Bardiya DeNil Character in Kyroste-Pédia : -2611 | World Anvil

Bardiya DeNil

Reine des cendres froides et aux mains de sang

Reine Badriya Athir DeNil (a.k.a. La petite reine)

Montée sur le trône à dix-huit ans à peine, la reine Badriya n'était pas du tout née pour régner et aurait dû poursuivre une existence paisible, loin de la politique. Les instabilités de l'Aga-Vashi de sa naissance l'ont poussé vers une destinée plus sanglante et ont forgé son caractère, d'origine doux, vers une dureté sans précédent historique.

"Peu importe qu'ils sachent ou qu'ils ignorent. Sur ordre de la reine, personne ne dira quoi que ce soit de mauvais sur la petite reine." - Meenamna Tazi

Depuis que sa fille Cléa est montée sur le trône d'A-Nil, la craine a son égard a pu diminuer. On se souvient d'elle comme celle qui a lancé et conduit la guerre du feu, ainsi que comme celle ayant repris A-Tibre à six génération de branches cousines. Si on fait porter à son souvenir le poids de beaucoup d'erreur, sa mémoire est en réalité protégé par sa fille, via les lois nilliennes.

Physical Description

Aspect Physique Général

Craignant pour sa vie, Badriya a toujours tenu à entretenir une forme athlétique, d'abord pour fuir puis pour se défendre. Cela dit, sa condition fragile et son corps assez petit lui a toujours valu de paraître vulnérable et sans défense, même en tenant le sceptre de son royaume.

Caractéristiques Physiques

Badriya est née avec une rare condition de peau. On la trouve donc généralement couverte de la tête au pied, parfois même bandée pour garder sur sa peau de l'onguent réparateur. A cela s'ajoute une assez petite taille pour une momie royale, des hanches étroites et des mains atrophiées, trop petites.
Si elle n'a appris à marcher qu'à deux ans, elle a boité jusqu'à ses vingt ans et a toujours été connue à la fois pour sa fragilité et sa maladresse.

"Badriya fut nommée petite reine, autant pour son jeune âge que pour ses conditions de santé défavorables." - Zuha Elmandjra

De complétion plus sombre que ses enfants, elle a développé avec les années un corps puissant et solide, quoique petit et visiblement différent que le corps attendu pour sa race.

Caractéristiques Faciales

Badriya a hérité de sa mère un visage très rond, ainsi qu'un teint assez sombre. Ses yeux en amande, venant de son père, ont été décris par de nombreux poètes chantant leur beauté. Elle se différenciait de ses soeurs par un nez très petit, des sourcils très épais et un menton fuyant.

Particularités Physiques

Si les poètes s'attardaient sur les yeux de Badriya, les historiens sur sa taille, les médecins sur ses mains et sa famille sur ses sourcils, ce qui caractérisait vraiment, selon elle, était le tatouage qu'elle s'était faite après sa première fausse couche, à 103 ans. Le tatouage, représentant le symbole de l'âme, a été fait au bas de son deux, à la chute de ses reins.

Capacités Spéciales

De faible constitution, Bariya n'en reste pas moins une momi royale, tout en haut de l'échelle oleryne des anarii. En plus du "commandement naturel" lui donnant l'ascendant sur ces derniers, elle profite du large pannel de pouvoirs de sa race, incluant le changement de forme à celui de Créature Momifié ainsi qu'à la forme d'Être Divin (aussi appelée forme royale).

Vêtements et Accessoires

Depuis son couronnement, Badriya a toujours fait en sorte de se présenter dans des habits royaux. Même dans son sommeil, elle gardait près d'elle une riche robe de chambre pour assurer un paraître impécable, si le besoin s'en faisait sentir.
Cette royauté s'exprimait autant dans ses coiffures, son maquillage, ses bijoux que dans les crèmes et savons qu'elle employait.

Portant toujours les joyaux de la couronne, sacrés, Badriya a transmis à sa descendance la volonté de les emporter partout avec eux.

