1 ère mission : Vexus Seven Report in Doctor Who Alternate Universe | World Anvil
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1 ère mission : Vexus Seven

General Summary

VEXUS SEVEN

   
Première mission de la part de Gallifrey commanditée par Donavorium avec comme agents présents : Valis une geek de petite taille capable de fabriquer n’importe quoi avec des pièces détachés, Delia une Time Lady amoureuse de la beauté et collectionneuse d’œuvres d’art, Wyk un Time Lord costaud à l’apparence de Judoon, Dan un cartographe aux mœurs douteuses, Natrish une Fashion Victim connaissant les arts martiaux et Skellig une médecin humanitaire habituée aux missions sur le terrain.
L’équipe est envoyée enquêter sur un avant-poste humain avec lequel Gallifrey a perdu contact. Les Times Lords ne souhaitant pas rompre leur politique de non interférence en érigeant des avant-postes, il est courant qu’ils délèguent à la Celestial Intervention Agency le soin de pirater les équipements d’autres races. Les spywares ainsi installés permettent à Gallifrey de récupérer des donnés temporelles de façon discrète et dans des lieux éloignés.
 
Vexus Seven, une des stations infectées, appartient à l’empire humain. La station orbite autour d’une planète gazeuse aux confins de l’univers. Elle est d’une architecture classique pour cette période et est constituée d’un pilier central entouré de plusieurs anneaux de différentes tailles.
       
Quand les Time Lords arrivent sur la station, elle semble inhabitée et abandonnée depuis longtemps. Des grincements inquiétants résonnent dans les couloirs et la lumière des néons grésille. Le groupe décide de se mettre à la recherche du centre de commande. Des terminaux informatiques et des caméras de surveillances leur seraient utiles pour faire un bilan rapide de la situation.
 
Malheureusement de lourdes portes bloquent leur avancée. Ils découvrent en les analysant que la station est habituellement commandée par des implants électroniques faciaux. Cette interface invasive permet à chaque membre d’équipage d’être en lien avec l’ordinateur central et ainsi d’interagir à tout moment avec le complexe. Valis arrive à contourner cette difficulté grâce à son tournevis sonique.
   
Les Time Lords peuvent enfin explorer les lieux, mais ne possédant qu’un seul équipement sonique, doivent rester groupés. Quand ils arrivent enfin au niveau du pylône central, ils découvrent une pièce centrale entourée d’un couloir circulaire. Bien entendu cette dernière est fermée par de lourds panneaux en acier. Cette fois le tournevis ne leur sera d’aucune aide, les sécurités étant trop élevées pour que ce simple gadget ne les court-circuite.
       
Ils n’ont pas le temps de se pencher sur le problème car soudainement des bruits inquiétants proviennent du couloir d’où ils viennent. Inquiets pour leur TARDIS, ils se précipitent vers la salle contenant leur précieux vaisseau. Des bruits de pas affolés s’enfuient dans le couloir opposé et les portes qu’ils avaient ouvertes précédemment sont de nouveau fermées.
 
Les Times Lords se lancent à la poursuite de l’individu. Malheureusement ils perdent sa trace au niveaux des dortoirs de l’équipage. Ils en profitent pour explorer les lieux, déverrouillant les portes les unes après les autres. Mais les lieux ne contiennent que de vielles photos et quelques affaires personnelles. Une des pièces attire leurs attentions car des bougies y ont été récemment allumées, la cire semble ne s’être consumée que depuis quelques heures.
   
Poursuivant leurs recherches, ils découvrent l’entrée de qui semble être la cafétéria. Des conversations enjouées se font entendre derrière les battants métalliques.
 
Après plusieurs minutes de palabre et un commentaire désobligent de Dan proposant à « 1 m 10, Judoon et chat » de se mettre derrière, les trois membres les plus charismatiques toquent à la porte… mais sans réponse. Valis vexée refuse d’utiliser son tournevis sonique et Wyk est contraint de forcer l’entrée à coups de pied de biche.
 
Ils découvrent alors un spectacle désolant de cadavres aux yeux caves regardant leurs repas pourrir. Skellig estime que les humains ont trépassé depuis une cinquante d’année et découvre qu’ils ne sont pas décédés dans cette salle. En effet Ils ont été déplacés pour réaliser cette macabre mise en scène. Certains sont même maintenus dans leurs positions grâces à des câble.
 
La médecin en profite pour retirer proprement une des prothèses électroniques de l'un des défunts et la confie à Val pour qu’elle la répare. Malheureusement aucun des Time Lords n’est motivé pour servir de cobaye. Dan, Natrish et Délia refusent que leurs beaux visages soit altérées et l’anatomie de Wyk ne se prête pas à ce genre de prothèse. Seule Skellig est prête à courir le risque et à s’opérer elle-même.
 
