Valadimir Blanc-Bois, la Furieuse Lumière Character in Abrasia0 | World Anvil

Valadimir Blanc-Bois, la Furieuse Lumière

Valadimir est né à Bourg-Mithril.  

Ses orgines

Valadimir enfant
Valadimir enfant     Ses parents, comme tous les Blanc-Bois, étaient guérisseurs. En effet, aussi loin qu’on se souvienne, les membres de la familles Blanc-Bois disposent de dons magique pour la guérison. Sans études particulières, ils sont capablent de soigner des blessures simples dès leur plus jeune âge, par simple apposition des mains. En grandissant, certains voient leurs dons se développer et peuvent prétendre au métier de guérisseur. Il en fut ainsi pour la mère de Valadimir, Nadejda Blanc-Bois. Son père, Raspoktine Blanc-Bois (qui avait choisis de prendre le prestigieux nom de sa femme) , se chargeait des aspects administratifs et logistique. Le talent de Nadejda permis à leur clinique de devenir prospère. Certains nains descendaient même de leurs montagnes pour se faire soigner par Nadejda. Les richesses qu’ils accumulèrent leur permirent d’acheter des terres dans Bourg-Mithril puis d’être anobli. C’est donc dans une famille très aisé que naquis le petit Valadimir.  

L'enfance

  Comme dans beaucoup de famille aisé, il fut élevé par une nourrice et manqua cruellement de la présence de ses parents, notamment d’une autorité et d'un modèle paternelle. Comme tous les Blanc-Bois avant lui, il montra un talent certain pour la magie de guérison. Mais, pour se faire remarquer, il montrait aussi un tempérament turbulent et provocateur, que ses précepteurs n’arrivaient pas à dompter. Il se servait de la magie pour se soigner afin de remporter les combats qu’il provoquait. A l’adolescence, il se montrait arrogant, insolent et vulgaire. Les combats de rue lui avait forgé un physique solide et la nature l’avait affublé d’un beau visage et d’une belle allure. Il adorait exposer ses signes de richesses pour attirer l’attention sur lui. Il avait sa cours d’admirateurs, qui voulaient profiter des avantages d’un ami fortunés, et d’admiratrices séduites par le bel homme et le bon partie. Ses provocations l'emmenaient souvent à se battre. Combat qu’il remportait à chaque fois en se soignant.
Valadimir Ado
Valadimir ado    