Équipement Spécialisé

En tant que reine d'A-Nil, Badriya bénéficie du sceptre de commandement de son pays, ainsi que des bijoux et vêtements permettant de reconnaître les Grandes Représentantes du Conseil d'Aria. A cela s'ajoutent les bijoux royaux d'A-Nil et les artefacts de droit olerins du firqil.

Mental characteristics

Histoire Personnelle

La princesse Badriya est née de la reine Nahila. Soeur cadette de Zamen, Hadir, Balqis, Arwahr, Hikma, Amurra, Lubaid, Wala, Hamas et Younes, Badriya ne sera pas la dernière enfant de la reine, qui portera encore Dulamah, Isra, Zamen, Arib et Hajar après elle. Cela dit, Badriya a été la seule a naître à la première année d'un nouveau Vashi, ce qui lui donna automatiquement la réputation d'être une enfant bénie. [/p

Si Badriya a été relativement proche de la princesse Wala et de la princesse Isra dans son enfance, elle n'a jamais vraiment pu se rapprocher de ses autres frères et soeurs. En effet, Zamen et Kihma étaient déjà voués aux temples à sa naissance et ont été rejoint par Hadir et Lubaid avant qu'elle n'ait cinq ans.
En outre, on diagnostique une "constitution fragile" très tôt à la princesse, en plus des problèmes de peaux qui entraîneront un certain confinement au palais. La jeune fille subit alors une enfance extrêmement solitaire.

Quand la princesse était très jeune, la reine Nahila faisait déjà face à de lourdes protestation. Durant le 6e Nelskouf, son héritière (la princesse Balqis) fut tuée par le feu lors d'un voyage à Medinadiun, où sa jeune soeur Wala a été largement brûlé. Le prince Arwahr, qui est un prince entraîné, s'en va défendre Medinadiun en tant que soldat. Son frère cadet, le prince Younes, est entraîné pour devenir le gardien de la princesse Badriya.

"Rien ne vous fera le moindre mal devant moi, ma soeur. S'il ne devait rester que l'un de nous, que les dieux m'offrent qu'il s'agisse de vous." - Younes DeNil

Badriya a 14 ans quand les réels atteignent le palais, avec l'aide de fonctionnaires, et tuent la reine et son héritière. Orpheline et enfant, Badriya assiste au couronnement national de sa sœur Wala, terrifiée. Un Saeada lui est assigné par sa sœur l'année suivante, quand celle-ci rentre de Medinadiun.
Quatre ans plus tard, la stérilité de Wala est dévoilée et Badriya doit prendre sa place sur le trône.

Si ses nièces, Dariha et Raghad, veulent la contester, elles sont encore bien trop jeunes pour le faire. En outre, Badriya bénéficie du soutient de ses soeurs, que ce soit Hikma (depuis les temples) ou Wala, qui garde un poste important au palais. En retour, Badriya essaiera de leur assurer une place au début de son règne.
Dans la première décénie du règne de Badriya, une épidémie frappe la capitale et emporte la jeune princesse Hajar. Certains parlent de châtiment divin. Badriya, à côté de ses efforts politiques, a peur. Elle renforce ses liens et s'assure de la santé et de la sécurité de sa famille.

Gender Identity

Assignée fille à la naissance, Badriya a grandit dans l'inquiétude constante de l'instabilité de son pays. Même adolescente, elle n'a jamais pris la peine de se questionner sur son genre.
Devenue reine très jeune, elle accepte la dénomination féminine par défaut, pas vraiment dérangée par son genre, ou pas assez pour y faire quoi que ce soit.

Sexuality

Jamais la reine Badriya n'a eu de wirathi. Si elle n'a jamais exprimé de dégoût particulier pour la romance, on souligne aussi qu'elle n'avait qu'une seule Baba, et qu'elle n'a gardé son Saeada que jusqu'à la naissance de Raya.

"Je ne crois pas que ses habitudes de vie soient signe de quoi que ce soit d'autre que sa crainte maladive générale." - Dani Fehrat

Éducation

Avant ses dix-huit ans (et donc son couronnement), elle n'a pas quitté l'enceinte du palais royal. Elevée par les Baba royaux, ainsi que par ses enseignants, elle apprenait les mœurs de cours en parallèle des arts et des sciences, en attendant qu'elle décide de sa carrière.

