Chapitre 2, partie 1: Plus d'ennemis que d'amis

General Summary

Nous retrouvions nos héros à la sortie des égouts de la ville de Théodora. Après une mission dangereuses dans le repaire des Corsaires Pourpres, ceux-ci ressortaient victorieux et confiants d’avoir rempli une nouvelle partie de leur mission. Il restait maintenant à retrouver la Drow Ambrosia Greaves pour finalement être libéré de la marque.
Durant la cavale du groupe dans les entrailles de la ville, le paladin Irithil Coeur-Ébène s’était rendu à l’endroit indiqué par Paskal pour retrouver son ami Mhurren. Sur place, il ne trouva qu’une chambre en pagaille et les cadavres de deux Ratfolks au sol. Une traînée de sang s'étendait du lit à la porte de sortie. Aucun message n’avait été laissé et Irrithil ne savait donc pas si le paladin Mhurren était toujours en vie.

Un repos bien mérité

C’est les pâles rayons du soleil qui les accueillirent à la sortie des égouts. Une partie du groupe devait se rendre au temple d’Isibel alors que les autres, après avoir fait quelques achats, retournèrent à l’Alysandienne pour prendre un repos plus que bienvenue.

biting more than they can chew

Après une bonne journée de repos, le groupe fut reçu dans la salle à manger par l’homme qui avait passé un pacte avec Narbash et Klaytos. Celui-ci était très content de leur travail et leur faisait savoir. À son départ, un autre homme fît son entrée dans l’auberge. Se déplaçant à l’étage du haut pour éviter les oreilles indiscrètes (mais pas celles de Rifer), ce dernier apprit au nouveau chef de la guilde des voleurs de Théodora qu’il avait probablement fait une erreur et qu’une certaine Mathilda était déjà en route.
Simultanément, dans la salle à manger, un petit groupe original venait de faire son entrée. Un énorme combattant promenant un goblin en laisse se tenait aux côtés d’un homme au capuchon sombre et à la voix radieuse. Ils demandèrent si Jean-Robert était présent et on leur indiqua les escaliers. Le groupe ne resta pas pour savoir le sort qui était réservé au nouveau chef et à leur acolyte. Ils quittèrent vers le temple.

La fuite du guerrier

Durant ce temps, Irrithil et Paskal retournèrent à la maison où se trouvait Murrhen pas plus tard que la veille. Les deux collègues tentèrent d’en savoir plus, mais sans succès. Rien ne semblait trahir ce qui s’était passé dans cette chambre. Ils décidèrent de retourner au temple où ils eurent l’agréable surprise de retrouver leurs camarades qui avaient de sombres nouvelles pour eux.

Le sanctuaire

Craignant les représailles, le groupe demanda l’asile dans le temple d’Isibel. Brillantine et Irrithil les installèrent dans les catacombes du bâtiment et travaillèrent à trouver plus d’informations sur le réel danger que le groupe courait.

C’est pendant qu’il attendait que Paskal entendit un bruit au fond de la crypte. Tapi derrière un grillage, Dobby, le goblin qui était avec Mhurren la veille, lui chuchotait de venir le voir. Il lui dit que lui et Mhurren prendraient la route vers la ville de Taurus.

Des nouveau compagnons

C’est devant La taverne que nous rencontrâmes Galen et Ernalin, deux comparses issus du Duché Montaigu eux même à la recherche de Ambrosia Greaves. Envoyé par leur tribu, le clan de la plaine aux cervidés, ils devaient retrouver la drow pour venger les morts que celle-ci avait causés parmi les leurs.

Par chance ou par la providence divine, on leurs indiqua qu’un groupe d’aventuriers à la recherche de Greaves se trouvait à l’Église d’Isibel. Les deux comparses s’y rendirent et, après avoir fait la preuve qu’ils étaient de bonne fois, on leur demanda d’accompagner le groupe jusqu’à Taurus où la drow se serait dirigée.

Une fuite futile

Des informations signalant que les Corsaires Pourpres étaient à la recherche de nos camarades précipitèrent le départ de ceux-ci. C’est sous le couvert de la nuit que ceux-ci filèrent vers la ville de Xanthe.

En chemin, le groupe fut embusqué par une horde de goblins accompagnés d’ogres. C’est difficilement que ceux-ci prirent le dessus. Le dernier goblin encore debout était, nos héros s’en rendaient maintenant compte, d’une étrange singularité. D’une voix gutturale, mais pleine d’intelligence, elle s’adressa à eux:

- Bon! Je pense que je vais devoir vous laisser vivre pour le moment. Vous pouvez remercier Mathilda d’avoir été clémente avec vous.

Les combattants la vie disparaître étrangement dans un trou dans le sol. C’est sur l’image de leurs corps meurtris que nous quittions nos aventuriers.

Date du Rapport

04 Apr 2019