Les Royaumes Exaltés du Roïkar
Terre de philosophie, de dévotion, de conflit et d'intrigue, les Royaumes Exaltés forment une figure sombre, mais importante de la toile politique de Nord d'Anelde. Bâtit il y a des siècles par des ressortissant de l'Empire Quermel en plein effondrement comprenant maintenant les risques du totalitarisme idéologique qui avait poussé l'empire vers sa chute, ces gens décidèrent non pas d'amener leus anciennes croyances avec eux, mais de les rejeter et d'activement rechercher la vérité. C'est ainsi que les bases de la culture philosophique de ce royaume en devenir allait être posé et servir de canevas à l'émergence de chacune des Principautés.
L'histoire
Ce qu'il y avait avant. Roïkim. La raison de leur arrivé. Les épreuves à leur arrivé. La prophétie. La création du premier royaume. Les guerres pour les terres de l'exaltation. L'établissement des 4 principauté et des 4 Voies. La perte de l'Union. Les Croisades.Les Royaumes
Ce royaume, limitrophe à la fois du Marforel et du Dénémor, est un lieu de philosophie, de prouesses martiales et d'intrigues. Ce pays, divisé en trois Principauté rivales, est le foyer des Roi-Philosophes et des Sage-Guerriers. Chez eux, la noblesse recherche l'élévation de l'esprit à travers la philosophie, le débat, la méditation et le combat. Cette recherche philosophique s'exprime différemment à travers le pays, selon la philosophie, la Voie, locale. Chaque Prince est désigné personnellement par le Prince précédent et suit une période de formation avant d'endosser son rôle. Un successeur est désigné lorsque le Prince en vigueur voit sa santé déclinée ou lors que la guerre se profile à l'horizon. Il est peu commun, mais pas exceptionnel qu'un Prince désigne son remplaçant avant que la nécessité se fasse sentir, habituellement lorsqu'il trouve la personne parfaite pour lui succéder et ne veut pas courir la chance de la voir partir ou mourir. Il accompagne alors le Prince en charge jusqu'à ce qu'il doive endosser ses fonctions, servant à la fois d'apprentie et d'assistant. Comme de raison, ces successeurs sont appelés des Pèlerins puisqu'ils cheminent dans les pas de leurs successeurs et sont, encore plus que les autres, sur le chemin de la grandeur. La culture des royaumes exaltés est aux premiers abords simple et austère, mais un observateur attentif saura en discerner toute la complexité et la richesse. Aux royaumes exaltés, on aime faire les choses à la manière locale, il est vrai. Pourtant, cela ne veut pas dire que les voyageurs ne sont pas les bienvenus et que des gens venus de partout dans le Nord ne passe pas régulièrement par-là, apportant vie et couleur avec eux. En effet, les Royaumes Exaltés du Roïkar sont à la croisée des chemins entre trois résolus grandes puissances économiques du Nord, le Marforel, le Dénémor et le Nagar. Des marchands venus de toutes les directions viennent ici afin de faire commerce ou escale avant de reprendre leur route. Tout ceux-ci sont les bienvenus, tant qu'ils sont, eux aussi, d'ascendance divine. Ici, les nains, les elfes, les humains et même les orcs sont accueilli à bras ouvert, mais les êtres élémentaires ou, pire, semi-animaux, rencontre méfiance et intolérance. Pour eux, faire affaire est un exploit et bien souvent, les locaux refusent d'interagir avec eux. Malgré tout, le bon genre d'étrangers apportent richesse et vie aux Royaumes Exaltés du Roïkar, permettant un niveau de confort que leur propre production de leur ne permettrait normalement pas d'atteindre. Paré d'amour et de coutumes différentes des leurs, ils colorent les places de marché et les cours autrement austère des différentes principautés. Malgré tout, les Royaumes Exaltés du Roïkar possèdent leur propre couleur, bien que l'on puisse argumenter qu'il s'agit plutôt de variation d’une même couleur que de différences propres. Ici, les gens sont proches les uns des autres, reliés par un sentiment de justesse dans leur croyance et de