Ils continuent leur exploration et finissent par trouver l’infirmerie, un poste de greffe est présent, mais des parties endommagées empêchent sa mise en route. Skellig et Valis s’associent pour effectuer les réparations. Elles partent en quêtes de pièces de rechange et finissent par trouver leurs bonheurs dans un entrepôt. Quand elles retournent vers l’infirmerie, elles découvrent que les portes de la cafétéria sont de nouveau fermées et que les conversations fantomatiques ont repris.
 

 
*******
     
Les autres Time Lords ont eux continué leur exploration, mais un éboulement sur la coursive principale bloque leur progression et les oblige à faire demi-tour. Ils sont alors forcés de retourner sur leurs pas où ils retrouvent Valis en train de travailler et Skellig écoutant à la porte de la cafétéria avec un vieux stéthoscope. Ils les laissent à leurs occupations et se dirigent vers le centre du vaisseau afin de contourner l’effondrement. Quand ils arrivent de l’autre coté de l’éboulement, ils voient que ce dernier bloque une porte. Dan entend de nouveau des bruits de pas s’enfuir, ces derniers s’éloignent puis après un silence, résonnent dans les canalisations.
 
Ne pouvant dégager l’éboulement ils poursuivirent leur route, Wyk force les portes à coup de pied de biche. Dan entends de nouveaux des bruits dans les canalisations, l’individu semble les suivre dans le faux plafond. Dan n’ose pas prévenir ses collègues de peur d’alerter la chose qui les épie.
Wyk qui ouvre les portes les unes après les autres finit par avoir une mauvaise surprise. L’une d’entre elle était protégée par un courant électrique de haut voltage. Il réussit se libérer de l’emprise du courant de justesse mais l’électrisation le laissa affaibli et blessé.
 

 
*******
     
Pendant ce temps, Val achève les réparations du bloc opératoire et Skellig désinfecte les locaux et prépare une trousse de premiers soins. Elles programment la machine et Skellig s’installe sur le siège d’opération, tout en se disant que ce n’est peut-être pas « la meilleure idée de sa vie ». Mais si elle gagne le contrôle du complexe, le jeu en vaut la chandelle.
 
Quand l’implant neuronal est greffé, le cerveau de Skellig est irradié par un flux monumental de données la rendant confuse. Le raz de marée finit par se calmer et la Time Lady regagne peu à peu le contrôle de ses pensées. Elle se redresse flageolante aidée de Valis et teste ses nouvelles capacités. Elle constate avec satisfaction qu’elle contrôle maintenant la majorité des portes du complexe. Mais ses réjouissances sont de courte durée. Dans la vie tout a un prix, et Skellig commence à entendre des voix dématérialisé la suppliant de fuir. Les deux femmes rejoignent leurs collègues.
   

 
*******
     
Elles découvrent à ce moment la mésaventure de Wyk. Skellig essaye de prendre le contrôle de la porte électrifiée mais une voix retentit dans son esprit « Ceci est l’armurerie ce qui y entreront mourront ». Skellig transmit le message. Un débat passionné anima les Time Lords avec d’un côté Valis curieuse souhaitant ouvrir l’armurerie, et Skellig préférant suivre le conseil de la voix. Finalement elle finit par aller dans le sens de Val voyant bien sûr l’intérêt de récupérer des armes dans ce milieu hostile.
 
En plein débat, Skellig s’effondre, inconsciente, Dan et Natrish ayant de bon réflexe la rattrapent au vol. Wyk charge l’évanouie sur son épaule et l’éloigne de l’armurerie, pendant que Valis, Délia, Dan et Natrish essayaient de forcer la porte. Le malaise de Skellig a clôturé le débat. Environnement hostile, mesure hostile. Ils réussissent à désactiver le champ électrique et Dan trouve sur un coup de chance le code d’accès en tapant 58008. (code qui lu à l’envers sur un écran digital écrit BOOBS). Dan ést définitivement un expert en culture humaine.
 
Ils trouvent a l’intérieur de l’armurerie une dizaine de blasters, tous s’équipent.
   

*******
     
De façon concomitante, Skellig se « réveille » dans une pièce intégralement noire et vide. Une voix retentit dans son esprit lui souhaitant la bienvenue et se présentant comme l’ordinateur de bord. Il lui raconte que l’équipage avait été entièrement exterminé par une flottille de Dalek, il y a 50 ans. L’attaque avait été éclair et n’avait laissé aucune chance à l’équipage. Quand il n’y avait eu plus personne à tuer, les assaillants étaient repartis comme ils étaient venus.
 
