Histoire de la Vallée Écarlate
Gerbo: Alors racontez nous cette histoire de lanceurs de boules de feu !
Kalla: Comme vous le demandez si bien maître gnome. Il se tourne vers l’aubergiste. Danton ! Tournée générale s’il te plaît. Puis il se retourne vers son auditoire même s’il se doute bien qu’il a capturé l’attention de tous les gens présents.
C’était par une nuit de lune rouge. Des curieux et des cultistes se réunissent pour un festival. Ces derniers ayant conviés Elfes et Druides à se rassembler. Un géant fait d'osier étant enflammé auprès sur le sommet d’une colline sur laquelle était juché les restes d’un petit fortin. Une myriade de feux de camp éparpillés sur la colline. Les festivités allaient bon train.
L'huvalinien prend une pause pour boire à sa choppe se dessécher le gosier avant d’enchaîner.
Soudain dans la nuit un hurlement sinistre survient, suivi d’un autre. D'immenses loups sortent des bois accompagnés de leurs maîtres, des gobelours. Ces worgs s’en prennent à un campement, les gobelours les haranguant devant les échanges de coup et félicitant leurs "chiens", comme ils les appellent, autant que ceux qui se défendent.
Il prit une autre bonne rasade avant de continuer.
Pris de panique par cette sauvagerie soudaine a moins que ce ne soit une habitude à ce festival, pardonner mon innocence c’était ma première présence, les gens aux divers feux de camps ont fui vers le sommet,du moins en apparence. C’est alors qu'une sélection parmi les divers curieux présents commença, car en réalité c’était davantage une tactique de recrutement pour le culte qu’un véritable festival. Chacun de ceux qui voulaient les rejoindre devaient démontrer ce qu’il apporterait. Une prétendante sans talent avait prévu vendre une compagne de feu de camp afin d'entrer dans leurs rangs.
Encore une autre gorgée afin d’apaiser ce gosier qui commence à chauffer.
La captive fut sauvée in-extremis par Ömbredïl.
Il se tourne vers l’assemblée, cherche l'elfe et, lorsque leurs regards se croisent, lève son verre et en reprend une rasade.
C’est alors que les enfers se sont déchaînés, des lames enflammées surgirent du néant dans les mains de cultistes, d’autres lancèrent plusieurs traits de feu et même certains des boules de feu. C'est à travers ce chaos incendiaire que nous réussîmes à prendre la fuite à travers collines et forêt. J’imagine que c’est moins enivrant comme histoire.
En regardant le sanglier.
Mais je suis curieux de savoir comment c’est arrivé et peut-être en avoir une part pour chacun de mes compagnons en guise de paiement afin de vous raconter notre aventure.
L'homme à capuche, Cyldar, s'approche ensuite d'une table vide en compagnie de Katara et ils sortent chacun leur grimoire. Ils commencent à discuter de constructions de sortilèges et à s'échanger du savoir arcanique.
Katara, une jeune fille aux long cheveux bouclés et rouges entre dans la taverne main dans la main avec une magnifique elfe de lune, Mistadis, la mère d'Ömbredïl. L'enfant est toute excitée de montrer les lieux à la femme au visage impassible, sauf envers elle.
Tu vas voir cet endroit est super, Mistadis! Ya toujours quelque chose d'intéressant à faire et les gens sont sympas. Je ne m'ennuie pas des 4 murs de Saris… Pis y'a personne pour me dire quoi faire en plus… Hinnn!!! Regarde un gros cochon!!!
Katara pointe le sanglier en bien mauvais état qui s'en va vers la cuisine peu après. Ömbredïl tente de faire un petit coup de pub pour sa mère, la gamine sourit de toutes ses dents, elle adorait les histoires de Mistadis. La jeune fille laisse la femme s'installer au bar puis elle rejoint le mage encapuchonné pour leur échange de rituel. Ils sont installés à une table, ouvrant leur grimoire.
La couverture du sien était d'un cuir brun foncé et parsemé de vignes épineuses sur le dessus du tome, une magnifique rose rouge... Elle montrait à Cyldar ses nombreux dessins, enfantins pour la plupart, puis d'autres plus détaillés et intéressants. Avant finalement d'arriver dans la portion de ses rituels écrit dans une langue inconnu du mage assit en face d'elle.
Hum… J'avais oublié ce détail...laisse moi t'aider, ce sera plus rapide à déchiffrer!
Une fois leur échange terminé elle part rejoindre Kalla après son excellente histoire de leur aventure. Elle tire un peu sur sa tunique pour attirer son attention, elle est petite quand même. Quand il se retourne vers elle, la jeune fille lui dit tout bas:
Monsieur, tu as oublié le bout du violon volant...
Elle fait une petite moue boudeuse qui disparaît presque tout de suite et enchaîne...