cheminement collectif vers la lumière des dieux. Au sein de chaque principauté individuelle, les gens possèdent des croyances communes au goût de fanatisme et de racisme, retrouvant un idéal à atteindre parmi leurs frères Roïkels. Ces idéologies xénophobes les unissent face à l'extérieur, mais n'est pas leur seule source de tissus social. Célébrant leur mode de vie comme le plus pur qui soit parce qu'étant le seul entièrement consacré à trouver les dieux, les Roïkel participent à de nombreuses fêtes tout au long de l'année. Certaine dépendent de la principauté locale, d'autres, plus rare, sont communes aux trois royaumes exaltés, mais adaptés aux croyances locales et, finalement, certaine bien plus rares sont célébrées partout sur le territoire de la même manière car dépassant n’importe quelle interprétation, trop profondément ancré dans l’histoire du Royaumes Exaltés. Étant bien plus encouragé à développer leurs talents que parmi les autres Principautés, les Maîtres et Princes venant de la Principauté du Nord sont largement plus polyvalent et ouvert d'esprit que les autres. Il s'agit probablement de la raison principale pour laquelle la majorité des Roi-Philosophes viennent de cette de là et sont généralement plus doué dans ce rôle. Il arrive tout de même que des Princes venant d'une des deux autres Principauté accèdent à ce titre, bien que ce soit peu courant. Ces hommes forment alors de véritable parangon de leur philosophie, assez polyvalent pour endosser le rôle de Roi-Philosophe et assez zélé pour devenir Prince. Ces Principautés formant à elle trois les Royaumes Exaltés sont presque parfaitement positionné au Nord, limitrophes à la fois du Marforel et du Dénémor et sur le chemin des riches caravanes marchandes du Nagar. Ayant perdu leur accès au fleuve suite à leur dernière guerre avec leur voisin du Dénémor, les Royaumes ne sont plus la force économique qu'ils étaient et doivent actuellement composer avec une gigantesque reconstruction.L'Exaltation
À leur point culminant, les Royaumes Exaltés étaient composés de quatre puissantes principautés s'enrichissant grâce au commerce et libre de chercher la vérité que les Dieux avait placé en eux. Au Nord-Est et bordant les rives du fleuve se trouvait le Kormir, la Principauté de l'Union. Dernière à être fondé suite à la victoire des Royaumes lors de la guerre Roïkel-Niblissa, le Kormir se reposait principalement sur le commerce maritime et la pêche pour subvenir aux besoins de son peuple. Bien que ces entreprises ait rapidement fait d'elle la plus riches des quatre, elle eut aussi un rôle majeur dans la création d'une unité au sein des royaumes, ramenant sous leur houlette les dernières terres de l'Exaltation et permettant le fondement de la Voie de l'Union si chère au coeur de Saint-Roïkim. Le coup pour les Royaumes fut donc d'autant plus dur lors de sa secession et de son invasion subséquente. La perte de la Principauté de l'Union ébranla les Royaumes Exaltés jusqu'à leurs fondements. L'unité qui avait été atteinte grâce à elle fut perdu et les autres Principautés se retrouvèrent jusqu'à aujourd'hui divisés dans leurs quêtes de la bonne Voie à suivre. La première et la plus anciennes des trois est le Talmir, foyer de la Voie de l'Illumination Personelle. Ses terres sont les plus fertiles, ses villes les plus développées et c'est la que se trouve la plus grande concentration de population, la vie y étant plus facile. Ses plaines riches et grasses habritent de grande exploitation consacrée à l'élevage et à la culture de la terre, souvent bien protégés et généralement loin des danger qui rôdent parmi ses deux Principauté soeur. La récolte de la laine et son traitement en vêtement est d'ailleur une des industrie secondaire principale du Talmir. C'est aussi dans sa capitale, X, que l'on trouve Y, la plus grande institution dédié au savoir de l'entièreté des Royaumes. En ses murs, les philosophes discutent du Chemin de l'Illumation Personnelle, la