Mal des Failles
Rareté : Commun
Cycle : Chronique, Acquis et Génétique
Transmission / Vecteurs : Cette maladie n’est pas contagieuse.
Cause : Le Mal des Failles se déclenche lorsqu’une personne sensible rentre en contact avec une zone de miroitement associée à une Faille. Le miroitement réagit avec l’ADN de la personne en question, et peut causer de très nombreux problèmes sur le court et long terme.
Symptômes : Les symptômes les plus courants, pour une exposition mineure, peuvent être des migraines, courbatures, vomissements et troubles de la vision, de l’audition, et du goût, plus ou moins prononcés. Au long terme, l’exposition peut mener à des symptômes plus graves :
Au niveau de la peau : modification de la pigmentation de la peau, ou son durcissement,
Au niveau des yeux : perte de vision ou l’apparition de modifications dans l’intégrité de l’oeil (membrane pupillaire persistante, polycorie, coblomes).
Autres problèmes génétiques comme le développement d’une hémophilie, des migraines chroniques, ou des tumeurs (bénignes ou malignes).
Traitement : La première étape est de retirer le patient de la zone à risque, et s’assurer qu’aucun des endroits qu’iel fréquente régulièrement n’est contaminé par des miroitements. Ensuite, seul le druidisme a prouvé des résultats efficaces, en purgeant le patient de toute trace de miroitement. Ce procédé peut être plus ou moins long et complexe, considérant le fait que les personnes à risques sont des « éponges » à cette énergie, et la drainer trop vite peut causer des réactions « défensives » qui aggravent les symptômes.
Prognosis (développement probable de la maladie) : La plupart du temps, cette maladie est curable avec un séjour dans un hôpital druidique loi de toute influence de miroitement (ce qui ne concerne que certains de ces hôpitaux). Si la personne atteinte continue d’être en contact avec la zone, iel risque de fortement aggraver ses symptômes. Selon sa résistance naturelle, le temps d’exposition nécessaire pour des séquelles permanentes est variable.
Séquelles : Dans les cas plus graves, des symptômes permanents peuvent arriver (cités plus haut). Si la maladie en soi ne peut pas causer la mort, les séquelles peuvent réduire l’espérance de vie, ou, au mieux, causer des handicaps plus ou moins sévères (cécité partielle ou complète, cancers, particulièrement des mélanomes et cancers de la peau).
Prévention : Dans les pays où une portion significative de la population possède une allergie aux miroitements, on conseille souvent au parents de faire tester leurs enfants à la naissance. Ils sont inscrits dans un registre médical qui leur donne accès à des rapports d’agences d’observations de miroitement, et sont notifiés si leur zone de vie est affectée par une augmentation du taux de miroitement.
Epidémiologie : Généralement, ces personnes vivent dans les villes les plus éloignées des Failles, villes qui sont connues pour cette caractéristique. Malheureusement, cela a pour effet négatif de faire perdurer la présence de cette caractéristique génétique dans la population.
Histoire : Cette maladie est apparue dès l’apparition des premières failles, la résistance génétique à ce genre de problèmes n’étant pas encore assez répandue dans la population. Les populations TK, les druides, ainsi que des humains lambdas avec une résistance génétique accidentelle ont pris le dessus au cours des décennies, et le taux d’individus allergiques a fortement baissé, jusqu’à atteindre une proportion globale de 24 % de la population (ce taux pouvant augmenter ou diminuer selon les régions).
Réception culturelle : Cette maladie est bien connue, et lorsqu’on connaît les symptômes, il n’est pas difficile de se faire prendre en charge. Les cas graves sont peu courants, mais augmentent chez les populations trop pauvres pour déménager, ou changer de travail en fonction des fluctuations de taux de moiroitement.
Groupes affectés : Les humains porteurs de certains traits génétiques, ou plutôt, ceux qui ne portet pas le trait génétique de résistance au miroitement.
Transmission et Vecteurs
Cette maladie n’est pas contagieuse en soi, mais le trait génétique d'allergie au miroitement l'est.
