme intimidée par tant d'assurance, mais ce fut bref. Quand il se mit à avancer vers elle tel un grand fauve affamé, la dame s'était mise à serrer les draps du lit entre ses doigts pour contrôler son désir fiévreux, tout en avalant sa salive. Leur visages étaient si proches, elle l'écoutait un peu confuse, puis compris qu'il parlait de ses marques, elle lui en parlerais peut-être plus tard, pas maintenant. Elle acceptait d'un sourire timide de ne penser qu'à cette nuit qui s'annonçait longue, mais plaisante... Avec les baisers pressants qui parcouraient son corps, elle ne pouvait pas tout contenir ses gémissements surtout lorsqu'il allait embrasser son cou, puis ses cuisses. Sa main droite allait agripper la tête de lit derrière elle, son bassin se soulevait légèrement, impatient. Sa main gauche empoigne fermement les cheveux de Naïvara, mais sans lui faire mal durant ses milliers de baisers. Le respiration rapide dû au désir elle dit:
...je t'en prie...
Elle soupirait faiblement, ah...les elfes. Cet homme allongé sur elle avait sûrement au moins 250 ans?... 5 fois son âge sinon plus... c'était toujours difficile de juger l'âge de ceux-ci...la dame en avait jugé au fil du temps que c'était un truc culturel d'être aussi délicat et "patient" avec leur partenaire. Elle resserrait sa prise sur les cheveux de Naïvara pour lui montrer son impatience. Nerveusement elle relâcha sa main droite aussitôt de la tête de lit après avoir entendu un craquement de bois désagréable sous ses doigts délicats.
oups...Danton devrait se procurer de meilleurs mobiliers...
Ricanait-elle doucement. Puis la jeune femme l'attirait doucement par les cheveux pour l'embrasser dans son cou, et sa main libre caressait le dos de son invité. Ensuite elle enroulait ses jambes autour de lui. Ses yeux brun-doré brillaient d'une envie dévorante, ne le lâchant pas d'une seconde, elle exerçait avec ses cuisses une force semblable à celle démontrée plus tôt afin qu'il ne recule pas.
Je n'ai pas aussi de volonté que toi on dirait...c'est une torture de me faire ça...mmh?
Dit-elle sur un ton faussement déçue. Elle avait relâché son emprise sur les cheveux de l'homme et avait maintenant ses bras autour de la nuque de celui-ci. Son bassin se soulevant peu à peu pour venir à la rencontre de son partenaire.   N: Il était sur le point de lui embrasser l’entre-cuisse lorsque la main de la femme lui empoigna les cheveux et qu’un bruit de baton de bois craqua. Il releva la tête afin de savoir d'où cela venait et croisa le regard suppliant et hypnotique de sa partenaire. Comme en transe ou peut être était-ce la poigne ferme de la femme. Il se retrouva à sa hauteur yeux dans les yeux, sa masculinité ayant glissé sur l'intérieur de sa cuisse. Il l'embrassa langoureusement, et ne put résister plus longtemps à sa dernière complainte lorsqu'il sentit son bassin chercher le sien. Il se trémoussa le bassin afin que son sexe se déplace et entre en contact avec la partie humide de celui de sa compagne et lorsqu'il fut certain de l'alignement. Lui aussi cherchant la communion.
C'est bon je cède.
Il s'insère en elle des frissons parcourant tout son corps.   K: La tornade de désir charnel finit par se calmer, les deux êtres étaient enlacés les yeux clos tentant de reprendre leur souffle. Il fallait reprendre des forces, pendant un instant Kalika songeait à aller prendre sa bouteille personnelle et la partager avec Naïvara...mais il ne lui en resterait pas assez pour "survivre" la fin de son voyage. La dame se redressait, dos appuyé sur la tête de lit et prenait les coupes de vin que le serviteur avait préparé plus tôt. Elle en tendit une à Naïvara une fois qu'il fut installé à son aise.
Un toast à cette nuit torride?
Elle levait sa coupe en riant, une de ses mains venait replacer ses cheveux vers l'arrière. Une fois leur ''toast'' fait, la dame en prend une longue gorgée.
Bien...plus tôt je regardais le babillard et j'ai vu une annonce qui a attiré mon attention...
Elle touche son collier et incante une petite illusion mineure, dans sa main elle fait apparaître le texte du message.
 