Skellig trouve étrange que des Daleks aient agressé une base aussi éloignée, mais l’ordinateur ne sait pas la renseigner.
 
Elle essaye d’obtenir des informations sur les bruits étranges qui résonnent dans la station mais l’ordinateur reste vague, disant qu’il proviennent des niveaux inférieurs là ou se trouvent les cultures hydroponiques et les serres. Ces grincements correspondent au fonctionnement « normal » de la station qui, faute de maintenance, devient de plus en plus vétuste. Comme elle reste dubitative, l’ordinateur fini par lui avouer qu’il reste un survivant sur la station. Sans lui il aurait cessé d’exister ayant besoin de « mémoire vive » pour survivre. Et ces barettes de RAM sont fournies par des esprits humains. C’était la chose qu’ils entendaient dans les canalisations et qui refermait les portes derrières leurs passages. Malheureusement avec 50 ans de solitude, et le poids d’un super ordinateur vivant sur son esprit, l’humain est devenu quasiment fou. C’est lui aussi qui est responsable de la macabre mise en scène de la cafétéria essayant de recréer un semblant de présence dans ce vaisseau désolé.
 
Skellig rassurée sur ce point, essaye de négocier avec l’intelligence artificielle pour récupérer les informations que la CIA leur a demandé. L’ordinateur accepte et la laisse seule. Elle peut reprendre conscience.
   

*******
     
La Time Lady se réveille. Après un moment de flottement, elle découvre qu’elle est bien haute par rapport au niveau du sol et commençe à se débattre. Au bout d’un instant elle comprend que Wyk la porte sur son épaule. Ce dernier la relâche et Skellig se met en devoir de raconter au reste de l’équipe ce qu’elle a découvert. A peine a-t-elle commencé son récit qu’une voix tenue retentit dans les canalisations :
   
« Attendez j’arrive ! ».
   
Une porte s’ouvre sur un vieil homme à la peau olive et à la grande barbe blanche. Quand il voit les armes, il se cache dans un couloir et bredouille.
   
« Ne touchez pas aux armes. Il faut laisser les esprits en paix. Ils sont tourmentés. »
   
Ils acceptent de poser les blaster et l’homme s’avance vers eux. Ils apprennent qu’il s’appelle Malcolm, qu’il est térifié à l’idée de réveiller les esprits et qu’il arrive à survivre en mangeant des fruits qu’il cueille dans les serres. Le pauvre bougre ne peut pas leur fournir plus d’informations. Ils le laissent donc à ses occupations et vont explorer les étages inférieurs. L’ascenseur les mène dans une serre luxuriante où la végétation laissée à l’abandon a proliféré et envahit la plus grande partie des lieux. Au fond de la serre se trouve une porte en mauvais état portant la mention « Power Room ».
   
La porte abîmée, ni Val ni Skellig n’arrivent à l’ouvrir. Val se met en tâche de modifier des blaster afin de faire sauter les gonds. Wyk et Natrish tentent leurs chances, mais la porte tient bon. Les deux blasters sont détruits, grillés par la surcharge. Val en modifie deux autres. A la deuxième tentative, la porte vétuste ne résiste pas et s’effondre. Elle tombe vers l’avant, et crée un immense nuage de poussière en touchant le sol. Le bruit tonitruant résonne en écho dans les couloirs déserts de la station.
 
La poussière se dissipe révélant un Dalek dans l’embrasure. Instinctivement, les Time Lords plongent sur le côté. Le Dalek ne bouge pas, l’œil éteint sans réaction. Le groupe se relève, penaud d’avoir paniqué autant. Ils s’approchent prudemment de la dépouille. En contournant l’armure ils voient qu’une plaie béante et carbonisée perfore l’arrière du Dalek.
 
Les Time Lords cherchent un moyen de rapatrier la coque calcinée jusqu’au TARDIS, quand Skellig reçoit un message de la part de l’ordinateur :
   
« Je détecte une soucoupe ressemblant à celle qui nous a attaqué il y a 50 ans, elle atteindra la station dans une vingtaine de minutes. Je verrouille toutes les baies d’amarrages pour vous laisser du temps.» Ils abandonnent leur trouvaille trop endommagée pour être exploitable. Ils se mettent en chemin pour rejoindre leur TARDIS. Ils n’ont pas été envoyés pour faire face à des Daleks, leur mission n’est qu’une mission de reconnaissance. Ils n’ont aucune défense, aucune arme qui puisse leur permettre de résister à de tels ennemis.
 