Causes
Le Mal des Failles se déclenche lorsqu’une personne sensible rentre en contact avec une zone de miroitement associée à une Faille. Le miroitement réagit avec l’ADN de la personne en question, et peut causer de très nombreux problèmes sur le court et long terme.
Symptômes
Les symptômes les plus courants, pour une exposition mineure, peuvent être des migraines, courbatures, vomissements et troubles de la vision, de l’audition, et du goût, plus ou moins prononcés. Au long terme, l’exposition peut mener à des symptômes plus graves :
Au niveau de la peau : modification de la pigmentation de la peau, ou son durcissement,
Au niveau des yeux : perte de vision ou l’apparition de modifications dans l’intégrité de l’oeil (membrane pupillaire persistante, polycorie, coblomes).
Autres problèmes génétiques comme le développement d’une hémophilie, des migraines chroniques, ou des tumeurs (bénignes ou malignes).
Traitement
La première étape est de retirer le patient de la zone à risque, et s’assurer qu’aucun des endroits qu’iel fréquente régulièrement n’est contaminé par des miroitements. Ensuite, seul le druidisme a prouvé des résultats efficaces, en purgeant le patient de toute trace de miroitement. Ce procédé peut être plus ou moins long et complexe, considérant le fait que les personnes à risques sont des « éponges » à cette énergie, et la drainer trop vite peut causer des réactions « défensives » qui aggravent les symptômes.
Les soins liés à cette maladie sont généralement pris en charge par la sécurité sociale dans les pays qui en ont une.
Pronostic
La plupart du temps, cette maladie est curable avec un séjour dans un hôpital druidique loi de toute influence de miroitement (ce qui ne concerne que certains de ces hôpitaux). Si la personne atteinte continue d’être en contact avec la zone, iel risque de fortement aggraver ses symptômes. Selon sa résistance naturelle, le temps d’exposition nécessaire pour des séquelles permanentes est variable.
Séquelle
Dans les cas plus graves, des symptômes permanents peuvent arriver (cités plus haut). Si la maladie en soi ne peut pas causer la mort, les séquelles peuvent réduire l’espérance de vie, ou, au mieux, causer des handicaps plus ou moins sévères (cécité partielle ou complète, cancers, particulièrement des mélanomes et cancers de la peau).
Groupes Affectés
Les humains porteurs de certains traits génétiques, ou plutôt, ceux qui ne portet pas le trait génétique de résistance au miroitement.
Prévention
Dans les pays où une portion significative de la population possède une allergie aux miroitements, on conseille souvent au parents de faire tester leurs enfants à la naissance. Ils sont inscrits dans un registre médical qui leur donne accès à des rapports d’agences d’observations de miroitement, et sont notifiés si leur zone de vie est affectée par une augmentation du taux de miroitement.
Épidémiologie
Généralement, ces personnes vivent dans les villes les plus éloignées des Failles, villes qui sont connues pour cette caractéristique. Malheureusement, cela a pour effet négatif de faire perdurer la présence de cette caractéristique génétique dans la population.
Histoire
Cette maladie est apparue dès l’apparition des premières failles, la résistance génétique à ce genre de problèmes n’étant pas encore assez répandue dans la population. Les populations TK, les druides, ainsi que des humains lambdas avec une résistance génétique accidentelle ont pris le dessus au cours des décennies, et le taux d’individus allergiques a fortement baissé, jusqu’à atteindre une proportion globale de 24 % de la population (ce taux pouvant augmenter ou diminuer selon les régions).
Ressenti Culturel
Cette maladie est bien connue, et lorsqu’on connaît les symptômes, il n’est pas difficile de se faire prendre en charge. Les cas graves sont peu courants, mais augmentent chez les populations trop pauvres pour déménager, ou changer de travail en fonction des fluctuations de taux de moiroitement.
Type
Magical
Origine
Mutated
Évolution
Chronic, Acquired & Congenital
Rareté
Common
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