philosophie locale prônant que le chemin le plus sûr vers la sagesse passe par une connaissance de soi approfondie. Les Dieux auraient mit chaque individu sur ce monde pour une raison et il en revient à chacun de déterminer pourquoi en cherchant dans son coeur. Le modèle organisationnel de cette ordre philosophique est le moins strict des trois, son Prince n'endossant pas par défauts un rôle précis au sein du gouvernement. Bien qu'il soit toujours un conseiller du roi, son rôle particulier dépend des compétences de prédilection du Prince. Les conseillers du dirigeant locale et les nobles se voient conféré le titre de ''Maître'' et se définissent tous par une profonde recherche du talent unique place en eux par les Dieux. Ceux dotés d'un poste à sa cour se voient attribué un titre approprié tel que Maître du Trésor ou Maître des Armées. Le Roi-Philosophe actuel vient, comme souvent, de cette principauté et rencontre une forte opposition venant des autres Principautés, compliquant largement son règne. La deuxième Principauté, Z, est celle situé au Sud-Ouest du pays et suit avec dévotion la Voie du Père. Elle est à ce titre parfois appelé la Principauté de la Foi et est effectivement le coeur de la religion du pays. Intrinsèquement lié à celle-ci, cette Principauté brouille régulièrement la limite entre le clergé et le gouvernement, mettant les premiers en position de pouvoir au sein du second. L'élément le plus marquant à cet effet est probablement le fait que le Prince désigné devient par la même occasion le chef religieux de la Voie du Père. Il dirige alors à la fois sa principauté et l'intégralité du clergé à travers le pays. Pourtant, afin de pouvoir accéder à ces titres, il se doit non seulement d'être choisi par le Prince en place, mais aussi de se révéler être un Élus, Véritable ou non, issus des rangs du clergé. Puisqu'il est impossible pour un non Élus de devenir Prince, il arrive parfois, quoi que rarement, qu'aucun personnage doué de talents magiques et capable d'endosser cette responsabilité ne soit trouvé parmi les rangs de l'église et que la Principauté se retrouve temporairement sans chef. Les membres du clergé restant forment alors un conseil destiné à diriger par procuration l'Église et à trouver un remplaçant potentiel. Ces officiels du clergé occupent eux aussi une position politique en plus de celle ecclésiastique. Chaque fois qu'une famille est anoblie ou qu'un jeune homme noble devient adulte, il se voit intronisé au sein du clergé et endosse un rôle, même mineur au sein de l'église. De ce fait, les Haut Prêtres formant le conseil personnel du Prince proviennent bien souvent des rangs des familles nobles les mieux établis et ayant les moyens de se consacrer à l'écoute de la Voie du Père. Renforçant ces éléments s'ajoute à ça la présence sur ses terres de la Cathédrale de Saint-Roïkim, la Maison du Père, une ancienne et gigantesque cathédrale servant de coeur à la Foi locale et une des merveilles du monde. Pourtant, Z, n'est pas qu'une terre de foi ou les hommes vivent de prière et de méditation. Dans les collines du Sud de Z se trouve de riches mines d'argent, de pierre et de charbon, chacune permettant le développement des secteurs de la maçonnerie, de la métallurgie et de l'orfèvrerie. Dans la plupart des corps de métier reliés à ces secteurs le travail est dur, laborieux et parfois dangereux, mais les hommes de Z trouve réconfort dans les paroles motivatrices prodigués par le clergé et la Voie du Père. Quant à l'autre secteur secondaire, celui de l'orfèvrerie, les différentes, églises, basiliques et monastères possèdent par droit l'exclusivité de ce travail. C'est entre les murs de ces Maisons du Père qu'il est exécercé et que les bijoux et symboles religieux destiné à l'ensemble des royaumes sont produit. Possédant déjà l'infrastructure nécessaire au travail du métal, le clergé s'occupe lui-même de la forge des armes et des armures de ses différents ordres guerriers, laissant