Cailléach Bhéara, La mégère frigide
La mégère frigide, Déesse de l'hiver Cailléach Bhéara
Cailléach Bhéara demeure dans le Frimas, une région froide et hostile dans de hautes montagnes de la Féérie qui est entouré et contenu par les 3 autres domaines des dieux des saisons. C'est dans son domaine que Cailléach complote contre les autres dieux, attendant le jour elle pourra se libérer et recouvrir le monde d'un hiver éternel. Cailléach Bhéara est une déesse froide, calculatrice, acerbe et hargneuse qui souhaite recouvrir le monde de souffrance et se délecter de la misère des vivants. Cailléach Bhéara trouve plaisir a faire ressortir la nature sauvage et malsaine des hommes lorsque ceux-ci sont poussé aux bouts de leur retranchement par la misère et la malchance.
Ceux qui cherche les faveurs de Cailléach Bhéara sont de ceux qui, comme leur déesse, se réjouisse du désespoir des autres et exerce leurs pouvoirs dans le seul but d'apporter malheurs et atrocités en ce monde. On retrouve parmis les fidèles de Cailléach Bhéara des bourreaux, des sorcières, des nécromanciens, des tyrans et des nobles corrompus. Cailléach Bhéara est crainte par ses sujets et n'en demande pas autrement, s'est une maîtresse cruelle qui exige que ces sujets remplissent le monde de malheurs et d'horreurs quotidiennement. Autrement, les rôles seront inversés et ce sont eux qui devront affronter les misères de ce monde. Cailléach Bhéara est impitoyable et sa faveur, une fois perdue, est rarement retrouvée. Les croyants de Cailléach Bhéara voit souvent en elle une chance d'accomplir le mal et une justification de leurs plaisirs obscènes. Ils sont des sadiques, des gens cruel et dépravé jusque dans le plus profond de leurs âmes mais, ils ne sont pas des fous ni des barbares. Tout comme la déesse, ils sont calculateurs, menteurs et manipulateurs. Le jour, ils sont comme les autres, pauvres victimes d'un monde injuste et cruel, et la nuit, il complote sous la lumière de la lune.
Cailléach Bhéara apprécie particulièrement les actes indirectes qui cause le désespoir. Encore plus, si ses actes incitent la discorde et la méfiance entre ceux qui ont des liens forts de fraternité et de camaraderie. Elle se délecte de la descente lente et graduelle d'un homme vers la folie qui l' emmènera à sa mort ainsi que celle de son entourage. Par contre, elle déteste les tentatives maladroites et sans finesse. Elle déteste aussi, la mort avec peu ou pas de souffrance. Elle veut voir ses victimes s'écrouler sous le calvaire.
Par une nuit d'hiver, le fermier découvre sa réserve de bois complètement pourri et ne possède plus rien pour se réchauffer lui et sa famille. Des voyageurs durant l'hiver sont capturé par une tempête de neige sans pouvoir se réfugier, leurs membres deviennent engourdis, douloureux et se congèle dans le blizzard soudain, des bêtes les harcèlent attendant que les voyageurs tombent au bout de leur souffle. La réserve de nourriture du village est détruite par la maladie, la nourriture se fait rare et la famine taraude les villageois. Les hommes se regardent avec méfiance sachant que pour survivre, il devront réduire leurs nombres. C'est par ces malchances que Cailléach Bhéara se manifeste dans notre monde. Elle teste les mortels par ses actes et se diverti des évènements qui suivent. Elle récompense celui qui accompli son test, tout en préparant son prochain. Ceux qui attire la faveur de Cailléach Bhéara se voit épargner de malchances, incitant souvent la jalousie des autres. Par contre, ceux qui perde la faveur de la déesse devienne soudainement malchanceux. Leurs plans ne se passent pas comme ils veulent et leur vraie nature se voit révélé au grand jour.