Le pensionnat

  Ses parents, voyant leur fils sur une mauvaise pente et ternir leurs réputation, prirent une décision : il l'envoyèrent en pensionnat à l’école Clérical de BlancheGarde. Le caractère du jeune homme ne préoccupait pas l'instructeur en chef : le Clerc Mandon. Il en avait déjà maté des pires que Valadimir. Par contre, il sentit en lui un potentiel important pour la magie de soin. Il sentit aussi un potentiel important dans le don en or que les parents de Valadimir firent à l’école… C’est ainsi que Valadimir intégra l’école Clérical. Il fut dépossédé de ses vêtements et autres signe distinctif pour revêtir le pantalon et la chemise d'apprentis.   Évidemment, comme à son habitude, il fit preuve de rébellion et langage chatié, et finit par se battre avec les autres élèves. A nouveau, ses dons en soins et son expérience au combat lui permettaient d’en sortir victorieux. Chaques élèves avait en tête cette histoire, où Valadimir avait vaincu à lui tous seul 3 élèves des classes supérieurs, à coup de plateau repas. Un jour, alors qu’il était en train de frapper un élève qui l’avait regardé de travers, il sentit qu’on l’attrapait par le col. Il fut soulevé de terre et projeté contre un mur. Il se trouva alors face à un gigantesque Clerc équipé d’une armure de plate, qui semblait avoir vécu de nombreuse batailles, mais qui conservait néanmoins l’éclat de l’acier neuf voir une certaine lueur magique. Il n’avait jamais vu cette personne, mais avait déjà affronté des adversaire plus grand que lui. “Tu vas le regretter ! Viens là!” lui lança Valadimir. “Par Tempus ! “vociféra le Clerc. “ Je vais te donner ta première leçon !”. Lorsque Valadimir se réveilla à l’infirmerie, il sentait une douleur parcourir tout son corps. Comme si une montagne s’était écroulé sur lui. Le Clerc Mandon, prévenu de son réveil, vint le rejoindre dans sa chambre, accompagné du colosse qui avait mis Valadimir dans cet état.   “Valadimir”, commença le Clerc Mandon, “je te présente Ogattar.” Valadimir eu à peine la force de se redresser sur son lit quand Ogattar s’approcha. La douleur l’empêchait de trouver la concentration nécessaire pour se soigner lui-même. Pour la première fois de sa vie, il se sentait inférieur. Conformément à la demande d’Ogattar, Mandon n’avait pas fait soigné Valadimir. Ogattar arma son énorme poing ganté d’acier. Lorsqu'il lança son poing vers Valadimir, ce dernier ne savait pas comment se sortir de là. “C’est fini” pensa t’il, “Je vais mourir”. Il découvrait alors la peur, le sentiment d’impuissance et d’infériorité face à un adversaire implacable. Le puissant poing d’Ogattar se rapprochait de son visage et Valadimir voyait sa vie défiler devant ses yeux. De nombreux moments de vies où c’était lui qui portait le coup de poing final faisait partie de cette succession d’images. Mais son égaux tenace l'emmena à ne pas détourner le regard des yeux d’Ogattar. Le poing d’Ogattar s’arrêta à 1mm de son visage. Valadimir sentit le courant d’air provoqué par ce dernier. “Tu as du cran blondinet, mais tu encaisses comme une merde. Je peux t’apprendre à maîtriser et renforcer ton corps pour briser tous les os d’un ennemi.” Puis Ogattar ouvrir son poing. Une douce lueur en jaillit et se répandit dans le corps de Valadimir en quelques secondes. Il ne sentait plus aucunes douleurs et se sentait plus en forme que jamais. Même dans ses meilleurs jours, il n’avait jamais réussi un soin aussi puissant. “Je peux t’apprendre à remettre sur pied un soldat à l’agonie et à rappeler l’esprit d’un allié tombé au combat dans son corps, pour lui éviter la mort”. Ogattar retira son bras du visage de Valadimir et frappa son propre torse. Son armure se mis à briller d’une lumière intense. “Enfin, je peux t’apprendre à combiner ton corps et la magie de soin pour encaisser les coups mieux qu'un orc, et devenir un rempart infranchissable”. Mandon prit la parole : “Valadimir, Ogattar sera ton instructeur à partir de maintenant. Rassemble tes affaires et part avec lui.” Mandon tourna les talons et quitta la pièce. Contrairement à ce qu’il pensait, Mandon n’avait pas réussir à maîtriser Valadimir. Cet élève excellait dans les cours de magie de soin, mais son comportement était ingérable et mettait en péril la réputation de l’école. Si il avait été un élève classique, il l’aurait renvoyé depuis longtemps. Mais le talent dont faisait preuve Valadimir était unique, et encore loin de sa pleine puissance. Le fort potentiel que Mandon sentait en Valadimir l’avait convaincu de ne pas l'abandonner et de chercher une solution adapté à l'élève turbulent. Mandon était du domaine de la vie et enseignait une magie de soin lié au culte de Bahamut. Il abordait donc l’instruction avec calme, douceur et patience, mais avec une intolérance envers le mal. Cela n’était pas compatible avec le caractère colérique et indomptable de Valadimir. C’est pour cela qu’il avait demandé à son vieille ami, Ogattar, de venir l’aider. Ogattar était du domaine de la guerre et vénérait Tempus. Peu être qu’il saurait canaliser et guider la fougue de Valadimir. Quand Mandon lui avait parlé du cas de Valadimir, Ogattar avait répondu : “Entendu. Je vais le tester. Si il est aussi talentueux que tu le dis il survivra, et je le prendrais sous mon aile. Sinon,...et bien tu seras débarrassé de ton problème !”. Valadimir était toujours en vie, alors qu’ Ogattar avait brisé une colonne de marbre avec son crâne avant de l’envoyer traverser un mur de pierre. “je te fais confiance Ogattar”, pensa Mandon, “ce petit pourrait un jour être un atout puissants, face aux dangers à venir”.   Cette expérience amorça la transformation de Valadimir. En en faisant l’expérience, il avait pris conscience des conséquences de son comportement. Ogattar lui inspirait le respect, il voyait inconsciemment en lui la figure paternel qu’il n’avait jamais eu, un exemple.  