J'ai un peu réfléchi sur les dieux et la "source" de mes pouvoirs “divins” que tu m'as mentionnés durant notre retour et... Je pense que c'est sûrement Lliira ou bien Tymora qui m'ont donné un peu leur bénédiction! Je ne vois pas autrement, ce sont mes deux préférés depuis toujours!
Elle touche son ventre, ses yeux, s'agrandissent.
T'as entendu gronder? Le sanglier… Ce serait une bonne idée! Ça changerait des rations! Dit Kalla, si tu vas chasser les gobo… Je peux venir avec toi?
Elle l'avait entendu parler de la mission un peu plus tôt. Les yeux de la gamine étaient pétillants d'excitation.
J'te promet que j'serais pas dans tes pattes… Hum… Il faudrait bien que j'envoie une missive à mon ordre pour les prévenir par contre. Katara fait rapidement un genre de salut militaire improvisé. Ömbredïl se retourne, par politesse, et fais un signe de la main à Kalla durant son monologue. Un peu plus tard, il regarde le babillard après avoir entendu Katara lui parler. Pourquoi elle s'intéresse à une autre mission ? Il se retourne après avoir vu la mission sur le babillard et la rejoint. Je comprends maintenant, Katara, en chuchotant seulement à l’enfant. C'est bien une mission personnelle pour toi. Tu vas aller aider la guide qui a mis ton nom dans son journal. Reprenant à voix haute: Je te souhaite que ton aventure se passe bien, essayant d'être souriant, fini avec une face sans émotion.
Katara semblait devenir pensive, une lueur d'hésitation apparut dans ses yeux quand Ömbredïl lui chuchota ces quelques paroles.
Eska… Une druidesse qui peut-être aurait des réponses sur mon passé? pensa-t-elle. Ou était-ce une de ces personnes qui lui voulait du mal? Faut se méfier des gens comme eux, comme son vieil ami l’avait prévenu autrefois.
Katara voit le "presque" sourire de son compagnon de mauvais tours orné de son beau visage, ce qui provoque chez la jeune fille, de nouveau, un sourire immédiat.
Ce sera pas pareil sans toi!!!
Elle s'empresse de lui faire un câlin avant qu'il n'esquive, comme d'habitude.
... Mais... On pourra se rejoindre ici après et se raconter nos bons coups.
Elle le laisse ensuite s'éclipser à une table non loin.
Kalla: C’est possible, il me ferait plaisir d'avoir un œil sur toi, comme le faisait Ömbredïl.
Faisant un clin d'œil à ce dernier qui s’était approché.
C’était par une nuit de lune rouge. Des curieux et des cultistes se réunissent pour un festival. Ces derniers ayant conviés Elfes et Druides à se rassembler. Un géant fait d'osier étant enflammé auprès sur le sommet d’une colline sur laquelle était juché les restes d’un petit fortin. Une myriade de feux de camp éparpillés sur la colline. Les festivités allaient bon train.
L'huvalinien prend une pause pour boire à sa choppe se dessécher le gosier avant d’enchaîner.
Soudain dans la nuit un hurlement sinistre survient, suivi d’un autre. D'immenses loups sortent des bois accompagnés de leurs maîtres, des gobelours. Ces worgs s’en prennent à un campement, les gobelours les haranguant devant les échanges de coup et félicitant leurs "chiens", comme ils les appellent, autant que ceux qui se défendent.
Il prit une autre bonne rasade avant de continuer.
Pris de panique par cette sauvagerie soudaine a moins que ce ne soit une habitude à ce festival, pardonner mon innocence c’était ma première présence, les gens aux divers feux de camps ont fui vers le sommet,du moins en apparence. C’est alors qu'une sélection parmi les divers curieux présents commença, car en réalité c’était davantage une tactique de recrutement pour le culte qu’un véritable festival. Chacun de ceux qui voulaient les rejoindre devaient démontrer ce qu’il apporterait. Une prétendante sans talent avait prévu vendre une compagne de feu de camp afin d'entrer dans leurs rangs.
Encore une autre gorgée afin d’apaiser ce gosier qui commence à chauffer.
La captive fut sauvée in-extremis par Ömbredïl.
Il se tourne vers l’assemblée, cherche l'elfe et, lorsque leurs regards se croisent, lève son verre et en reprend une rasade.
C’est alors que les enfers se sont déchaînés, des lames enflammées surgirent du néant dans les mains de cultistes, d’autres lancèrent plusieurs traits de feu et même certains des boules de feu. C'est à travers ce chaos incendiaire que nous réussîmes à prendre la fuite à travers collines et forêt. J’imagine que c’est moins enivrant comme histoire.
En regardant le sanglier.
