Ode du cœur perdu

Vermeilles les vagues qui vallonnent le ciel
Virile voix vociférant sans peur m’appelle
Pures merveilles infinies qui vivent sans peine
Pauvres pouvoirs ravis aux victimes de ma haine

Voguons sur les flots sans fins et nos viles âmes
Pleuvent ainsi sur nos visages mauvaises larmes
Nouvelles esclaves volées aux vents pervers
Viendront vider vos vilaines vies éphémères

Épaves enfouies nous fuirons les mœurs d’antan
Assouvirons nos rêves et volerons vos temps
Remercie vaillante Nuit valeureux volcan
Et la Lune à évider nos cadavres béants

～ Inconnu

L'ode du cœur perdu est une très ancienne balade, un poème dont l'air fut oublié dans les années, et qui est connu de beaucoup de monde aujourd'hui encore.

Origine

Son origine est inconnue, incertaine. De nombreux scientifiques, experts, archéologues et autres linguistes se sont penchés sur cette pièce du passé, sans réussir à la dater exactement. Certains iront dire qu'il s'agit d'un poème des Esprits eux-mêmes, qui se seraient alors adressés aux mortels pour leur faire passer un message. D'autres diront qu'il s'agit d'une comptine qu'utilisaient les mères pour endormir leurs enfants, plusieurs millénaires auparavant. On ne sait pas de quand date cette pièce, elle pourrait très bien dater de 800 ans auparavant, comme de 8000 ans, personne n'est capable de le dire avec certitude.

Légendes

Cette œuvre littéraire aux origines incertaines à titillé la curiosité de nombreuses personnes au fil des années, et de nombreuses rumeurs se sont alors répandues, certaines devenant même des légendes. Ainsi, on raconterait qu'il s'agirait d'un chant qui, répété en boucle sous une pleine lune, attirerait des êtres maléfiques. Une autre légende raconte l'histoire d'un peuple aujourd'hui disparu, qui hanterait les vivants actuellement sous la forme de fantômes. D'autres rumeurs parlent d'animaux magiques aux propriétés uniques qui viendraient en aide aux plus démunis. L'une des rumeurs les plus répandues est celle d'ombres qui vivraient la nuit, mais qui ne seraient visibles qu'aux enfants.

Tant de mystères persistent autour de cette œuvre si particulière ...