''Le Temple de Yondalla a trouvé sur des terres récemment acquises à environ douze kilomètres de Gladz l’entrée d’un complexe souterrain, d’où émanent des énergies magiques troublantes. Le Temple, en association avec la ville de Gladz, offre une récompense pour les nobles âmes qui offriraient leurs services pour partir en reconnaissance dans ces profondeurs inconnues.
Pour toutes questions, adressez-vous à Halric, prêtre du Yondalla, notre envoyé à l’auberge du Répit de l’ ne.
Approuvé par la guilde le 5 Riche-Soleil 1489''
Elle semble hésiter
C'est assez inquiétant ce qui se trame tout près de chez moi...déjà qu'on déborde de problème avec les morts-qui-marchent et j'en passe...
Elle semble un peu décourager un moment en pensant à toutes les problématiques de Gladz. Elle fait disparaître son illusion mineure une fois que l'elfe la lu.
Peut-être que vous pourriez motiver les aventuriers ici pour aller investiguer ce complexe souterrain?
Elle baisse les yeux
Je n'aime pas mettre les gens en danger, mais j'ai des contacts anonymes qui seraient prêt à donner une récompense supplémentaire pour régler la situation…   N: Très bien je vais voir ce que je peux faire...Pour avoir vu des morts de prêts je doute que ma magie ou mon épée suffise je vais devoir regarder s'il y a des hommes saints de disponibles.   K: Je ne sais pas quels dangers se trouvent dans ce complexe souterrain par contre, peut être des morts, peut être autre chose qui sait? Pour le moment Gladz survit, mais si vous passez dans le coin...venez me dire bonjour
Elle lui sourit timidement
Désolé je ne voulais pas casser l'ambiance
Elle dépose sa coupe, prend un morceau de fruit pour le manger avec appétit. Kalika se couchait ensuite sur le ventre, tête appuyé sur ses paumes et l’observait avec envie. Cette fois ces cicatrices étaient bien visibles, mais cela ne semblait pas la déranger.   N: Il lui rendit son sourire et s 'approcha d’elle afin de lui prodiguer un massage et d’autres baisers. Il commença par l’arrière de ses cuisses, puis ses fesses et en arrivant au dos de la Kalika il y alla avec plus de délicatesse, ne sachant si ses cicatrices étaient toujours sensibles.
C’est normal de se soucier de sa patrie, personnellement je n’en ai pas vraiment souvenir ayant été cédé à un collège par mon père a un très jeune âge après la disparition de ma mère lors de la purge, j'étais trop gringalet pour survivre au dur labeur des champs alors m'ont père m’envoya faire des chants, c’est l’ironie de ma vie.   K: Il put sentir que la dame frissonnait sous ses caresses, elle s’aperçut qu'il faisait attention à son dos cela la fit sourire. Qu'il était doux avec elle, cela lui plaisait.
Ignore mes marques, elles datent d'un passé lointain pour moi... Disons qu'elles sont là pour me rappeler d'où je viens et le pourquoi que je me bat aujourd'hui... C'était pas simple pour une femme d'être ambitieuse dans un monde d'homme. Elle l'écoutait attentivement tout en profitant des mains qui parcouraient son corps. Pas si gringalet maintenant, mmh? Sûrement que ton père te reconnaîtrais pas alors…   N: Il rougit légèrement du compliment
Sûrement pas en effet
Il continua à prodiguer le massage
Donc vous n’avez vraiment aucune idée de qu'elle autre type de créatures, hormis possiblement des morts vivants que le groupe que je vais tenter de recruter et moi-même devront affronter? Vous êtes quand même native de la région, j'imagine que l’un de vos parents a dû vous conter des histoires sur les créatures qui hantent les parages à la nuit tombée pour vous empêcher de sortir du lit. Sinon je devrai essayer de trouver ce Halric afin d’en apprendre davantage.
En continuant encore une dizaine de minutes a la masser pensivement, puis il s'allongea à ses côtés cherchant à l'attirer délicatement contre lui.
Après un peu de repos   K: Non je ne suis pas native de Gladz, mais ça fait presque 1 ans que j'y suis... j'ai bon espoir de remettre en ordre cette région lorsque j'aurais mon siège au conseil...bientôt si tout se passe comme prévu.
Elle grimaçait durant un court instant lorsqu'elle pensait à certains problèmes plus spécifiques.
Alors non, je ne connais pas tant les contes et superstitions de cette région que les parents auraient pu instruire à leur progéniture...
La dame soupirait faiblement.
Les Kenafins, une famille d'elfe de la lune sortie de l'ancienne mine de Gladz il y a pas très longtemps... Peut être que eux savent pour l'autre complexe souterrain...Mais...vaut mieux éviter de les contacter, il y a une enquête sur eux. Possiblement des cultistes qui kidnappent des citoyens pour les sacrifier à je ne sais quoi...
Elle balayait cette histoire d'une main, comme si elle ne croyait pas ces rumeurs, puis se collait contre lui de dos et plaçait un drap sur leur corps. La femme repensait à son seul contact de cette famille elfe: Mien'hill Kenafin, mais n'avait pas eu de nouvelle de lui depuis un moment, ce ne serait pas étonnant qu'il soit mort par la main de sa matriache pour avoir donné des informations à Kalika...
mais oui...j'ai eu accès à un vieux plan, sûrement pas à jour de la place en question. Est-ce que l'information est bonne ? Qui sait vraiment...il y a peut être une entrée secrète?
Elle fermait les yeux essayant de se rappeler ce que Mienhill lui avait montré.
Reposons nous, je vais essayer de m'en refaire une image plus claire.   N: Ne dormant jamais il se mit a revivre ses expériences passées et profita de la chaleur du corps de la femme pour plonger dans une transe plus mélancolique que la norme repensant a sa femme morte prêt de 200 ans plus tôt. Il serrait Kalika un peu plus contre lui, son inconscient ne dissociant pas le rêve de la réalité et cela lui amena une certaine paix intérieure . Après quelques heures de cette transe réjuvénatrice il se leva délicatement, pris le temps de bien la recouvrir des couvertures afin que la chaleur qu’il avait apporté au lit puisse tenir la femme au chaud encore quelques instants après l’avoir quitté. Il chercha de quoi écrire et lui laissa une petite note.
 
‘’Merci pour cette agréable nuit ne voulant pas te réveiller, j'ai quitté pour la salle commune afin d'essayer de recruter pour la quête dont tu m’as parlé.
Signé amicalement Naïvara
P.s si jamais d’autres informations te reviennent à l'esprit tu sais ou me trouver xx’’
Il se revêtit , invoque à nouveau son serviteur invisible à qui il demande de verrouiller derrière lui. Et un coup sorti de la chambre et le verrou enclenché défit son enchantement. D’un pas léger, il rejoint la salle commune.

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