Naissance de la Furieuse Lumière

Ogattar
Ogattar     Fort de cette influence, Ogattar réussit à canaliser Valadimir. Il lui apprit comment mettre sa rage bouillonnante au service de ses missions. Il développa chez lui la résistance nécessaire pour survivre en première ligne afin de prodiguer les premiers secours aux soldats blessé, ou pour faire rempart aux ennemies afin de couvrir les plus fragiles. Pour les moments où personnes n’avait besoins de soins et qu’il fallait mener la charge, il lui enseigna comment jouer du marteaux de guerre pour réduire en miette les os de ses ennemies.
Valadimir en formation
Valadimir en formation   Il le convertit au culte de Tempus, qui permettait une liberté en adéquation avec leurs missions pas toujours honorables. Valadimir restait néanmoins Valadimir. Il était d’un tempérament sanguin, orgueilleux et avait le juron facile. Il pouvait se contenir jusqu’à une certaine limite, ce qui lui attirait parfois des soucis. Notamment quand il fallait jouer de diplomatie ou lorsque sa belle allure attirait l’attention de femmes trop collantes et pas à son goût. Son statut de noble le sauvait régulièrement du cachot. Emplit d’une confiance aveugle pour son mentor, Valadimir enchaînait les missions avec Ogattar, sans se préoccuper de leurs bien fondé ou de qui donnait les ordres “d’en haut”. Ils prenaient leurs ordres par l’intermédiaire de faucon messagers qui arrivaient de BlancheGarde. Il s’agissait principalement de mission de soutiens. Parfois aux troupes de l’empires boréales, parfois à leurs opposants, dans leurs combats respectifs contre les monstres ou des combats entre eux. La fortune familiale lui permettait de maintenir son équipement en bon état, et de faire bénéficier à Ogattar et lui même de repos confortables et de repas chaud. Son efficacité lui permis de progresser au sein de La Main. Après un combat contre un troll coriace contre lequel il s’était lancé tête baissée, et dont il avait réussit à encaisser seul les violents coup de masses, il fut affublé du titre “La Furieuse Lumière”. Il reçut en récompense un équipement digne de sa fougue : Krisjerk l’Ecorcheur, un solide bouclier à pointe, et Jölnar le Fracasseur, un marteau de guerre dont le manche peut s’allonger pour le tenir à deux main, et la tête se garnir de pointes ponctuellement (en utilisant la formule “Jölnar, fracasse!”) pour plus de puissance. Un jour, le faucon leur apporta des nouvelles inquiétantes de Bourg-Mithril : une troupe Orcs marchait sur la ville. Ogattar et Valadimir devait intervenir en soutien de la troupe de soldat impériaux envoyés en renfort. Ce retour dans sa ville natal inquiétait un peu Valadimir. Il était parti depuis si longtemps et échangeait peux de nouvelles avec ses parents. Il espérait secrètement qu’ils soient fière de l’homme qu’il était devenu. Cette préoccupation fut chassée par les fumées qui s’élevaient à l’horizon. Les Orcs étaient vraisemblablement arrivé avant eux. La garnison pressa le pas. Une fois sur place, il constatèrent qu’il était trop tard. Le rempart avait cédé mettant fin au siège de la ville. Les Orcs avaient visiblement pénétré la cité et fait un carnage. Le chef de la troupe de renfort jugea qu’il ne fallait pas s’éterniser, par crainte que les Orcs trainent encore dans les parages. Ils firent demi-tour. Ogattar proposa à Valadimir de faire preuve de plus de courage qu’eux et d’aller voir s'ils pouvaient aider des survivants. De plus, Ogattar avait une étrange sensation et un mauvais pressentiment. Ce qu’ils découvrirent dans la ville confirma ce pressentiment. Valadimir ressortit seul de la ville. Ogattar avait couvert ses arrière qu’il puisse s’enfuir. Portant la marque maudite, il savait qu’il ne pouvait pas pénétrer à nouveau dans la ville pour lui porter secours, sans signer son propre arrêt de mort. Il attendit pendant une semaine au abord de la ville, en espérant qu’Ogattar se soit caché, attendant le bon moment pour sortir. Ce fut vain, Ogattar ne revenait pas. Valadimir se résigna à envoyer un rapport par faucon sur ce qu’ils avaient découvert. Le retour fut bref : il devait garder secret ce qu’il avait vu. Sinon, cela déclencherait la panique dans les plaines et un exode vers Erionth. Ce qui nuirait alors à la production agricole dont dépend l’empire boréale. L'envoi d’une troupe massive n’était pas adapté à la situation car trop risqué. Il fallait constituer un commando suffisamment fort pour régler la situation. Afin que Valadimir ne révèle pas la situation, sous la torture ou sous l’emprise d’un sort, un sceaux de secret fut apposé avec son consentement. Il devait continuer à assurer les missions transmises le temps que les membres de ce commando soient identifiés. Évidemment, si au gré de ses missions il devait rencontrer des candidats, il devait en référer immédiatement.  