Puisqu'elle n'était qu'une enfant quand les instabilités politiques de Medinadiun ont touchés sa famille, elle a grandit dans la peur. On lui a enseigné à craindre les étrangers au palais. Toute son enfance, elle a appris à rester sur ses gaides.

Réussites et Succès

Montant sur le trône à dix-huit ans à peine, Badriya devient la plus jeune reine d'A-Nil. Pourtant, elle réussit sans encombre sa montée au rang de Grande Représentante à Médinadiun et gagne vite en influence politique. Son règne se solidifie et elle réstore la stabilité de son pays, offrant une place de choix à sa fille pour restaurer la santé de sa nation.

Devant chaque obstacle, elle parvient à trouver des stratégies pour s'en sortir et en tirer le meilleur. Elle utilise la trahison des châtelain pour installer la capitale à un endroit plus stratégique. Après le grand incendie des noces de feu (qui emportera sa soeur Isra), elle légifère et mène la guerre du feu, détruisant le dernier fort des thertigaleio dans l'Alliance d'Argent.

Échecs et Humiliations

Poussée par le besoin de restaurer la sécurité et la stabilité, mais aussi écrasée par l'urgence et sa jeunesse, Bardiya prend beaucoup de décisions radicales. Elle donne à son royaume une réputation impitoyable et cruelle, plutôt que clémente et accueillante comme le veulent les valurs de ses ancêtres. Toute sa vie, elle se sent honteuse de son règne, en secret, mais aussi de son incapacité à juger convenablement autrui.

Toute sa vie elle regrettera d'avoir perdu son fils. Elle pensait que l'ultimatum le convaincrait de trouver la paix et la sécurité en suivant son conseil. Jamais elle ne se pardonnera d'avoir fait erreur et de l'avoir laissé peiner en danger.

Traumatismes Mentaux

Badriya grandit dans un royaume instable, où son entourage change constamment au rythme des morts et des affectations obligatoires liées aux troubles d'Aria. La guerre du feu ravage la plupart des nations, même si sa mère protège A-Nil assez longtemps.
En tant que reine, elle affronte de nouvelles pertes. Entre les épidémies, les sécheresse et la reprise de la guerre du feu (avec les noces de feu), elle n'arrive pas à s'attacher à qui que ce soit en dehors de sa famille, de peur de les perdre.

"Badriya était une boule de terreur. Du début à la fin. Elle n'a jamais été que peur." - Suhaim DeNil

Trahie de nombreuses fois, Badriya apprend jeune qu'on ne peut vraiment se fier à personne. La royauté d'A-Tibre veut la faire tomber, les grands de Medinadiun complottent contre elle et de nombreux assassins sont arrêtés partout où elle (et sa famille) passent. Elle développe une incapacité chronique à faire confiance, allant jusqu'à entraver l'éducation de ses enfants pour limiter leur entourage et contrôler leur environnement.

Caractéristiques Intellectuelles

En tant que princesse, Badriya dédaigne les activités physiques pour l'étude, moins inconfortable dans sa condition. Cet appétit de savoir se calmera à son adolescence, où elle se sentira forcée, au couronnement de sa soeur, de devenir plus solide. Cela dit, elle gardera le goût de la lecture et de la science, aidant de nombreuses vagues mémorielles à être restaurées et rouvertes dans son règne.

Morale et Philosophie

Aucune allégeance n'est aussi fiable que celle d'une mère aimante à l'enfant qu'elle accueille dans sa vie, qu'il vienne de son ventre ou du monde. Elle sait que jamais elle ne pourra plus se fier à qui que ce soit, en perdant sa mère, puis sait que ses filles ne devront se fier qu'à elle.

Pour Badriya, trahir sa descendance est pire que tout. S'il faut offenser les ancêtres pour protéger les descendants, ainsi soit-il. Si elle est aussi très traditionnalsite par son éducation autant que par son amour des traditions d'A-Nil, elle fera toujours passer le bien de ses enfants et la sécurité du royaume avant tout.
Ce trait est remis en question à une occasion, lorsque son fils refuse de prendre un poste confortable de Baba, ne serait-ce qu'auprès de sa soeur. Elle le voit comme une trahison et ne veut pas plier, voyant cette entorse comme une porte ouverte au danger pour lui.