Cailléach Bhéara est souvent représenté comme une vieille femme elfe laide aux long cheveux blanc et désséché avec un nez tel un long bec crochu et de grandes mains chétives aux ongles longs et pointus portant une robe blanche en lambeaux et un grand bâton noueux en bouleau ou par une louve blanche avec des yeux complètement noirs dont le corps et les pattes sont recouvert de plaques épaisses de glace. L'avatar de Cailléach Bhéara sur le plan matériel est la reine Tiriana Eu-Dòchas qui règne sur la court de l'hiver dans les Îles Sauvages. Cailléach Bhéara utilise des worgs et des hiboux comme messager. Les serviteurs les plus connus de Cailléach Bhéara sont Marogan le cruel, le plus puissant druide du cercle de la lune et Eilrona, la première fille de glace. Cailléach Bhéara est une déesse jalouse et déteste que ces sujets vénèrent plusieurs dieux. Elle demande une adoration exclusive. Cailléach Bhéara est cordiale seulement avec les dieux du mal et respecte particulièrement Asmodeus pour sa fourberie. Elle déteste ouvertement les dieux du bien et ceux-ci la déteste tout autant. Elle abhorre particulièrement Bélénus, le dieu de l'été, et Aenar, le dieu de la lumière.
Prêtres, temples et l'église
Ceux qui pratique le culte de Cailléach Bhéara le font en secret. Qui voudrait d'un culte qui voue son temps à créer autant de mal et de misère que possible dans le sein de sa communité ? Les prêtres de Cailléach Bhéara pratique en secret et cache leur véritable identité derrière une fausse. Les temples de Cailléach Bhéara prennent souvent l'apparence d'une simple autel avec une petite statuette représentant la déesse, souvent en bois, que le prêtre cache dans un lieu sécurisé que lui seul connait. On peut retrouver ces autels éparpillées dans les quatres coins du monde, au milieu d'une forêt maudite, une passe de montagne traître ou dans le sous-sol d'un établissement tenu par un prêtre. Les prêtres de Cailléach Bhéara sont souvent laissé à eux-mêmes et il n'existe aucune organisation ou église. Les prêtres se méfie entre eux et ne réponde qu'a leur déesse ou son avatar. Leur but est de propager le malheur et d'offrir à leur déesse la souffrance des autres, encore mieux si celui-ci est un autre prêtre de la déesse. L'ironie est douce pour Cailléach Bhéara. Les prêtres de cette déesse cruelle sont de toutes origines et partage seulement entre-eux le désir de voir les autres souffrir. Les prêtres sont choisis ou créer par la main Cailléach Bhéara. Ceux qui dispose naturellement d'un esprit vil et pervers sont appelé par la déesse dans leurs songes d'une nuit de pleine lune. D'autres sont créer par les actes des agents de la déesse, ceux-ci instille un sentiment de vengeance et de désespoir en une victime que le prêtre va ensuite exploiter en le charmant et le manipulant afin de le forger aux goûts de Cailléach Bhéara. Lorsque l'être choisi rejoint les rangs des prêtres de Cailléach Bhéara, celui-ci est laissé à lui-même et le prêtre responsable de lui, disparaît afin de semer le mal autre part. L'"invitation" d'un nouveau prêtre dans les rangs des prêtres de Cailléach Bhéara est un rituel que les prêtres doivent se soumettre après la première année de leur propre adhésion. Le prêtre qui doit invité un nouvel acolyte est visité par la déesse dans son sommeil où elle lui révèle sa "cible" et lui murmure des secrets sur celle-ci. Ce rituel est un test de la part de la déesse et l'échec n'est pas une option. Le prêtre n'a pas de limite de temps pour accomplir sa tâche mais un prêtre assez sage sait que faire attendre la dame de l'hiver n'est pas la meilleure idée. Afin de remplir ses fonctions, le prêtre de Cailléach Bhéara est doué en Tromperie(Deception) et en Perspicacité(Insight). Il doit savoir lire et tromper ses ennemis et ses victimes. Dans les cérémonies et ses prières, l'habit officiel du prêtre est composé du grande robe blanche avec des manches amples et d'un masque représentant une demi-lune où un visage est séparé en deux. Du côté sombre, le visage est triste et désespéré. Du côté clair, le visage est euphorique à un point malsain et distordu. Le livre sacré sacré de Cailléach Bhéara est "Les reflets trompeurs de la lune d'hiver." qui contient un ensemble de techniques afin d'inspirer les prêtres. Les prêtres de Cailléach Bhéara peuvent préparer le sort "Souffle de l'hiver".Domaines Divins
Désespoir, Glace, Hiver, Lune, Mal, Malédiction, Mort, Tromperie
Textes et Codes Sacrés
Les reflets trompeurs de la lune d'hiver
Symboles et Sceaux Divins
Une demi-lune avec un visage séparé en deux. Du côté sombre, le visage est triste et désespéré. Du côté clair, le visage est euphorique à un point malsain et distordu