Afin d’approvisionner tout le pays en céréales, les plaines de
Qamah doivent aboutirent à un rendement colossal.
Mais pour cela, l'eau est une denrée primordiale. Les différents domaines de la régions ont adoptés leur propre système d'irrigation afin d'assurer les objectifs de récolte.
Ici, rien de bien compliqué. Le fleuve Enma coule directement sous le domaine. Les nappes phréatiques sont toujours pleines et il a toujours suffit de creuser des rigoles afin d'arroser les champs.
L'Empire a aider à développé ces canaux et à multiplier des dérivations de l'Enma vers les champs.
Le domaine des terres jaunes, ne produisant pratiquement que du blé, n'a besoin que de peu d'eau. En effet, une rotation des champs est effectuée avec la betterave. Un an sur trois, la betterave est plantée ce qui charge les sols en azote, augmentant ainsi les apports de la terre pour le blé les années suivantes. De multiples bassins sont construits un peu partout afin de récolter les pluies au mois de
Sillyb'Cermië. La difficulté va être de jongler avec ces réserves. Les champs de betteraves vont demander plus d'eau, les champs de blés sont décuplés par les apports de la betterave des années précédentes et ne vont demander de l'eau qu'a des moments clés du printemps.
Ce domaine pratique une technique
Jinane apportée par Valentin Fort-Bois, celle des puits du désert. Dans les coins les plus chauds, des puits sont mis en place avec des rigoles qui partent en spirale. Des feuilles sont installées sur ces rigoles générant ainsi de la rosée qui s'écoulent dans ces puits, engrangeant de petites quantités d'eau. Dans les plaines, le climat est aride mais néanmoins les pluies sont au rendez-vous. Le même système est mis en place mais sans les feuilles et ces rigoles en spirale autour du trou du puits s'étendent sur plusieurs centaine de mètre.
L'Empire boréal à approfondi ces puits sur de grandes profondeurs et consolider ces rigoles avec de la pierres. Ainsi, lors des grandes pluies, les puits sont remplis très rapidement et permettent de tenir jusqu’à la fin de l'été.
Il faut toujours tirer parti des avantages du terrain, c'est ce qu'a fait le domaine du vent qui chante. De nombreuses sources présentaient un avantage agricole a cet endroit bien avant que l'Empire arrive. Mais quand il colonisa l'endroit, exigeant une augmentation de la production, ces sources furent creusées jusqu'a arriver à des nappes phréatiques abondantes. Les
locaux construirent alors des moulins qui, utilisant la force du vent de la région, remontent une chaîne de seaux d'eau. De nombreux canaux en bois permettent d’irriguer directement les champs à partir de ces points.
Dans le reste des plaines
Il n'est pas rare de constater l'assistance de certains druides dans le reste des villages de Qamah. Lorsque l'été se fait long ou que les pluies ont été trop faibles, les druides n'ont aucun mal à trouver du travail. Mais ont retrouve surtout des déclinaisons des systèmes évoqués plus haut. Bien évidemment, les propriétaires les plus modestes doivent s'en remettre aux pluies de
Sillybir car une fois le matériel, les employés et les bêtes de trait achetées, il ne reste guère pour investir dans autre choses.
Bien que la bordure se concentre essentiellement sur le sel, les pâturages et les champs de pommes, l'eau reste la richesse ultime de ces endroits désertique. L'Orient à la "chance" de posséder l'Enma, mais la bordure ne peut compter que sur ces oasis. Pour éviter que l'eau ne s'évapore sous l'effet de la chaleur (et afin de garder l'eau fraîche), des canaux souterrains dirigent l'eau sur plusieurs kilomètres afin d'irriguer les plantations ou de multiplier les points d'eau pour les pâturages.
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