Tabous

Toute vie est sacré, jusqu'à ce qu'elle se souille par une trop grande mort. Badriya n'accepte pas la mort, surtout le meurte qui, pour elle, enlève au meurtrier le statut de "vivant". Il est correcte, selon elle, de mettre à mort ceux qui sèment la mort.

Personality Characteristics

Motivations

La priorité de Badriya a toujours été la stabilité de son pays et la sécurité de sa famille. Bon nombre de ses choix, qui ont semblé irrationnel, sont allé à l'opposé de ses valeurs morales pour assurer ces deux objectifs.

Toute sa vie durant, Badriya s'est assurée de réparer les erreurs stratégiques de sa mère et d'offrir à sa fille la stabilité et la sécurité nécessaire pour ramener leur royaume vers ses valeurs ancestrales. Si cette route a été tortueuse, elle a surtout éloigné Badriya de ses croyances et valeurs, la rendant plus froide et moins sensible à la manipulation : son objectif a fini par prendre le pas sur tout le reste.

Expertises et Incompétences

Très douée dans l'étude académique, Badriya a développé une culture générale riche. Ces connaissances, si elles lui ont parfois donné la réputation d'une dame pédante, ont participé à l'intégrer comme une érudite à Medinadiun et dans bon nombre de cour étrangères. C'est de cet intérrêt pour le monde que Badriya a joué en premier lieu, pour attrier une certaine sympathie diplomatique.

La compétence la plus reconnue de Badriya a toujours été son habileté politique. Devenue reine très jeune, elle souffrait de plus de handicaps que d'avantages, alors même qu'elle montait à la tête de la plus grande nation d'Aria. Cela dit, elle a sû tirer avantage de toutes les situations désastreuse auxquelles elle a été confrontée jusqu'à se frayer un chemin au sommet et devenir la reine la plus crainte d'A-Nil.

"Elle était douée pour faire brûler ses inférieurs et s'incliner ses suppérieurs." - Osnat Hell'U

Si beaucoup souligne ses compétences et son intelligence, la reine Badriya ne s'est jamais fait d'amis. Personne, sinon ses enfants, n'ont de souvenir d'elle pour la moindre qualité morale. Elle n'a jamais su être aimée ou admirée pour autre chose que ses accomplissements.

Goûts et Aversions

Aimant affirmer son pouvoir, Badriya prétend aimer tout ce qui est symbole de statut. Elle n'a eu que dix-huit ans pour explorer ses préférences, et ces dix-huit ans étaient trop agitées pour y trouver grand chose.
Elle a toujours eu beaucoup d'affection pour les livres d'histoire, surtout quand ils se concentraient sur la culture plus que sur la politique. Elle a aussi toujours eu une grande affection sur les sciences des corps (comme la biologie). Cela dit, aucune de ces affections n'a pu s'exprimer autrement que par le financement de projets d'autrui.

Badriya décorait sa chambre de gigantesques canvas brodés par ses amis, confinés au palais, ou par ses enfants. Elle refusait de se débarasser des présents de ceux qu'elle aimait, aimant ces objets plus que toutes ses richesses. C'est elle qui a inspiré à Ourada Elmandjra la construction d'une salle d'exposition secondaire, privée, idée qui a ensuite été transmise à son fils.

Ce que Badriya aimait le moins, c'était sa vie, ses obligations, le chemin qu'elle s'efforçait de prendre pour son pays. Elle haïssait la plupar de ses faits et geste, la tristesse et l'isolation qu'elle imposait à ses proches, la sensation de danger constante qui la condamnait.

Vertus et Atouts Personnels

Réfléchie, elle a toujours su garder la tête froide et réagir avec stratégie. Jamais elle ne s'est laissée débordée par ses envies au point de menacer ses objectifs.

Aimante, Badriya n'a jamais trouvé que quoi que ce soit était "trop", s'il s'agissait de protéger ou d'aider ses proches.