Mais je suis curieux de savoir comment c’est arrivé et peut-être en avoir une part pour chacun de mes compagnons en guise de paiement afin de vous raconter notre aventure.
L'homme à capuche, Cyldar, s'approche ensuite d'une table vide en compagnie de Katara et ils sortent chacun leur grimoire. Ils commencent à discuter de constructions de sortilèges et à s'échanger du savoir arcanique.
Katara, une jeune fille aux long cheveux bouclés et rouges entre dans la taverne main dans la main avec une magnifique elfe de lune, Mistadis, la mère d'Ömbredïl. L'enfant est toute excitée de montrer les lieux à la femme au visage impassible, sauf envers elle.
Tu vas voir cet endroit est super, Mistadis! Ya toujours quelque chose d'intéressant à faire et les gens sont sympas. Je ne m'ennuie pas des 4 murs de Saris… Pis y'a personne pour me dire quoi faire en plus… Hinnn!!! Regarde un gros cochon!!!
Katara pointe le sanglier en bien mauvais état qui s'en va vers la cuisine peu après. Ömbredïl tente de faire un petit coup de pub pour sa mère, la gamine sourit de toutes ses dents, elle adorait les histoires de Mistadis. La jeune fille laisse la femme s'installer au bar puis elle rejoint le mage encapuchonné pour leur échange de rituel. Ils sont installés à une table, ouvrant leur grimoire.
La couverture du sien était d'un cuir brun foncé et parsemé de vignes épineuses sur le dessus du tome, une magnifique rose rouge... Elle montrait à Cyldar ses nombreux dessins, enfantins pour la plupart, puis d'autres plus détaillés et intéressants. Avant finalement d'arriver dans la portion de ses rituels écrit dans une langue inconnu du mage assit en face d'elle.
Hum… J'avais oublié ce détail...laisse moi t'aider, ce sera plus rapide à déchiffrer!
Une fois leur échange terminé elle part rejoindre Kalla après son excellente histoire de leur aventure. Elle tire un peu sur sa tunique pour attirer son attention, elle est petite quand même. Quand il se retourne vers elle, la jeune fille lui dit tout bas:
Monsieur, tu as oublié le bout du violon volant...
Elle fait une petite moue boudeuse qui disparaît presque tout de suite et enchaîne...
J'ai un peu réfléchi sur les dieux et la "source" de mes pouvoirs “divins” que tu m'as mentionnés durant notre retour et... Je pense que c'est sûrement Lliira ou bien Tymora qui m'ont donné un peu leur bénédiction! Je ne vois pas autrement, ce sont mes deux préférés depuis toujours!
Elle touche son ventre, ses yeux, s'agrandissent.
T'as entendu gronder? Le sanglier… Ce serait une bonne idée! Ça changerait des rations! Dit Kalla, si tu vas chasser les gobo… Je peux venir avec toi?
Elle l'avait entendu parler de la mission un peu plus tôt. Les yeux de la gamine étaient pétillants d'excitation.
J'te promet que j'serais pas dans tes pattes… Hum… Il faudrait bien que j'envoie une missive à mon ordre pour les prévenir par contre. Katara fait rapidement un genre de salut militaire improvisé. Ömbredïl se retourne, par politesse, et fais un signe de la main à Kalla durant son monologue. Un peu plus tard, il regarde le babillard après avoir entendu Katara lui parler. Pourquoi elle s'intéresse à une autre mission ? Il se retourne après avoir vu la mission sur le babillard et la rejoint. Je comprends maintenant, Katara, en chuchotant seulement à l’enfant. C'est bien une mission personnelle pour toi. Tu vas aller aider la guide qui a mis ton nom dans son journal. Reprenant à voix haute: Je te souhaite que ton aventure se passe bien, essayant d'être souriant, fini avec une face sans émotion.
Katara semblait devenir pensive, une lueur d'hésitation apparut dans ses yeux quand Ömbredïl lui chuchota ces quelques paroles.
Eska… Une druidesse qui peut-être aurait des réponses sur mon passé? pensa-t-elle. Ou était-ce une de ces personnes qui lui voulait du mal? Faut se méfier des gens comme eux, comme son vieil ami l’avait prévenu autrefois.
Katara voit le "presque" sourire de son compagnon de mauvais tours orné de son beau visage, ce qui provoque chez la jeune fille, de nouveau, un sourire immédiat.
Ce sera pas pareil sans toi!!!
Elle s'empresse de lui faire un câlin avant qu'il n'esquive, comme d'habitude.
... Mais... On pourra se rejoindre ici après et se raconter nos bons coups.
Elle le laisse ensuite s'éclipser à une table non loin.
Kalla: C’est possible, il me ferait plaisir d'avoir un œil sur toi, comme le faisait Ömbredïl.
Faisant un clin d'œil à ce dernier qui s’était approché.
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