à ceux-ci le soin de s'en occuper. L'impressionnante ubiquité dudit clergé en ces lieux explique aussi pourquoi cette Principauté fut le lieux de naissance et l'actuel bastion des différents ordres religieux des Royaumes Exaltés, plus spécifiquement, de ses ordres de Guerriers Saints. D'abord créés pour X lors de K, ces regroupements de combattants dévots devinrent rapidement des figures d'importances dans la Principauté. Chargé de protéger les fidèles entrant et sortant du territoire, de donner la chasse aux nuisibles élémentaires ou animaux et de protéger les communautés de toutes les menaces imaginables sur un territoire commençant à peine à se ''civiliser'', les différents ordres acquirent bientôt la quasi hégémonie de la protection de Z. Rapidement, ils firent grandir leur influence au delà des fontières de la Principauté de la Foie et s'installèrent partout dans les autres Principautés où le clergé était présent. Finalement, A, la dernière Principauté situé au Sud-Est, est le foyer de la Philosophie de la Juste Lame et celle versée le plus avant dans les arts de la guerre. Couverte de grande forêt de conifères et surplombé par une grande montagne, le paysage de ce que les locaux appellent la Route du Fer est froid, mystérieux, mais aussi magnifique. Ces terres sauvages sont à la fois une bénédiction et une malédiction pour ses habitants, leur offrant une source de bois inépuisable pour leur industrie forestières, mais offrant aussi de nombreux havres de tranquillité pour tous les bandits de la région. En effet, ceux-ci représente le fléau de A depuis sa création, d'abord sous la forme de résistants Ktal, puis de bandits attiré par leur commerce en pleine expansion, puis, dernièrement, de pillards du Nord. Cette adversité constante a non seulement endurcie la population locale, mais aussi dirigé de la Voie de la Juste Lame vers sa forme actuelle, permis l'apparition de la caste des Chevaliers Errants et des différentes pratiques de conscription des Royaumes Exaltés. Cette Principauté, définit en grande partie par le conflit, est de fait le bras armée des Royaumes Exaltés et l'incarnation de la Voie de la Juste Lame, grandissant à travers les conflits. Ses terres, rappelant le Vieux Monde de part son aura de mystère et sa nature omniprésente, sont truffées de châteaux, fortins et tours de gardes et même les roturiers connaissent quelque peu le maniement des armes. Voyant régulièrement passer des caravanes provenant ou allant vers le Dénémor sur la Route du Fer, la Principauté de A profite largement du commerce avec ses voisins et veille avec ferveur à ce qu'il soit dérangé le moins possible. La culture militaire y est plus grande que dans la plupart des royaumes du Nord et, bien qu'aucune armée professionnelle n'y soit maintenue, le nombre et la qualité des forces prête à y être mobilisés ferait rougir quantité de royaumes plus grand. La structure militaire et guerrière y est si bien implanté que le Prince locale devient par défaut le Maréchal des armées des Royaumes et que chaque noble obtient par défaut un rôle dans la hiérarchie militaire. La capitale de la Principauté, O, est une ville fortifiée aux hauts murs et abritant un grand château où se trouve provisions et munitions à foison. Les caves du château regorgent d'arme prête à être distribué en cas de guerre, certain allant même jusqu'à dire que le stock serait assez garni pour équiper tout les conscrits de la Principauté. Que ce soit dans ces villes ou dans les terres sauvages, les adeptes de la Juste Lame sont chargé d'une imposante charge de travail associé à quantité de titre.Militaire
L'armée du Royaume Exalté de Roïkar est assez étéroclite, mais néanmoins redoutable. Chaque Prince est responsable de la conscription et du ralliement de sa population en temps de guerre et maintient une armée permanente entrainé et équipé sur ses terres. Chacune des trois se distingues les une des autres, mais comporte plusieurs points communs.