Prudente, elle a toujours eu une évaluation suffisamment réaliste des risques et enjeux pour assurer la réussite de ses projets.

Vices et Défauts

Calculatrice, elle n'a jamais pensé à elle ou à ce qu'elle voulait. Seuls la "stabilité", la "sécurité" et les "traditions" semblaient compter pour elle.

Etouffante, Badriya pouvait souvent aller jusqu'à contrôler la vie des proches, sous prétexte qu'elle s'inquiétait trop pour eux.

Paranoïaque, elle retirait toutes les libertés à ses enfants et envisageait souvent le pire dans tout ce qui pouvait arriver.

Manies Personnelles

Soucieuse de ne pas être prise au sérieux, Badriya mettait souvent un peu trop de marqueur de son rang, où qu'elle aille. Si cela l'a fait passée pour arrogante parfois, d'autres seigneurs y ont vu de la faiblesse et s'en sont, par la suite, mordus les doigts.

Elle a fait construire une aile d'exposition privée au palais, pour les créations maladroites de ses enfants et pour les présents de ses proches inadaptés à la cour. Quand elle devait prendre des décisions importantes ou risquées, elle s'y rendait pour méditer ses choix. Ainsi, elle gardait ce qui comptait vraiment devant elle, dans son coeur.

"Elle a nourri une haine de notre peuple, de nos frères et de nos soeurs, pendant tout son règne. Personne ne devrait se fier à elle ou aux siens." - Gelbrick Meyrus

Appellée "petite reine" toute sa vie et même après, en référence à son âge d'accession au trône, Badriya est en réalité une des reines les plus productives de l'histoire, mais aussi l'une des plus craintes. Beaucoup d'historien étranger la nomme "souveraine de sang" ou "reine des cendres froides" en référence à sa guerre du feu ou à ses lois particulières liées à la sacralité de la vie.

Hygiène

Badriya soignaient toujours beaucoup son apparence, en complant ça avec une obsession pour toujours pouvoir se rendre présentable en moins d'une minute. Pour se faire, elle a fait préparé des peingnoirs royaux ainsi que des coiffes enfermant efficacement ses cheveux mouillés.

Les bains du palais ont été rénovés plusieurs fois sous le reigne de Badriya, pour les adapter aux nouvelles technologies. Après avoir déplacé la capitale, elle a fait adapter les sources pour avoir des thermes privées, réservées aux royaux et à leurs invités privés.
Les technologies cosmétiques se sont aussi grandement développées au palais : la jeune reine a tenu à employer son parfum et son maquillage comme un nouveau marqueur de statut.

L'hygiène du palais devait toujours être irréprochable. Entre la peur de la reine vis à vis des maladies, qui a imposé les normes de cuisine les plus fermes à son palais, ainsi que la crainte d'être jugée ou mal considérée à cause de l'état de son palais, Badriya était très soucieuse de ses normes. Elle a créer de nombreux documents servant de guides aux domestiques du palais, mais a aussi augmentées les normes d'hygiènes générales du royaume.

Social

Reign

Le règne de Badriya commence au 19e Nelskouf de l'Aga-Vashi et suit le règne de la Reine de Feu. Elle est nommée petite reine et fais son entrée dans la ville de Medinadiun, pour sa présentation, à la fin du 19e Nelskouf.

Son règne couvre les Vashi d'Aga, Teri, Nola, Sheer, Ika et Laan. Elle donne le sceptre à sa fille Cléa pendant le Neni-Vashi.

Règne de Badriya DeNil
Generic article | Dec 15, 2023

Contacts et Relations

Solitaire, la reine était très proche de Wala, sa grande soeur, ainsi que de ses petites soeurs, dont elle se sentait assez responsable. Les attaques et épidémies contre la capitale ont contribué à l'isoler. Même au-delà de ses relations proches, elle vide le palais pour le maintenir à un minimum de domestic, surchargés de travail. Ses conseillers sont triés et excusés de façon sévère.

