Véréna
Véréna :
Verena est la déesse de la sagesse, de la raison et de la justice.
Elle est particulièrement populaire auprès des savants et de ceux qui étudient. Dans son rôle de déesse de la justice, elle est plus concernée par l’équité que par le strict respect de la loi. Véréna est souvent présentée sous les traits d’une grande et belle femme, au maintien digne et à l’air sérieux. Dans les légendes, on la voit parfois prendre l’apparence d’une chouette ou d’un vénérable sage de l’un ou l’autre sexe. Elle est l’épouse de Morr. Alors qu’il gouverne le savoir nébuleux enfoui dans les rêves et le futur, elle régit les connaissances du passé et du présent. Les emblèmes de Véréna sont la balance et la chouette, qui symbolise respectivement la sagesse et la justice. Ses adeptes et ses prêtres arborent souvent un médaillon portant l’image d’une chouette ou d’une tête de chouette. Les robes des prêtres sont blanches pour rappeler la lumière de la connaissance et de la raison. Dans son rôle de déesse de la justice, Véréna est symbolisée par une balance. Ce motif est parfois combiné avec celui de la chouette. Une épée, pointe en bas, rappelle l’arme qu’elle est censée utiliser pour réparer les injustices quand elle adopte son aspect le plus martial.
Véréna est honorée partout dans le Cardassia, particulièrement dans les villes universitaires comme Acienne-Carda et Bordemer où de grands temples lui sont dédiés. Elle a des temples plus modestes dans la plupart des villes et cités, le plus souvent dans les quartiers administratifs. Toutes les académies et les autres lieux d’enseignement lui consacrent une chapelle ou un autel. On peut également rencontrer des autels privés dans les demeures des magistrats, des administrateurs, des diplomates et des intellectuels de toutes sortes, y compris chez un grand nombre de sorciers. Son plus grand désir est que les mortels développent leur savoir et leur sens de la justice. Elle préfère inspirer les gens afin qu’ils découvrent la vérité par eux-mêmes plutôt que de leur faire des révélations.
Le clergé de Véréna doit se plier aux règles suivantes:
Sauvegarder la connaissance.
Savoir juger sans se laisser influencer par la peur ou le favoritisme.
Arbitrer les disputes chaque fois que c’est possible.
Ne jamais devenir l’instrument de l’injustice ou de l’hérésie.
Combattre s’il le faut. Dans ce cas, ne pas craindre de brandir le glaive de la justice.
Elle est particulièrement populaire auprès des savants et de ceux qui étudient. Dans son rôle de déesse de la justice, elle est plus concernée par l’équité que par le strict respect de la loi. Véréna est souvent présentée sous les traits d’une grande et belle femme, au maintien digne et à l’air sérieux. Dans les légendes, on la voit parfois prendre l’apparence d’une chouette ou d’un vénérable sage de l’un ou l’autre sexe. Elle est l’épouse de Morr. Alors qu’il gouverne le savoir nébuleux enfoui dans les rêves et le futur, elle régit les connaissances du passé et du présent. Les emblèmes de Véréna sont la balance et la chouette, qui symbolise respectivement la sagesse et la justice. Ses adeptes et ses prêtres arborent souvent un médaillon portant l’image d’une chouette ou d’une tête de chouette. Les robes des prêtres sont blanches pour rappeler la lumière de la connaissance et de la raison. Dans son rôle de déesse de la justice, Véréna est symbolisée par une balance. Ce motif est parfois combiné avec celui de la chouette. Une épée, pointe en bas, rappelle l’arme qu’elle est censée utiliser pour réparer les injustices quand elle adopte son aspect le plus martial.
Véréna est honorée partout dans le Cardassia, particulièrement dans les villes universitaires comme Acienne-Carda et Bordemer où de grands temples lui sont dédiés. Elle a des temples plus modestes dans la plupart des villes et cités, le plus souvent dans les quartiers administratifs. Toutes les académies et les autres lieux d’enseignement lui consacrent une chapelle ou un autel. On peut également rencontrer des autels privés dans les demeures des magistrats, des administrateurs, des diplomates et des intellectuels de toutes sortes, y compris chez un grand nombre de sorciers. Son plus grand désir est que les mortels développent leur savoir et leur sens de la justice. Elle préfère inspirer les gens afin qu’ils découvrent la vérité par eux-mêmes plutôt que de leur faire des révélations.
Le clergé de Véréna doit se plier aux règles suivantes:
Sauvegarder la connaissance.
Savoir juger sans se laisser influencer par la peur ou le favoritisme.
Arbitrer les disputes chaque fois que c’est possible.
Ne jamais devenir l’instrument de l’injustice ou de l’hérésie.
Combattre s’il le faut. Dans ce cas, ne pas craindre de brandir le glaive de la justice.
Commentaires