Mais l’intelligence artificielle n’a pas envie de laisser partir sa seule chance de survie, et verrouille les accès piégeant le groupe dans les serres. Cette fois elle prend la parole en utilisant les hauts parleurs de la station :
   
« Ne partez pas ! Les Daleks viennent pour moi ! Vous devez m’emmener ! ».
   
Une brève argumentation s’en suit, mais l’ordinateur finit par convaincre les Gallifreyens de l’aider.
 
Le groupe afin de gagner en efficience, se sépare en deux équipes : une ayant pour objectifs de récupérer l’ordinateur dans la salle centrale et de sécuriser ce point stratégique et l’autre allant chercher le TARDIS pour le transférer dans la salle centrale. La première est composée de Délia, Val et Skellig, la seconde de Dan, Wyk et Natrish.
 
Tout d’abord Delia et Skellig créent une liaison wifi entre le laptop modifié par Valis et la prothèse de Malcom. L’intelligence artificielle ne devant jamais être séparée de sa « mémoire vive » cette étape est essentielle avant le transfert des données et l’intégralité de l’ordinateur de la station vers le laptop.
 
Le TARDIS ne tarde pas à se matérialiser dans la salle centrale et Dan, Wyk aident leurs collègues déjà sur place à sécuriser les portes. Ils soudent notamment les accès sur le pourtour de la coursive circulaire. Natrish et Skellig se portent volontaires pour réaliser une mission commando afin de récupérer des réactifs chimiques. Skellig toujours connectée à l’ordinateur a accès aux caméras de sécurité et peut suivre la progression des Daleks. Leur objectif est de trouver des composants permettant de synthétiser une mousse expansive. Les Time Lords préfèrent ralentir leur adversaires que de se jeter dans une offensive désespérée vouée à l’échec. Ils n’ont besoin que de gagner du temps pour finir le transfert de l’intelligence artificielle, personne ne leur a demandé de détruire les Daleks. Les deux femmes trouvent leur bonheur dans une des réserves, elles ont de quoi synthétiser 3 mètres cube de mousse expansive ainsi que quelques explosifs.
 
Dan, Wyk, Délia et Val éteignent toutes les lumières de la station, et demandent à l’ordinateur de fermer toutes les portes et de diffuser les bandes sonores de la cafétéria via les hauts parleurs. Ils attendent ensuite l’assaut des Daleks, surveillant la barre de chargement.
   
La soucoupe s’amarre à la station et trois Daleks en descendent. Ils s’arrêtent surpris un instant par les sons de conversations humaines. Un Dalek s’avance :
   
« DECLINE YOUR IDENTITY ! … EXPLAIN ! »
   
N’obtenant pas de réponses et comprenant que ce n’était qu’un enregistrement, ils se désintéressent du phénomène et commencent à avancer, faisant sauter les portes les unes après les autres à coup de rayon.
 
Arrivant à une intersection un des Daleks pose son plunger sur un des panneaux, ce dernier coulisse révélant un terminal l’informatique. Il s’y connecte.
   
« DATA IS UNAVAILABLE! HELP IS REQUIRED »
   
Un quatrième Dalek rejoint les trois autres et un plus gros et de couleur différente descend du vaisseau et se poste en garde devant la baie d’amarrage.
 

 
*******
     
Natrish fait un premier voyage pour fournir des matières premières à la salle centrale pendant que Skellig étaient partie fouiller l’infirmerie. Aussitôt l’équipe sur place se met en devoir de fabriquer des bombes de peinture, un Dalek aveugle est un Dalek moins dangereux. Ils utilisent les aquarelles de Délia, les maquillages de Dan et Natrish et les produits chimiques rapportés pour fabriquer un liquide coloré explosif. Mais les résultats ne sont pas au rendez-vous, les pigments ne voulant pas se mélanger aux reste des solvants. Ils restent obstinément à la surface formant une boule pâteuse. Valis moins délicate et plus expérimentée en bidouillage, crache dans le mélange et réussit à obtenir une produit homogène. Ils injectent le produit dans une bouteille d’aérosol que Val possède pour nettoyer les circuits informatiques.
 
Skellig rejoint enfin ses collègues une caisse pleine de béchers dans les bras. Malgré le bruit qu’elle fait les Daleks sont encore trop loin pour l’entendre. Ils continuent leurs préparatifs. Dan se met en devoir de vider deux amphores de vins, et Skellig les remplit avec les réactifs nécessaires à la mousse expansive puis ils scotchent les deux récipients ensemble et les remettent a Wyk qui est de loin le plus costaud.
 