"Il ne reste plus de place dans ce coeur vide, pour personne sinon eux, plus que Cléa, Raya et Suhaim, puisque même ma personne en a mérité le bannissement. Mon coeur n'est qu'à eux, à ma chaire." - Journal de Badriya DeNil

Diplomate et soucieuse de garder une place forte, la reine se soucie en premier lieu de ses relations étrangères. Elle se fait apprécier de tous les autres dirigeants influents à Medinadiun, ainsi que du Firqil. Après, seulement, elle se soucie de l'avis des propriétaires terriens de ses terres. Si certains, comme Ourada Elmandjra, verront cela comme l'ordre naturel, d'autres seront offensés. Elle sera donc secrètement méprisée dans sa propre nation, mais trop crainte pour que les nobles prennent acte.

Liens Familiaux

Isolée de sa fratrie dans son enfance, elle ne se rapproche que d'Isra, Younes et Wala, avant de devenir orpheline. Par la suite, elle perd une grande partie de sa fratrie et se repose sur Younes (chef de sa garde), Isra et Hajar (ses héritières), Wala (sa conseillère la plus proche) et Hikma (depuis les temples) pour se sentir entourée. Le décès successif d'Hajar, puis Isra, va beaucoup l'isoler. Elle se méfiera pour Younes et lui imposera la garde de ses enfants dès la naissance de son fils.

Elle aura, de toutes sa vie, deux nièces : Dariha et Raghad. Les deux contesteront la légitimité de son règne. Pour les calmer, Badriya offrira A-Tibre à Raghad, sécurisant temporairement cette situation politique. Dariha aura plusieurs titres au palais, puis sera envoyée comme ambassadrice à I-Euphrate. Leurs relations resteront tendues. Après que Raghad essaie de voler le trône d'A-Nil à sa Tante, Badriya conquiert son pays et le donne à sa dernière fille, Raya.

Mère de trois enfants, Badriya les considère comme le centre de son monde. Si elle aura de nombreux différents avec le premier né, elle guidera ses deux filles vers le chemin qu'elle a crée pour elles. Cléa deviendra reine d'A-Nil et Raya reprendra A-Tibre des mains de Raghad, aidée par sa mère.

Conceptions Religieuses

Adepte du firqil, Badriya a toujours été très pieuse. Certains disent que c'est sa naissance, juste après le passage de la comète sacrée, qui la pressentait aux ordres, qui lui donne cette foi. Les enfants de Badriya croiront longtemps à un faux-semblant politique. Wala mourra persuadée que c'était sa façon de gérer leurs tragédies. Mais tout cela est faux.

Badriya a toujours eu une relation forte et intime avec la religion. Elle voyait le firqil et ses enseignements comme un refuge et une force, certes, mais surtout comme un guide. Elle a toujours cru en une vérité divine, suppérieure. Elle doutait de la présence de sa mère, parmi les dieux, mais savait qu'elle y trouverait sa grand-mère.
Elle a toujours considéré la religion comme un devoir de sang, une évidence de ses semblables.

Compétence Sociale

Badriya étudie furieusement l'étiquette sous le règne de la reine de feu. Elle devient un exemple de bonne mannière. En parallèle, elle travaille sa conversation, se nourrit de connaissances amusantes. Quand elle monte sur le trône, elle feint sa confiance. Ses problèmes de santé handicapent son charisme et son isolement l'empêchent d'être assez extroverti, mais elle persévère.

On retiendra, sur Aria, que Badriya a été une reine diplomate. Si tous savaient ne pas être vraiment proche d'elle, elle a su nourrir de nombreuses relations de connaissance.

Maniérismes

Souvent décrite comme prévisible par ses contemporains, elle agissait souvent en fonction des traditions et des attentes. Elle suivait le protocole, marchait dans les clous et se prouvait toujours digne de la confiance croissante du firqil : rien ne semblait la faire dériver de son rôle tout puissant et primaire de guide du royaume.