Le Meilleur agent de la main

  Le temps et les missions passaient. Valadimir était devenu le meilleur agents de La Main.
Valadimir au combat
En mission   Bourg-Mithril était maintenant nommé Patience, la ville qui attendait patiemment ses prochaines victimes. Car selon les dires, personnes n’en revenait vivant. Valadimir entendait ces rumeurs, mais il avait gardé le secret. La situation avait surement empiré depuis. “Mais qu'est-ce qu’ils branlent là haut, ces putin de gratte papier de mes deux ! A trop attendre il sera trop tard !” pensa Valadimir en recevant un faucon pour une nouvelle mission, qui ne consistait toujours pas à briefer un commando sur la situation.   Cette nouvelle mission l'emmena dans la forêt de Nadarah (savoir commun). Il acquis une bonne réputation auprès de l'empire en soignant la quasi totalité des blessés, suite à l’attaque du Gris. Les rumeurs racontent aussi qu'il a tué Le Chasseur impérial. Après que ce dernier ait brisé son marteau d’Ether en essayant de l’attaquer, on raconte que Valadimir l’a achevé avec une épée de lumière, que Tempus lui même lui aurait prêté pour l’occasion.   Suite à son comportement, en Nadarah, l'empire a contacté la Main. Au vue des nombreuses missions que Valadimir a effectuée avec succès pour l'empire, compte tenu de son ascendance noble, et de la protection que lui offre La Main, il a seulement été mis à pied pour quelques mois. Mais il s'en fiche. Compte tenu des nombreux aventuriers qu'il a rencontré, il peux maintenant monter un groupe suffisamment compétent pour LA mission. Les responsables de la Main ont accepté sa requête et levé le sceau de secret. Il est enfin temps de passer aux choses sérieuses, et de prendre sa revanche.   Signes distinctifs   Valadimir est un Clerc, pas par abus de langage, mais au vrai sens du terme : il a acquis ce titre en devenant membre de La Main. Il fait presque 2 mètres et dispose d'une carrure imposante. Il fait preuve d'orgueil et d'égocentrisme à la moindre occasion. Il est rare de le voir respectueux, même envers sa propre hiérarchie. Mais ceux qui le connaissent et savent voir derrière ce sale caractère de "gosse de riche prétentieux", vous parleront aussi d'une personne courageuse qui n'hésite pas à aller au devant du danger pour soigner un camarade blessé ou prendre les coups à sa place. Ils décriront un homme généreux qui n'hésitera pas à "payer l'addition" pour permettre à ses camarades de bénéficier d'un lit confortable et d'un repas chaud. Au combat, il fera preuve de force et détermination, mais fera toujours le nécessaire pour rammener son groupe en vie. Même si cela lui impose parfois de favoriser les soins face à la possibilités d'actions héroiques.   Il est équipé d'une armure lourde de maille. Il est le manieur de :
  • Krisjerk l’Ecorcheur, un solide bouclier à pointe qui blesse les ennemies qui l'attaque.
  • Jölnar le Fracasseur, un marteau de guerre dont le manche peut s’allonger pour le tenir à deux main, et la tête se garnir de pointes (en utilisant la formule “Jölnar, fracasse!”) pour plus de puissance.
Year of Birth
483 pD 28 Years old
Children
Yeux
Bleu
Cheveux
Blond
Taille
1n92
Poids
120kg

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