Les nobles et les chevaliers de la Principauté sont appelé des Sage-Guerriers en raison de leur propension à fair autant de philosophie que de combat. Chacun de ces guerriers expérimentés porte la cuirasse de sa philosophie, Bleu pour le Chemin de l'Illumation Personnelle, Rouge pour la Voie de la Juste Lame et Noire pour la Voie du Père. Ils arborent tous le même type d'armure, un ensemble de cruirasse crénelé souple, mais résistant et leur visage s'ornent tous d'un haume mi-casque, mi-masque, couvrant le visage hormis la marchoire inférieure. Le tout étant agrémenté d'une longue cape. Tous valeureux et déterminé, ils se battent pour leur idéologie monté sur d'imposant destriers de bataille et brandissent dans une main une longue lame Roïkel (une épée bâtarde à un seul tranchant et à la pointe recourbé vers l'arrière) et un long écu d'acié à la couleur assortie à l'armure et estampillé du sigle de leur phisolophie dans l'autre. Les Sage-Guerriers de l'Ordre de la Juste Lame sont bien souvent les plus expérimenté, ceux de la Voie du Père sont toujours les plus fanatiques, comportant souvent plus d'Élus et ceux de l'Illumination Personelle ont la réputation d'être les plus polyvalent.
Les conscrits soulevés par les Principautés sont comme partour ailleur tirés des rangs des gens du peuples, mais sont étonnament versé dans les arts de la guerre. La cause en est attribuable à la loie dite de ''L'armée du peuple'', établie il y à presque deux cents ans et stipulant que tous les trois ans, à une date stipulé par le Roi-Philosophe, les Princes se doivent de procéder à un exercice de conscription et à une semaine d'exercice sur leurs terres. Venant des quatre coins de chaque Principauté, les hommes du peuples entre 15 et 45 ans se doivent de rejoindre la capitale régionale sous deux semaines. S'en suit alors une semaine d'exercice de marche, de formations, d'établissement de campement et de pratique au maniement des armes. Les conscripts sont dédommagé de leur efforts par des pièces toute droit sortie des trésoreries princières ou en allègement d'impots. Le dernier jours de cette semaine, un tournoi à lieu entre les conscripts les opposants dans des compétitions de maniement de l'épée, de tir à l'arc et de course à cheval. Les gagant de ces compétitions se voient attribué un dédomagement supplémentaire et une place au sein de la garde Princières leur est offerte. Cette tradition fait en sorte que les gens du peuple sont mieux organisés et moins démunis en temps de guerres que le sconscripts des pays voisins. L'ont trouve même parfois des combattants correct parmis les paysans et les citadins du royaume. Cette hausse générale de compétence militaire parmis la population, couplé à un franc désir de la part du peuple de se conformé à la philosophie guerrière locale et à l'expertise de la classe supérieur fait de cette nation une redoutable adversaire.
Le chemin de l'Illumination ne peut être parcouru seul.
Type
Geopolitical, Kingdom
Gentilé
Roïkien(ne)
Système Gouvernemental
Monarchy, Absolute
Langues Officielles
Ethnies associées
À mon humble avis, les Royaumes Exaltés forment un des royaumes les plus intéressant du Nord. Leur recherche de vérité à travers l'introspection et la remise en question les met spirituellement plusieurs siècles en avance de la plupart de leurs congénères Divins, malgré les méthodes tronquées et étroites à travers lesquelles ils philosophent. Le jour où ils abandonneront leurs ''Voies'' et cesseront de tenter de trouver la vérité en risquant sans arrêt le suicide ou en relisant sans cesse de vieux écrits poussiéreux, ils pourraient éventuellement obtenir de véritables progrès. Somme toute, le pays dégagent une mystérieuse beauté et ses nombreuses fêtes et festivals sont particulièrement entraînantes pour ceux étant parmi d'y participer. Cela rend d'autant plus dommage que l'endroit entier soit peuplé de bigots racistes et xénophobes. Extrait des Périgrinations sous la Lune D'Azure,
Des peuples et de leur coutumes,
Iltamis, le Voyageur Éternel.
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