Quand elle doutait d'elle-même ou repensait à la haine qu'elle se vouait, qui la poussait souvent à vouloir se condamner à la peine capitale, elle serrait dans ses mains les bijoux royaux. Avec eux, elle se souvenait que tout cela était pour un bien plus grand, que sa fille réparerait ses torts et qu'elle devait s'occuper de ceux de ses ancêtres, pour lui faciliter la tâche. Chaque fois qu'elle devait se souvenir que tout cela était nécessaire, elle aimait sentir les bijoux royaux, symbols de son héritage, dans sa main.

Loisirs et Animaux de compagnie

La princesse a reçu de sa sœur Balqis un degivi (Madame Zhour), à son 3e nouvel an. Quand Balqis est emportée par les rebels, la princesse s'accroche à l'animal qui vivra très vieux et donnera une portée de 4 petits, qui seront distribués à Aider Tazi (la Baba qui s'occupera de ses enfants), Jaul Khouri (son Saeada) et Younes DeNil (son garde) de sorte à ce qu'elle garde l'héritier.

"Elle a cessé de lire et a cessé de vivre au moment où le sang a souillé sa lame. Mais que les dieux la pardonnent : qu'ils considèrent ma vertue comme sienne, puisque je ne voudrais jamais d'une miséricorde qui ne serait aussi sienne." - Jaul Khouri

De son vivant, Badriya ne s'est pas permi d'entretenir des hobies ou des passions. Si elle a aimé la science et la lecture dans son enfance, elle se l'est interdit quand elle a pris le trône, sinon pour nourrir ses conversations. Elle ne s'est permis aucune de ces joies, se considérant comme "indigne de vie". Elle revient souvent, dans son journal, sur son incapacité à aimer quoi que ce soit qu'elle fasse, à part voir ses filles devenir des femmes digne d'accomplir leur destin.

Élocution

Faisant toujours porter sa voix, Badriya ne parlait jamais bas. Elle usait toujours du dialecte de la cour d'A-Nil ou de celui de la cour de Medinadiun et parlait toujours convenablement aux gens, en fonction de leur titre. Même en privé et avec sa famille la plus intime, elle ne laissait jamais tomber le protocole de salutations, d'insultes, de compliments et de remerciements.

Elle parlait souvent de "destin", de "tradition" et de "valeur millénaires" pour justifier ses mots et actes. Elle présentait ses filles comme portant "l'avenir du monde ariesque", puisqu'elle considérait A-Nil comme le centre nevralgique naturel des Terres du Conseil d'Aria, avant même Medinadiun.

Fortune et Situation financière

Reine du pays le plus riche et influence d'Aria, Badriya a un accès libre au trésor d'A-Nil. Dirigeant un territoire vaste et profitant du commerce maritime, elle s'entoure des meilleurs spécialistes du commerce des familles Fehrat et Tazi.
Si le commerce n'est pas sa spécialité, elle fera toujours en sorte d'assurer la supériorité de son pays et de sécuriser ce dernier.

Classification Divine
Déesse mineure
Current Status
Morte
Titres Honorifiques et Professionnels

Princesse d'A-Nil
Reine d'A-Nil
Déesse tutélaire du règne de Cléa

Date de Naissance
Aga-Vashi, Nelskouf 1, 22 Kamiya-Wakit
Parents
Children
Pronouns
Elle ; elle
Gender
Femme cis
Presentation
Royale
Yeux
En amande, roses
Cheveux
Longs, turquoises et noirs
Couleur de Peau
Couleur de sable, plus foncé que sa fille
Taille
1m64
Poids
83kg
Citations et Phrases d'Accroche
« Tu n’es pas mon fils, car le prince Suhaim a été élevé pour penser à son royaume. Abandonne le nom que j’ai donné à mon enfant car tu ne le mérite plus. Rend les joyaux de ma famille, à laquelle tu n’appartiens plus. Ne pose plus pied sur les terres sacrées offertes à mes ancêtres par les dieux, car nul membre de mon clan ne t’a permis de les fouler. Va-t’en, vagabond sans nom. Laisse mes terres et abandonne mon cœur, car je suis en deuil de mon enfant, que tu as mis à mort. »
Belief/Deity
Firqil
Known Languages
ariesque - medinadiun - courant
ariesque - cour A-Nil - courant
ariesque - cour d’I-Euphrate- courant
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