   
*******
     
Le téléchargement est extrêmement lent, Quand les Daleks réussissent à forcer les portes soudées la barre de progression n'est qu'à 28%.
 
Excédé Dan tente de négocier avec l’ordinateur pour ce dernier se débarrasse de tous les fichiers inutiles et finit même par le menacer. L’ordinateur se défend en affirmant que c’est lui que les Daleks sont venus chercher mais ne fournit pas d’argument à cette assertion, ce qui ne fait que décupler l’agacement de Dan et de Val.
 
Les Daleks entendent les voix provenant de la pièce centrale et prennent la parole :
« DECLINE YOUR IDENTITY !»
 
Piégé, et de tout façon repéré, Wyk au comblement de l’énervement leur fait une réponse peu polie et peu orthodoxe.
   
« GIVE US THE VIRUS !»
   
Les Time Lords marquent une pause et se retournent en bloc vers l’ordinateur. Dan reprend la parole.
   
« Ok ! C’est quoi ce putain de virus, ordinateur? »
   
Val menace Malcom avec son blaster.
   
«Il y a cinquante ans, les Daleks ont installé un virus, moi, sur la station. J’ai pris le contrôle des lieux et leurs ai déployé le tapis rouge quand ils sont revenu pour exterminer les colons. Satisfaits de leur expérimentation, ils sont repartis et m’ont laissé sur place. Ils pensaient que mon code s’étiolerait, mais comme un humain a survécu j’ai pu subsister. J’ai fini par me développer et ai même acquis une conscience. Ils sont revenus pour me reprendre et je ne veux pour rien retourner en leur pouvoir. »
   
Les Daleks n’obtenant de réponses commencent à forcer la porte. Une épiphanie toucha les Time Lords, ils doivent avoir prévu d’uploader l’intelligence artificielle dans l’une de leur armures.
Rapidement ils exposent leur plan à l’ordinateur pendant que Val installe la bombe de peinture télécommandée au plafond.
 
Ils vont se cacher dans le TARDIS pendant que les Daleks le téléchargerait dans l’un de leurs drones. L’ordinateur doit alors en prendre le contrôle et attaquer un des Daleks pendant que les Time Lords se chargent des deux autres. Bien entendu, pour éviter toute trahison Natrish tiens un Malcom sédaté en joue. L’humain ne pouvant pas monter dans le TARDIS car le vaisseau était dans une dimension différente, elle est obligée de se cacher dans la pièce.
   

 
*******
       
Les Daleks pénètrent enfin dans la pièce. Ils ne prennent pas le temps de fouiller les lieux, sachant que de malheureux humains ne pourraient rien contre eux. Un des Daleks se sacrifie et les deux autres connectent sa coquille vide à l’ordinateur, pendant que le dernier reste en retrait surveillant les alentours. Le téléchargement se termine en rien de temps, ils ont des connectiques beaucoup plus puissantes que de ridicules ports USB.
 
Quand l’œil se rallume, le virus chargé à l’intérieur prend une seconde pour s’habituer à sa nouvelle interface, puis, sans sommation il lève son pistolet et tire sur le Dalek le plus proche. Au même moment les Time Lords ouvrent la porte du TARDIS. Val fait exploser sa bombe de peinture, Wyk lance les amphores sur les Daleks et Delia commence à en viser un avec un blaster modifié.
 
Quand les différents produits se dissipent, ils peuvent voir que deux Daleks ont été aveuglés et immobilisés par leurs pièges. Seul le Dalek endommagé par l’intelligence artificielle est encore libre de ses mouvements, Délia l’achève promptement grâce à son blaster.
 
Natrish attrapa Malcolm par le col et le jette sur le Dalek. Un court circuit psychique se produit entre le virus et sa « mémoire vive », ils ne sont pas faits pour être en contact aussi étroit ; ils poussent le tout dans le TARDIS. Dan qui se tient prêt au niveau de la console, fait décoller son vaisseau aussitôt.
 

 
********
 
Le Dalek resté en retrait au niveau de la baie d’amarrage, détecte le départ du TARDIS :
   
« TIME LORD DETECTED ! THE TIME LORDS HAVE THE VIRUS »


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Le groupe peut enfin souffler. La mise en veille forcée de l’ordinateur les arrange. Ils s’empressent de retirer les armes du Dalek et appellent leur contact à la CIA, Donavarium. Ce dernier tombe des nues quand son équipe lui explique les évènements et lui annonce qu’ils lui ramènent en cadeau un virus Dalek dans un Dalek accompagné de sa barrette de RAM.

Missions/Quests Completed

Yes

Character(s) interacted with

Daleks
Report Date
06 Jan 2016

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